Affaire Gregory Corbeau Identifié And – Une nouvelle tentative s’est produite au début des années 2010, cette fois à l’initiative de Christine et Jean-Marie Villemin. En 2012, de nouvelles investigations sont ouvertes sur la présence d’un guépard sur les pantalons et les chaussures de Grégory, ainsi que la découverte de traces d’ADN sur ses cordons et enveloppes.
L’affaire connaît un nouvel essor plus de quarante ans après la mort du petit Grégory. Une nouvelle analyse ADNA permet d’identifier l’escroc qui a écrit à la famille Villemin à l’été 1985. Le 16 octobre 1984, Grégory Villemin est tué par balle, bouleversant à jamais l’histoire judiciaire et médiatique française.
Trente-neuf ans après ce drame non résolu, il reste encore de nombreux endroits sombres dans le monde. La réception de lettres anonymes par la famille Villemin constitue un élément clé de l’enquête. Jean-Marie, le père de Gregory, a commencé à recevoir des menaces anonymes par courrier dès 1983, soit plus d’un an avant la disparition de son fils, puis son assassinat.
Une flèche perdue est retrouvée
Après que le corps de l’enfant ait été retrouvé ligoté et noyé dans la Vologne, à environ six kilomètres du domicile familial, les lettres ont commencé à attirer l’attention de la justice. Un premier pli avait déjà justifié le meurtre du jeune garçon dès le lendemain. La France entière cherchait alors les corbeaux. Près d’un an après le drame, le 25 juillet 1985, une nouvelle lettre arrive au domicile de Monique et Albert Villemin, les grands-parents de Grégory.
Je vais donner une nouvelle chance aux Villemain de vous éplucher la peau. Bientôt une victime, Monique, semble-t-il. Une lettre dactylographiée dont l’auteur est apparemment bien connu dans le milieu judiciaire, du moins selon Marianne et Le Parisien. Un Corbeau identifié mais désengagé Selon Marianne, la famille Villemin a demandé une expertise complémentaire en janvier 2021, notamment pour identifier des preuves d’ADNA sur scelés.
Selon Le Parisien, l’équipe scientifique a étudié “l’ADN de parentèle”, une technique qui relie une empreinte génétique à d’autres de la même filiation afin de la comparer à celles de la base de données nationale des empreintes génétiques (FNAEG).
Des analyses ont permis d’associer un nom à l’ADN retrouvé sur une enveloppe datant de l’été 1985. Une femme d’origine guadeloupéenne, résidant actuellement à Paris. Après avoir été interrogée, la Guadeloupéenne a reconnu avoir écrit la lettre, mais nos frères dans la foi insistent sur le fait qu’elle n’a rien à voir avec ce scandale.
Ce nouvel regain d’intérêt démontre l’ampleur de cette affaire dans les années 1980 et la fascination macabre qu’a toujours eu le grand public pour le mystère vosgien. “Le temps pourra peut-être nous aider” Me Christine Chastant-Morand, avocate des parents de Grégory, a déclaré au Parisien : “Cela prouve que nous avions des raisons de croire à ces expertises ADN”. “Maintenant, plusieurs années plus tard, il est clair que l’espoir dans l’ADN est bien placé.
Le temps, grâce aux progrès scientifiques, joue peut-être en notre faveur. Jean-Marie et Christine Villemin ont eu raison d’y croire et de le poursuivre, a-t-elle poursuivi. Près de quarante ans après le drame, le couple ne perd pas espoir de connaître la vérité sur “les dernières heures de la vie de leur fils”.
Dans le cas de Grégory, l’un des « corbeaux » a été retracé jusqu’à son ADN et traduit en justice.
La justice a identifié l’un des “corbeaux” responsables des lettres envoyées à la famille Villemin après le meurtre du petit Grégory en 1984.
Le cas du petit Grégory Villemin, dont le meurtre n’est pas élucidé depuis 40 ans, s’échauffe à nouveau. Mercredi, le parquet général de Dijon a indiqué que l’un des “corbeaux” qui avait écrit une lettre anonyme aux grands-parents de l’enfant avait été identifié.
Cette lettre, datée du 24 juillet 1985 et adressée à Monique et Albert Villemin, menaçait : « Je vous ferai peau neuve ». Le 16 octobre 1984, le corps de leur fils de 4 ans est retrouvé pieds et mains liés dans la Vologne (Vosges).
Les chercheurs ont utilisé une technique appelée « l’ADN de parentèle » pour faire avancer l’enquête. Cette méthode permet aux enquêteurs de comparer une empreinte génétique avec l’ADN d’autres individus de même filiation et de déterminer si l’empreinte digitale correspond ou non à celles du FNAEG.
Ce parallèle nous a permis de déterminer que l’auteur de la lettre était une Guadeloupéenne résidant à l’époque à Paris. Même si elle a admis avoir écrit la lettre, elle a nié toute implication dans l’assassinat lorsqu’elle a été interrogée.
Une piste trompeuse
Le procureur général de Dijon a déclaré à l’AFP que les informations du magazine Marianne étaient fausses. François Saint-Pierre, l’un des parents des avocats du petit Grégory, a déclaré à l’AFP : “Ce n’est pas la lettre de revendication du crime”. Mais “celui d’un individu mécontent et sans lien avec l’affaire”, a-t-il ajouté. De nouvelles pistes de recherche sont toujours explorées dans la recherche d’empreintes génétiques.
Au fil des années, l’enquête s’est concentrée sur un certain « corbeau » qui a envoyé de nombreuses lettres anonymes et menaçantes aux habitants de Villemin. Des experts en graphologie ont déterminé en 2017 qu’une lettre écrite en 1983 par Jacqueline Jacob, la grand-mère de Grégory, lui appartenait. Elle et son mari Marcel ont fait l’objet d’une enquête, mais celle-ci a été interrompue en mai 2018 en raison d’une faute de procédure.
La rédaction vous le recommande vivement. Avec l’aide des suspects, des pistes et d’ADN, l’affaire Corbeau a été résolue. bilan de près de 40 ans d’enquêtes et de reprises Les parents de Grégory Villemin ont demandé des recherches ADN actualisées, qui ont permis d’identifier l’un des courriers anonymes que la famille recevait depuis des années.
Retour sur une immense saga médiatico-judiciaire dont les répercussions se font encore sentir aujourd’hui. Nouveaux développements dans le cas de Grégory Villemin, 4 ans, dont les pieds et les mains ont été retrouvés à Lépanges-sur-Vologne (Vosges) en octobre 16, 1984.
De nouvelles expertises scientifiques sur les preuves accumulées dans l’affaire ont permis d’identifier l’auteur d’une des lettres anonymes, les missives nauséabonde envoyées régulièrement à la famille Villemin avant et après le meurtre.
Que s’est-il passé exactement
En fin d’après-midi, l’oncle du petit garçon reçoit un appel d’un mystérieux « corbeau » qui lui dit : « Je me suis vengé, j’ai pris l’enfant. » Peu de temps après, le corps du jeune le garçon est retrouvé.
Moins probable
Après le témoignage concordant de sa sœur adolescente, Murielle Bolle, Bernard Laroche, le cousin de Jean-Marie Villemin, est reconnu coupable de meurtre et exécuté le 5 novembre 1984. Cette dernière affirme l’avoir accompagné dans son trajet en voiture pour récupérer Grégory, et qu’elle le regardait déposer le garçon au bord de la Vologne et « revenir seul ».
En février 1985, Bernard Laroche est libéré de prison après que l’adolescent soit finalement revenu témoigner contre lui. Deux mois plus tard, le père de la victime, Jean-Marie Villemin, convaincu de sa culpabilité, tue son cousin. Christine Villemin, la mère de Grégoire, est qualifiée de « corbeau » par les graphologues français en juillet 1985.
Des cordes comme celles utilisées pour étouffer le jeune garçon ont été découvertes dans la grotte, laissant croire aux enquêteurs qu’un meurtre d’enfant y avait été commis. Après que les parents Villemin ont demandé un profil ADN en 2000, des chercheurs ont recherché des empreintes digitales sur une lettre écrite par le “corbeau” en 1983.
L’analyse d’experts révèle deux brins d’ADN distincts qui ne correspondent pas à ceux de l’aristocratie Villemin. Finalement, il devient clair qu’aucun des 150 personnages principaux de l’histoire n’a de lien avec les traces identifiées. Les scellés (vêtements, cordons, enveloppes) ont été trop endommagés et manipulés pour qu’ils soient utiles.
