Aline Le Bail-Kremer Origine Parents – Aline Le Bail-Kremer est une écrivaine qui a travaillé pour des associations de la société civile française et européenne et est actuellement contributrice à Arche et à L’Ordre du jeu (magazine en ligne de Bernard Henri Lévy).
Le porte-parole actuel est Aline Le Bail-Kremer, qui a une longue expérience de travail avec des groupes représentatifs de la société civile française et européenne. Lundi soir, elle est apparue en tant qu’invitée sur BFMTV et a déclaré que l’Ukraine est la nation la plus engagée pour parvenir à la paix. Elle est membre de l’Arc et de l’Ordre du Jeu depuis longtemps.
Avant de rejoindre le Bureau National de SOS Racisme et le groupe Onze Janvier, elle a joué un rôle pivot au sein de l’Organisation française des victimes du terrorisme. MADAME ALINE LE BAIL KREMER est une propriétaire individuelle qui exerce son activité sous le nom de SIREN depuis 2014. Lui et elle appellent DEUIL-LA-BARRE leur épicentre social.
Des conseils et une assistance dans les domaines des relations publiques et de la communication sont fournis. Après les horribles événements du 13 novembre à Paris, au cours desquels 130 personnes ont perdu la vie, des communautés du monde entier ont tendu la main pour soutenir les personnes touchées. L’une de ces personnes que nous avons rencontrées était Aline Le Bail Kremer.
Directeur des Relations Publiques de l’Association Française des Victimes du Terrorisme (AFVT). La mission principale du groupe est d’aider les victimes de toutes les manières possibles, y compris administrativement, juridiquement et psychologiquement. Réclamer une indemnisation et des dommages après un accident peut être un processus frustrant et long pour de nombreuses victimes.
Qui est impacté négativement par le terrorisme :
Les membres de la famille des morts et des survivants, ainsi que ceux qui ont contribué à la catastrophe, sont inclus ci-dessous. Malgré l’absence de blessures physiques, ce fut néanmoins une expérience douloureuse pour ces personnes. Ils ont besoin d’une aide efficace afin d’éviter des répercussions psychologiques éventuellement désastreuses.
Il s’agit d’une personne potentiellement dangereuse qui a nécessité un suivi psychologique intensif sous forme de soins individualisés, de groupes d’entraide, etc. L’impact mélancolique « boomerang » peut être évité si l’on agit rapidement. Les conséquences peuvent être désastreuses, comme le montrent ceux qui souffrent de dépression clinique et présentent des symptômes comme l’inactivité.
Après un an d’utilisation des transports en commun, quels sont selon vous les aspects les plus difficiles de ce mode de déplacement :
Alors que la France n’est pas étrangère aux manifestations, le 13 novembre, le pays est devenu le foyer de manifestations coordonnées, nous incitant à proclamer un point de basculement. Bien que nous ayons parcouru un long chemin, il reste encore des mystères à résoudre.
Nos efforts se sont principalement concentrés sur la prévention des victimes de s’enliser dans la bureaucratie qu’ils doivent naviguer. Nous avons également contacté une agence d’État nouvellement créée qui s’occupe des services aux victimes. Cela nous a permis d’attirer l’attention sur la nécessité d’une équipe de crise et sur les limites des indemnisations.
Préparation supplémentaire pour d’éventuelles attaques :
Même si l’activation de la cellule de crise s’était mieux déroulée à Nice, c’était la première fois qu’un assaut de ce type était mené en plein jour. Cela complique une question déjà sensible concernant l’identité des témoins blessés lors de l’attentat du Bataclan.
La police niçoise peine à établir une liste des victimes d’agressions morales alors qu’elles ont été publiquement reconnues. Concernant la situation des victimes. Néanmoins, nombreux sont ceux qui vivent en silence avec une maladie mentale grave et le SSPT.
L’équipe travaille-t-elle pour quelque chose de concret :
Malgré le fait que les véritables commémorations n’auront pas lieu avant un an, le temps passé à se souvenir est inestimable, peu importe le montant précis. Les récits des survivants diffèrent de ceux des blessés et de leurs proches. Peu importe jusqu’où nous allons dans le passé ou à quelle vitesse nous allons dans le futur, certaines choses resteront les mêmes.
Les architectes finlandais Rainer Mahlamaeki et Ilmar Lahdelma se sont inspirés du récit biblique des Hébreux traversant la mer Rouge pour concevoir cette structure. “Polin” (également “Pologne” et “Repose-toi ici” en hébreu) est un musée “d’histoires” qui tente de reproduire des situations de la vie ordinaire et urbaine d’autrefois, selon Barbara Kirshenblatt-Gimblett, directrice de la programmation du musée. . paysages dans les films et autres arts visuels. fait également référence à l’Holocauste.
L’antisémitisme est une réalité pour les Juifs vivant partout en Europe, et la Pologne ne fait pas exception. La richesse de la vie juive en Pologne est mise en lumière dans le spectacle, malgré sa relative obscurité. Un Polonais sur 10 se considérait comme juif dans les années qui ont précédé la Seconde Guerre mondiale.
En 1945, il y avait moins de 200 000 personnes encore en vie. La troisième génération de Juifs dont les proches ont survécu à l’Holocauste a entamé une surprenante campagne de « coming out » depuis la création du musée. Le week-end dernier à Varsovie a eu lieu la première mondiale de “The Hideout” (ou “Cachette”), une pièce écrite et mise en scène par un jeune acteur polonais du nom de Pawel Passini.Le drame est composé d’extraits de la vie de personnes qui se sont cachées pendant les deux années où l’Allemagne nazie a gouverné leur nation.
Après tout, comme l’explique l’un des personnages, “Ils ne sortiront jamais de cette boîte”, il est clair que les réfugiés ne veulent pas que leurs enfants subissent le même genre de douleur qu’eux. Les Polonais qui les avaient cachés ont tous été tués, y compris la célèbre actrice Irena Solska. Mais, certaines personnes dans la vingtaine commencent tout juste à en apprendre davantage sur leur ascendance.