Affaire Jamel Debbouze – C’est à chaque fois la même histoire : le comédien/acteur paralysé Jamel Debbouze a perdu l’usage de son bras droit après avoir prétendument poussé et tué un jeune homme pour lui voler sa chemise sous les roues d’un wagon de métro. C’est Mitterrand qui lui a fait preuve de grâce derrière les barreaux. Le texte, qui n’hésite pas à qualifier l’intéressé de “meurtrier”, les appelle à le “boycotter”.
Je suis parti tard alors que je n’étais pas obligé et ce n’était juste envers personne. Je me suis réveillé sur le quai d’une gare. J’espérais gagner un peu plus de temps. Le bus que j’ai vu passer. Et j’ai traversé les voies ferrées la nuit sans regarder à gauche ni à droite.
Un de ses compagnons a été tué dans le même accident. Les parents de l’homme, un couple français, ont porté plainte contre Jamel Debbouze, l’accusant d’avoir poussé leur fils sous un train à cause d’une histoire fabriquée de toutes pièces concernant une chemise volée.
La rumeur fait donc allusion à de véritables accusations qui circulent. Cependant, Colporte fournit une version totalement fausse des conséquences juridiques de l’affaire. La plainte des parents du défunt ayant effectivement été réglée à l’amiable, Jamel Debbouze n’a jamais été jugé et acquitté.
Même si Jamel Debouze est un véritable prodige de la scène, du cinéma et de la télévision (et surtout de la comédie), il est issu d’un milieu sombre. Les ténèbres de sa vie sont bien représentées. Qui ne s’est jamais demandé ce qui était arrivé au bras droit de Jamel Debbouze ?
En effet, celui qui a fondé le Jamel Comedy Club est accusé du meurtre de Jean Paul Admette, le 17 janvier 1990. Les proches de la victime n’ont pas abandonné leur croisade contre l’acteur. Cette histoire a été racontée à maintes reprises, mais l’incident a été largement oublié, voire enterré.
Pour vous rafraîchir la mémoire, le 17 janvier 1990, vers 20h30 heure locale, deux adolescents ont été éjectés du train Nantes-Paris alors qu’il entrait en gare de Trappes, roulant à environ 150 kilomètres/heure.
Jean-Paul Admette, 16 ans, fils de Michel et Marlène Admette de La Réunion, a été tué dans une fusillade en bord de route. Jamel Debbouze en ressort avec des conséquences désastreuses. Bien qu’il ait évité de peu l’amputation, il sera définitivement incapable d’utiliser son bras droit.
La mère de Jean-Paul n’accepte pas la mort de son fils et ne cesse de remettre en question la responsabilité de Jamel Debbouze. Je jure que Jamel Debbouze est l’assassin de mon fils, qu’il l’a poussé sous le train. Aujourd’hui 17 janvier 1990, Jamel est venu chez nous à Guyancourt chercher mon fils. Il était dix-sept heures du soir. Il y avait deux autres personnes avec Jamel.
Ils ont fait prendre à mon fils le bus puis le train. Puis le drame a frappé. Tout est arrivé parce que Jamel, qui n’a jamais été le petit-ami de mon fils malgré ce que certains prétendent, lui a menti en disant qu’il était avec un groupe de voyeurs qui voulaient mettre la main sur son blouson qui n’a jamais été retrouvé. Seuls les corps nous ont été restitués. Jamel a effectivement tué mon fils en orchestrant l’embuscade et en le poussant sur l’autoroute de la mort.
Le jour où Jean-Paul a été admis au centre de formation du PSG dans les Yvelines, il a appris quelque chose de nouveau. Le même jour, Jamel est envoyé à sa porte pour lui demander s’il a besoin de l’emmener à la gare de Trappes. Malgré les réserves de sa famille, le jeune homme décide de la suivre. Il utilise de nombreux personnages différents pour ne pas être considéré comme un seul type d’improvisateur (comme un citadin, un trublion ou un surdoué).
Au lieu de révéler l’histoire de son ascension et la face cachée d’une biographie qui, à 32 ans, rappelle déjà des épisodes romantiques, Marie Jocher et Alain Kéramoal s’intéressent davantage à explorer la tendance à l’absurde de Jamel pour tenter de l’imposer comme un comédien. protéiforme.
Les auteurs affirment avoir mené une enquête « détaillée », « pot-de-vin » et « intime » sur la vie du jeune prodige de Canal+ afin de reconstituer son histoire. Le sous-titre « La vie secrète d’un magicien comique » suggère que le livre fera la lumière sur des informations jusqu’alors inconnues.
Oubliez ce qu’aurait pu être ce livre si Jamel Debbouze y avait mis corps et âme ; si les auteurs n’avaient pas été aussi repliés sur eux-mêmes ; s’ils avaient pris le temps d’apprendre toute la portée de son histoire. humour spécifique au contexte, bizarrerie linguistique, dégoût conscient pour le comportement humoristique et technique d’expression physique. Plus qu’une biographie de l’artiste, un commentaire social ou un appel à partager le regard de l’auteur sur le monde, La Vérité de Jamel Debbouze est un ouvrage d’investigation.
Certains y découvriront peut-être que Jamel Debbouze, né à l’Hôtel-Dieu-Lariboisière à Paris, est un membre de la famille Barbès devenu voyou du ghetto, Merisier et dortoir gamin. L’histoire est centrée sur l’éducation du protagoniste dans les bidonvilles, son implication dans un petit groupe et ses « affaires », légales ou non, ainsi que ses préférences artistiques, ses caprices et ses plaisanteries irascibles.
Au fil de deux épisodes, la « révélation » devrait se construire. Tout d’abord, il y a eu le fameux accident qui l’a rendu incapable d’utiliser son bras droit. Le Parisien des années 1990 raconte comment il a été tué en gare de Trappes par un train. L’un de ses amis s’est avéré faire partie du groupe de jeunes naïfs qui ont accidentellement changé de train sur la ligne Nantes-Paris.
Cependant, les parents de l’ami envisagent de porter plainte contre Jamel, l’accusant d’avoir poussé leur enfant devant un train en inventant une histoire de blouson volé. Le couple français maintiendra son déni d’avoir été dupé et accusera Jamel d’avoir comploté un assassinat au moins jusqu’en 2002, date à laquelle Jamel envisage de se rendre en République dominicaine et en Haïti. Puisque Jamel a toujours nié cette version des faits et que son témoignage de conducteur de train apparaît totalement intact, les représentations programmées doivent être supprimées.
Si cette dernière hypothèse est vraie, elle sera opposée aux ingérences des Sœurs de Mourine. Debbouze a rencontré Nadia pour la première fois alors qu’elle était prise dans l’hystérie de la « jamelmania ». Cette jolie dame a volé son carnet d’adresses et est maintenant employée comme responsable des finances personnelles de la nouvelle star, où elle est chargée de s’assurer que l’argent de la star est bien géré (avec sa sœur aînée, Fatima). en plus de planifier des concerts et autres événements.
La maltraitance sera très prochainement reconnue pour ce qu’elle est par Jamel. Deux jeunes filles réfugiées marocaines se défendront contre des accusations de détournement en affirmant avoir agi conformément aux souhaits de Jamel (en tant que pygmées consentants). Les médias n’ont prêté aucune attention à ce procès. Sans autorisation écrite préalable d’Around the World, la reproduction totale ou partielle est interdite.
Ce que pensent et disent vraiment les porcs
C’est l’histoire intemporelle d’un livre qui a captivé les lecteurs de tous âges. Une légende urbaine qui circule depuis quelques temps sur Internet (le site spécialisé hoaxbuster.com s’y est intéressé en 2014) et qui ne cesse de réapparaître sous de nouvelles formes, comme une publication Facebook du 17 juillet 2020 partagée par des milliers de personnes. Les humains, ou leur quantité. as.
C’est toute une invention parce que…
L’histoire est basée sur un événement bien connu de la vie de Jamel Debbouze. A l’âge de 14 ans, il est heurté par un train à la gare de Trappes, lui invalidant définitivement le bras droit.