Agnès Vahramian Vie Privée Et Familiale – Le 10 juin, le journal de 20 heures de France 2 présentait des images réconfortantes d’un vétéran de la Seconde Guerre mondiale retrouvant son amour d’enfance en France. Cette rencontre étonnante s’est déroulée en présence de la journaliste de France 2, Agnès Vahramian, qui a organisé la rencontre.
KT Robins et Jeannine Ganaye ont désormais toutes deux plus de 90 ans. Alors qu’il avait 18 ans et qu’elle en avait 17, ils se sont rencontrés et sont tombés amoureux à la libération de la Moselle, il y a 75 ans.
Les journalistes de France 2 recherchaient l’histoire d’un ancien combattant américain et de son amie d’enfance en France, dont l’idylle a été interrompue à la fin de la guerre en 1944. Aujourd’hui marque le 75e anniversaire du Débarquement allié.
De plus, ils ont organisé une deuxième rencontre et ont capturé ces retrouvailles émouvantes. Le Journal de 20heure de France 2 a diffusé le 10 juin les photographies, vues depuis plus de 5 millions de fois en ligne. En plus, cela a fait pleurer beaucoup de gens.
La correspondante américaine de La Deux, Agnès Vahramian, a partagé sur Twitter la nouvelle de ces retrouvailles inattendues, qui ont suscité beaucoup d’enthousiasme et de tristesse parmi les lecteurs.
Le journaliste se souvient : « J’ai tout de suite été attiré par cette histoire », après avoir rencontré KT Robins alors qu’il recherchait des histoires de militaires américains pour le 75e anniversaire du Débarquement en Normandie. Le vieil homme lui a offert divers objets de cette époque, dont une photographie d’une jeune femme dont il avait été profondément amoureux à la Libération. Je portais un nom issu de la communauté locale ; c’était en quelque sorte un nom de famille.
Pour l’avoir retrouvée, j’ai cherché son nom dans l’annuaire téléphonique”, raconte Agnès Vahramian. Je passe chez moi et je rencontre un homme qui s’appelle Daniel Ganaye, qui affirme avec insistance : “Non, dans notre famille, il n’y a pas de tel ” Le lendemain, il a de nouveau contacté l’écrivain et lui a dit : ” En fait, c’est ma sœur et elle se souvient parfaitement de ce soldat, elle m’a donné.
Après une enquête approfondie, le journaliste de France 2 a appelé directement Jeannine au téléphone et lui a proposé de revoir, si elle le souhaitait, l’homme dont elle était tombée amoureuse 75 ans plus tôt.
La France a été prise en charge par Maryse Burgot, une autre journaliste de France 2, et les retrouvailles des deux côtés de l’Atlantique ont été planifiées à la va-vite. Cela démontre à quel point même la nouvelle la plus inoffensive peut déclencher une délicieuse tournure narrative…
Des auteurs comme Alban Mikoczy, Agnès Vahramian, Arnauld Miguet… Les reporters du Covid 19 : qui sont-ils ?La crise du coronavirus (re)découvre certains reporters de terrain ou journalistes dans les pays au centre de l’épidémie, à l’image des conflits « réels », avec les lignes de front et les tirs de roquettes.
Le Français Arnauld Miguet, originaire de Wuhan
Il est arrivé le 22 janvier à Wuhan, épicentre de la pandémie, et y est depuis lors le premier journaliste français (avec son caméraman Gal Caron) à couvrir la ville. Pendant des semaines, il fut le seul invité de son motel, et d’autres choses bizarres commencèrent à se produire dans sa vie.
Il a réussi à réaliser plusieurs « coups » intelligents, notamment une fusillade dans un hôpital malgré l’œil vigilant des autorités. Interrogé sur l’état du journalisme en Chine, il a répondu : « Le journalisme est un sport de combat en Chine, à la fois en général et à l’heure actuelle. »
Elle a une approche « percutante » distincte et nous la connaissons pour être à l’aise sur le devant de la scène. Être à la fois « reporter de terrain » et « habitué des réunions de rédaction » est une combinaison quelque peu inhabituelle pour un profil journalistique.
Agnès Vahramian débute sa carrière comme reporter puis devient rédactrice en chef d’Envoyé Spécial, le magazine phare de France 2, ainsi que directrice adjointe de l’information et rédactrice en chef du 20h de David Pujadas. Après la destitution de cette dernière au printemps 2017, Agnès Vahramian devient correspondante de France Télévisions à Washington et retrouve immédiatement son ancienne carrière de journaliste.
Il est le visage de la télévision publique italienne depuis deux ans, où il a passé les dernières semaines à scander le malheur qui s’est abattu sur notre voisin transalpin. Il a une expérience à la fois dans ce domaine et dans les affaires internationales, ayant été reporter de FTV à Moscou de 2010 à 2015, avant de prendre la tête du service extérieur de la chaîne publique à Paris. Parmi ses nombreux emplois antérieurs en France, il était celui de 20 heures. rédacteur en chef du JT de France 2 de 2006 à 2010. Un reporter aguerri qui touche une corde sensible.
Michel Field a déménagé et Agnès Vahramian a quitté l’incident de Pujadas.
Tandis qu’Agnès Molinier prend la relève comme rédactrice en chef du 20h. Du côté du rédacteur sortant, qui continue avec le groupe France Télévisions à travailler sur l’offre culturelle, le rédacteur qui a quitté son poste, occupant auparavant le poste, a démissionné.
Les séismes dans le cas de Pujadas atteignent enfin leur paroxysme. Après la sortie dramatique de l’animateur qui présidait le 20h de France 2. spectacle depuis seize ans, le rigide de la stationla rédactrice en chef, Agnès Vahramian, a décidé de quitter l’équipe. Elle est remplacée par Agnès Molinier, qui était en charge des journaux télévisés du matin et du midi (Télématin, 13/12, 13 heures). La nouvelle a été récemment dévoilée par la chaîne.
Aux côtés de David Pujadas, Agnès Vahramian incarnait le 20 heures. les triomphes et les défauts de de la Deux. Elle était une leader respectée qui aidait ses équipes à s’adapter aux conditions changeantes et à accroître le lectorat du journal.
Mais elle a également subi beaucoup de critiques de l’intérieur parce qu’elle était une patronne coriace et qu’elle menait des politiques impopulaires. Lorsque David Pujadas a été licencié à la mi-mai, la direction du groupe n’en a pas fait grand cas, espérant que le départ de l’animateur bien connu serait interprété comme une question de routine de renouvellement plutôt que comme un rejet de le groupe dans son ensemble. Même si de nombreuses personnes regardaient encore le journal télévisé de 20 heures, elles se sont rendu compte que le temps du rédacteur en chef au sommet était limité.
Michel Field, autre « victime » du « psychodrame Pujadas » qui a été contraint de démissionner de son poste de directeur de l’information face à l’indignation de la rédaction, n’est pas resté longtemps au chômage. Il a récemment annoncé au magazine Stratégies son séjour à France Télévisions pour repenser l’offre culturelle de la chaîne, notamment à travers la création d’une chaîne numérique consacrée uniquement à la programmation culturelle.
Une grande famille heureuse et harmonieuse : France Télévisions. Ne le crois pas! Compte tenu de tout cela, le fait qu’il n’y ait pas de solidarité féminine dans le groupe devrait suffire à faire reconsidérer son séjour.
En cette période de bouleversements, les journalistes et les animateurs n’arrangent pas les choses. Ceci est conforté par l’interview d’Agnès Vahramian dans France-Soir. Lors de l’animation de C’est plus que des vacances, la journaliste met un point d’honneur à faire la distinction entre savoir et plaisir, et elle n’hésite pas à critiquer sa nouvelle collègue Virginie Guilhaume.
Après avoir travaillé 20 ans dans les coulisses de France Télévisions, Agnès Vahramian est passée devant la caméra dans l’émission de France 2 C’est plus que des vacances, dans laquelle des individus (dont l’animatrice de l’émission, Nolwenn Leroy) font visiter les téléspectateurs. de leur pays natal dans un combi Volkswagen des années 1970.
C’est peut-être un bon spectacle, mais il ne divertit pas vraiment.A-t-elle peur de devenir trop célèbre ? Agnès Vahramian, une “vraie” journaliste engagée et qui n’édulcore pas ses propos, affirme : “L’important pour moi, c’est de lever les tabous”.
Même si elle a confiance en elle (“Demandez à Thierry Thuillier (directeur général adjoint en charge des magazines d’information de France Télévisions, ndlr) ce qu’il pense de moi, il vous dira que je ne veux jamais lâcher quoi que ce soit”) , elle n’aime pas être comparée à ses sœurs, notamment Virginie Guilhaume.
C’est quelque chose que le journaliste semble tenir pour acquis : “Dans l’actualité, nous vivons dans un monde à part. Pour être honnête, je n’ai aucune idée de qui ou de quoi Virginie Guilhaume présentera le premier jour de cours.
La dernière chose que vous’ Je me verrai un jour faire, c’est animer une émission de variétés. “Il faut aussi faire la différence entre les animateurs à qui on donne beaucoup de travail et ceux qui s’investissent vraiment”, dit un jour la jeune maman d’un petit Roméo (né de son fils). racontée à nouveau dans une sentence mortelle (en s’associant à son mari, le réalisateur Stéphane Gâteau).
France 2 diffusera ce soir à 20h35 le premier épisode de C’est plus que des vacances. Agnès Vahramian, femme au caractère fougueux, fera ses débuts à la télévision face au RIS Police Scientifique de TF1, une référence d’audience reconnue.Qui sera l’animateur célèbre d’une grande émission de télévision ou d’un “journal” ? Nous avons cette petite notion.
Depuis plus de dix mois, le conflit en Ukraine domine la couverture médiatique de tous les médias. Les journalistes envoyés en mission reviennent souvent en studio pour partager leurs récits des horreurs qu’ils ont vécues sur le terrain et les actes de soutien et de solidarité dont ils ont été témoins dans les brefs instants entre les explosions.
Parmi eux, Maryse Burgot. Depuis le début de l’incursion russe, le reporter de guerre de France 2 a effectué pas moins de six sorties en Ukraine. Le dimanche 4 décembre à 20h30 sur France 2, Maryse Burgot a évoqué les aspects émotionnels de son travail en couvrant cette guerre avec l’animateur Laurent Delahousse et trois. Dans une déclaration particulièrement pointue, elle a déclaré : “Je ne m’autorise aucune humeur quand je rentre à la maison”.
Force est de constater que Maryse Burgot, 58 ans, ne se sent jamais seule en Ukraine. Son équipe sur place est composée d’un caméraman et de fixeurs (des Ukrainiens qui font office de guides, d’interprètes et, dans de nombreux cas, de gardes du corps pour les journalistes français).
Elle se retrouve alors face à face avec des survivants de la catastrophe, des citoyens ordinaires qui ont été durement touchés par la tragédie. Elle peut resterJe rentrerai chez moi à la fin de sa mission.