Affaire Lina Disparue – Lina a disparu ; le dossier du tribunal portait la mention « ouvert pour mise sous séquestre ou mise sous séquestre ». Lina, 15 ans, est portée disparue depuis plus d’une semaine dans la Vallée de la Bruche.
Une maison à Diespach (commune de Plaine) a été mise sous scellés dimanche soir après que des experts médico-légaux ont investigué la zone pendant plusieurs heures. Tenez-vous au courant des derniers développements à mesure que nous en apprenons davantage sur la disparition de Lina.
Lina, une jeune fille de 15 ans, est portée disparue depuis le 23 septembre. En fin de matinée, elle parcourait à pied les trois kilomètres qui séparent son domicile du hameau de Champenay (commune de Plaine) jusqu’à la gare de Saint- Blaise-la-Roche.
Pour rendre visite à sa petite amie à Strasbourg, elle devait prendre le train, mais elle n’y est jamais arrivée. Une alerte de recherche a été immédiatement lancée. L’adolescent est encore inaccessible à ce stade. Jeudi, les gendarmes de plusieurs communes du Bas-Rhin ont mené ce qu’ils ont qualifié d'”énorme opération”.
Samedi soir, les détectives suivaient des pistes qui les menaient à Diespach, une commune de la commune de Plaine. Là, ils découvrent une maison placée sous scellés. Diespach : une enquête longue et infructueuse
Nos amis parisiens nous disent que leur recherche exhaustive de logement à Diespach (Plaine) n’a rien donné. Son locataire actuel est un professeur de musique dont l’audition n’a pas non plus été concluante. Une communication du casier judiciaire pour “suppression ou séquestre”
Les procureurs de Saverne et de Strasbourg ont publié un communiqué commun indiquant qu’après huit jours d’enquête sous le régime de flagrance, ils vont ouvrir une information contre les dirigeants La police de Saverne a été réaffectée à d’autres missions en raison de “la complexité de l’affaire”, et l’enquête a été confiée à la police de Strasbourg, précise le communiqué.
Il y a eu deux arrestations de juges d’instruction. Ce changement dans le cadre juridique donnera aux enquêteurs une autorité élargie, déléguée par les juges de première instance. Ils pourront notamment installer des postes d’écoute, organiser des confrontations, appeler des témoins ou des suspects et les détenir en tant que « témoins protégés » ou « gardes équipés de caméras ». Des détectives professionnels au sommet de leur art.
Les détectives qui se sont présentés dimanche matin au domicile de Diespach portaient les insignes de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN), l’un des joyaux de la science policière française.
Ses membres sont des scientifiques de statut militaire basés à Pontoise dans le Val-d’Oise et qui portent tous une valise prête. Ils doivent pouvoir intervenir chaque fois que leur expertise est nécessaire, même lors d’enquêtes complexes comme celle qui porte sur la disparition de Lina.
Leur expertise ne s’arrête pas aux centaines de milliers d’analyses ADNA qu’ils effectuent chaque année. Il y a des chimistes, des biologistes, des ingénieurs en mécanique, des informaticiens, des toxicologues, des docteurs en droit et bien plus encore à l’institut. En 2019, sa direction nous a ouvert les portes. Troubles et troubles dans le quartier
Un habitant du coin, Jacky, affirme que le locataire de la maison Diespach y vit seul depuis quatre ans. Malgré des conversations occasionnelles, comme lorsque son voisin venait demander conseil à Jacky sur le choix d’un fournisseur de bois, Jacky voyait rarement ce voisin. Une connaissance commune “ne peut pas croire” que l’occupant de la maison saisie puisse être tenu responsable.
Jacky partage le sentiment dominant des autres habitants du hameau : « la peur ». Peu après 9h30, quatre autres véhicules sont arrivés. Nos espions sur place ont aperçu à bord des agents de l’Institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale (IRCGN). Ces experts de premier plan sont basés en région parisienne, mais ils peuvent être appelés à mener des enquêtes et à fournir des expertises « d’une certaine complexité » partout en France ou à l’étranger.
Le site de la maison placée sous scellés à Diespach, hameau de la commune de Plaine, reste sous étroite surveillance au lendemain de sa découverte ; à l’aube, le véhicule d’une équipe de cynophiles et de gendarmes a bloqué l’entrée de la rue. Peu avant 8 heures, un autre véhicule identifié est arrivé. Vendredi, cette maison et plusieurs autres du quartier avec une Clio de couleur foncée avaient déjà été visitées par les enquêteurs.
Dimanche, un outil d’investigation majeur a de nouveau été utilisé. Les techniciens de police judiciaire en combinaison blanche ne quittent le bureau qu’à 21 heures. Le parquet de Strasbourg a annoncé l’ouverture d’une information judiciaire pour enlèvement ou séquestre dimanche prochain, sept jours après la disparition de Lina, 15 ans, à Plaine (Bas -Rhin).
Il s’agit d’un nouveau développement dans l’enquête sur la disparition de Lina, 15 ans, disparue le 23 septembre près de Plaine, dans la haute vallée de la Bruche en Alsace. Une semaine après sa disparition, le parquet de Strasbourg a annoncé le 1er octobre qu’une information judiciaire pour enlèvement ou séquestre serait ouverte ce jour-là.
L’enquête, qui a débuté le 23 septembre 2023 et a duré « après plus de sept jours d’investigations approfondies », comme l’a indiqué la justice dans un communiqué, n’a pas permis de retrouver l’adolescent disparu.
Compte tenu de la complexité de l’affaire, la procureure de la République de Saverne en charge a indiqué avoir pris des mesures pour rationaliser l’enquête en faveur du parquet de Strasbourg. Deux juges d’instruction seront affectés au dossier. La Division de Recherches de la Gendarmerie de Strasbourg et le Groupement de Gendarmerie du Bas-Rhin sont toujours en charge de l’enquête.
Ce dimanche, la recherche de la jeune fille disparue se poursuivra. À environ cinq kilomètres du lieu où la jeune fille a été vue pour la dernière fois, dans le village de Plaine, les gendarmes ont concentré leur attention sur une seule habitation du hameau de Diespach.
Sept jours de recherches infructueuses
Lina a disparu le 23 septembre alors qu’elle parcourait les trois kilomètres qui séparaient son domicile de Champenay de la petite gare de Saint-Blaise-la-Roche. L’adolescent, qui avait quitté la maison vers 11 heures, se rendait à Strasbourg pour rendre visite à son petit ami. Son téléphone a arrêté de sonner à 11h22.
Depuis le jour de la disparition, la police a ratissé tout le terrain montagneux, boisé et rocheux ainsi que les villes environnantes. Deux rassemblements citoyens ont attiré plusieurs centaines de personnes. Des drones, des chiens et un hélicoptère équipé de caméras thermiques ont été utilisés. Des plongeurs ont tenté de pêcher dans deux lacs sans succès jeudi.
A partir d’aujourd’hui 29 septembre, les opérations d’extraction sont en cours tandis que Lina, 15 ans, est portée disparue dans le Bas-Rhin depuis le 23 septembre. Les recherches ont également été multiples. Il y a des échantillons scientifiques dans une camionnette appartenant à l’institut de recherche criminelle. Le vendredi 29 septembre, après une fouille approfondie, la police a retrouvé ce qui pourrait être des indicateurs d’activités criminelles.
Lina est portée disparue depuis le 23 septembre et ces objets seront analysés pour voir s’ils contiennent des traces de son ADN. Les enquêteurs sont arrivés à Bellefosse (Bas-Rhin) en fin de matinée le 29 septembre.
Procédés d’extraction existants
Il s’agit de l’une des nombreuses recherches menées vendredi, le jour du raid, qui ont débuté à 6 heures du matin. Samedi, une opération coordonnée aux proportions massives a eu lieu avec des bombardements ciblés dans plusieurs communautés situées à des dizaines de kilomètres de l’itinéraire que Lina était censée emprunter. .
Six véhicules de même marque et couleur ont été analysés. C’est un témoignage comme celui-ci qui a alerté la police sur ces voitures. Une maison a été fouillée pendant plus de deux heures, et les bennes d’une déchetterie ont été inspectées du sol au plafond. Les enquêteurs exploitent actuellement tous ces objets collectés. Pour l’heure, aucune piste n’a été négligée.
Lina a disparu et deux juges d’instruction ont été détenus dans l’attente d’un « enlèvement ou séquestration ». Le territoire de Saverne a été sacrifié pour que les autorités strasbourgeoises puissent retrouver une jeune fille de 15 ans disparue depuis plus d’une semaine. Le 1er octobre, la police a de nouveau été appelée dans un domicile de Plaine (Bas-Rhin).
La voie criminelle est évidemment celle à emprunter. Dans l’affaire de la disparition dans le Bas-Rhin de Lina, 15 ans, portée disparue depuis près d’une semaine, deux juges d’instruction ont été cosaisis pour “enlèvement ou séquestration”.
Les procureurs Aline Clérot et Yolande Renzi, respectivement de Saverne et de Strasbourg, précisent dans un communiqué commun que la compétence de la première en matière “d’enfermement ou de séquestre. Les enquêtes seront désormais dirigées par deux juges d’instruction strasbourgeois du Cosaisis.
Ce dimanche 1er octobre, la recherche de Lina s’est concentrée sur une résidence. À Plaine (Bas-Rhin), commune d’origine de l’adolescent disparu, la police était sur place tôt ce matin. Près de la résidence, située dans le hameau de Diespach et dont l’entrée est bloquée par un véhicule de gendarmerie, un groupe de journalistes s’est rassemblé.
Il y a également trois militaires dans ce groupe. Vers 8h30 du matin, une voiture arborant le logo de l’équipe cynophile a quitté les lieux. Puis, vers 9h30, des techniciens de l’Institut de Recherches Criminelles de la Gendarmerie Nationale se sont présentés.