Affaire Estelle Veneut – Le meurtre d’Estelle Veneut, 34 ans, à Bouchemaine, le 22 février 2018, par son ex-conjoint a été au centre de l’émission Enquêtes criminelles de W9 toute la semaine.Le meurtre d’Estelle Veneut, 34 ans, à Bouchemaine, le 22 février 2018, par son ex-conjoint a été au centre de l’émission Enquêtes criminelles de W9 toute la semaine.
Nathalie Renoux, journaliste, animera une émission le mercredi 4 octobre à 21h05. Une dizaine de personnes (dont le réalisateur, le caméraman, les assistants, le monteur, etc.) l’ont tourné en Anjou fin mai.
Le meurtre d’Estelle Veneut doit entraîner au minimum trente ans de prison.
Le procureur de la République a requis trente ans de prison contre l’homme accusé du meurtre d’Estelle Veneut à Bouchemaine en 2018. Cette peine serait suivie d’une période de « sûreté » de vingt ans. Le samedi 4 février en fin de journée, une décision sera prise.
Le procureur général de l’État, Los Raschel, a requis la perpétuité et 20 ans de sécurité contre l’homme accusé du meurtre d’Estelle Veneut, 34 ans, à Bouchemaine en février 2018. Le procureur de l’État a également demandé qu’il soit déchu de ses droits parentaux.
L’épreuve n’est pas la conclusion d’une souffrance, mais plutôt un temps de chagrin et de renaissance. Une cellule familiale avait été détruite. L’accusation officielle portée contre lui est un féminicide. Il s’est exprimé en tant que procureur et a déclaré : « C’est un crime terrible ».
D’une part, cette liste horrifique et la détermination acharnée de Monsieur à la mener à bien sont cruciales. Et sa fabrication, qui s’est développée parce qu’il le fallait. […] Mais souhaitait-il réellement sa mort ? […] Est-il possible qu’il ait agressé Estelle Veneut volontairement ? Oui.
Est-ce que quelqu’un a été tué à cause de ça ? Le lien entre les deux est indéniable. […] Avait-il l’intention de tuer quelqu’un ? Hier, il nous a révélé qu’il avait envisagé de l’assassiner. Sa santé est revenue rapidement. Il affirme qu’il n’avait aucune intention de la tuer. Ce n’est pas vrai. […] Il est impossible que quelque chose comme une course folle ou un accident se produise en 30 secondes.
Le procureur général a demandé au jury de ne pas se montrer trop indulgent. Tout en faisant valoir que l’absence d’antécédents criminels constitue un motif suffisant pour ne pas imposer la prison à vie.
L’homme de 38 ans présent sur le banc des accusés ne montre aucune émotion. Un plan d’action qui est en place depuis le début du procès. Il s’accroupit, les oreilles dressées, dans sa chemise bleue, et regarde le sol. Parfois, les avocats des parties adverses dans une affaire civile le regardent directement.
Me Pascal Rouiller, qui se tenait devant lui, a soutenu qu’il était évidemment le meilleur du peloton. Même s’il n’a pas les antécédents souvent associés aux suspects criminels, je ne crois pas que cela l’exonère de toute responsabilité. Pensez-vous qu’il y a quelque chose dans son passé qui pourrait faire la lumière sur les raisons pour lesquelles il l’a détruite, ainsi que leur enfant et leur famille ?
J’ai oublié de sauver maman et ça m’a coûté beaucoup de temps.
Kader (1) détournera occasionnellement le regard si le ton de l’orateur est vraiment sévère. Il est sur elle maintenant et il la coince pour qu’elle ne puisse pas se relever. Je lui donne une bonne et forte pression pour la faire taire. […] L’incroyable efficacité du tueur a fait en sorte que personne ne verse une larme. Vous pensiez probablement à l’époque que le crime était sans faute.
Me Mathilde Livenais s’est battue pour la fille du couple, qui n’avait que six ans lorsqu’elle a vu sa mère étranglée. Elle a été témoin du pire qui pouvait arriver.Cauchemars, cris, apparition de troubles obsessionnels compulsifs, peur de retourner à l’école et sentiment de culpabilité étaient autant de symptômes.
Cette petite fille de sept ans à l’époque avait déclaré : “Je n’ai pas réussi à sauver maman”. Il fallait qu’elle soit là pour éviter le désespoir du 22 février. Elle a enfin appris à défendre sa mère. Elle commence à retrouver son indépendance.
L’avocat s’est adressé au jury. La phrase que vous vous apprêtez à prononcer doit être appropriée à cette jeune femme. Elle devra apprendre à vivre sans sa mère pour toujours. Si vous traitez sa belle mère équitablement, vous la traiterez également équitablement.
La prochaine édition d’Enquêtes critiques sera diffusée sur W9 le 4 octobre à 21h05. Un numéro entier consacré à une affaire qui a basculé à cause d’une jeune fille courageuse.
Dans de nombreux cas, seuls les membres proches de la famille sont concernés. C’est le meurtre d’Estelle Veneut, une jeune assistante pédagogique de 34 ans, qui sera évoqué dans l’émission Enquêtes criminelles de W9, mercredi 10 octobre. Suite au témoignage de sa fille de 6 ans, qui a identifié son père. en tant qu’assassin, la justice était sur la piste de son assassin. Une enquête qui n’aurait pas été close si vite sans le courage de la petite fille.
Le témoignage crucial de la fille de la victime
En plein hiver 2018, l’avertissement a été émis dans la soirée. Après avoir reçu un SMS d’Estelle Veneut à 19h15. le jeudi 22 février, sa sœur n’a plus eu de nouvelles d’elle depuis. Elle n’est pas la seule à s’inquiéter du sort de la mère, dont on est sans nouvelles depuis un certain temps.
Badr Smati, l’ami de la femme, est la première personne considérée par la police comme suspect possible. Il décrit une dernière dispute houleuse avec Estelle, qui l’a poussé à emmener sa fille et à quitter leur domicile de Bouchemaine, non loin d’Angers.
Badr Smati a tenté d’appeler son petit ami, mais personne n’a répondu. Certes, le couple est en train de se séparer en ce moment, mais leur départ précipité a éveillé les soupçons des forces de l’ordre. C’est la fille du couple, âgée de 6 ans.
Un père incarcéré pour le meurtre de la mère de son enfant
Si vous l’entendez, elle évoque la terrible mort, les disputes et les intimidations de sa mère. De nouveaux détails émergent, conduisant les enquêteurs à mettre Badr Smati en prison. Il raconte à la police qu’il a étranglé sa petite amie avec un foulard puis qu’il a jeté son corps dans la Loire pour dissimuler son crime.
Il a été déféré au tribunal et a plaidé coupable, affirmant qu’il n’avait pas l’intention de tuer Estelle Veneut. Il a été reconnu coupable du meurtre de sa femme le 4 février 2018 et condamné à une peine de 30 ans de prison avec une période de sûreté de 18 ans. De plus, Badr Smati ne peut plus prendre de décisions pour sa fille en tant que père.
Synopsis du spectacle
Aux petites heures du matin de février 2018, la police a réveillé Badr Smati pour enquêter sur la disparition de son ex-compagne, Estelle Veneut. Cette mystérieuse disparition le surprend. La jeune aide-enseignante, âgée de 34 ans à l’époque, devait rendre visite à ses parents, mais elle ne s’est jamais présentée.
Les parents de la femme commencent immédiatement à blâmer l’ex-partenaire pour sa disparition. Il affirme qu’il se trouvait chez lui le soir de la disparition avec ses parents et sa fille de 6 ans. Le témoignage d’un enfant s’avérera cependant inattendu.
Au début de la nouvelle année, un procès aura lieu dans le cas d’Estelle Veneut. Entre-temps, de nouveaux détails sont apparus. Explications.Le scandale Estelle Veneut dans le Maine-et-Loire vient de faire apparaître de nouveaux détails terrifiants. Nos amis du Courrier de l’Ouest indiquent qu’un rapport d’enquête criminelle a révélé de nouveaux détails sur l’affaire peu avant le procès du suspect, prévu au début de la nouvelle année.
L’étranglement ne serait pas la cause du décès.
Les experts qui se sont penchés sur cette affaire ont affirmé que la jeune femme s’était en réalité noyée à Bouchemaine. Cela veut dire qu’elle était encore en vie lorsque son amie l’a jetée dans la Loire. La mort par étranglement était initialement la cause de décès privilégiée par les enquêteurs. Le contraire est prouvé par des recherches plus récentes.
Jeudi soir, Estelle Veneut a disparu de Bouchemaine, non loin d’Angers. Son ex-amant, Badr Smati, a failli l’assassiner samedi 24 février. Dimanche 25 février, il a été arrêté après avoir été inculpé de ses crimes.
Céline Maigné, assistante du procureur au parquet d’Angers, a vérifié la nouvelle dimanche après-midi. Estelle Veneut est décédée. Chargé d’enseignement à l’Université catholique de l’Ouest à Angers (Maine-et-Loire), l’homme de 34 ans a disparu jeudi soir après avoir assisté à la fête de départ à la retraite d’un collègue.
Après quelques heures sans nouvelles, sa famille a publié des appels à l’aide urgents sur plusieurs plateformes de réseaux sociaux. Par exemple, l’un de ses plus proches confidents. Surtout son ancien partenaire Badr Smati. Merci pour l’information et de l’avoir partagée avec nous. Même apparemment petit. Je vous en supplie”, a-t-il notamment plaidé sur Facebook. Il a même troqué sa photo de profil contre celle d’Estelle Veneut. Souriant.
Badr Smati, 33 ans, s’est également présenté vendredi matin à une audience libre avec les gendarmes. Une source proche de l’enquête affirme cependant que ses explications contradictoires ont déconcerté les enquêteurs.
Les déclarations partagées de leur fille de 6 ans du Centre d’accueil pédiatrique pour enfants en danger (Paped) les avaient fait réfléchir. L’ancien partenaire cycliste d’Estelle a été arrêté par les autorités. Cette dernière s’est prolongée tôt un samedi. Selon Céline Maigné, “il a reconnu être impliqué dans la mort d’Estelle Veneut” après avoir eu une tribune pour le faire dans cet entretien.
Cependant, nous approfondissons toujours la question. Notamment pour expliquer ce qui s’est passé lors de l’événement dramatique de jeudi soir. L’accusation reste discrète sur cette affaire. Cet événement tragique serait dû à une querelle de famille. On prétend que son ancien partenaire l’a étranglée.
En revanche, Céline Maigné révèle que Badr Smati a reconnu avoir disposé du corps et du véhicule de sa compagne dans la Loire, à proximité de la commune de Béhuard. Dimanche, les recherches pour retrouver son corps se poursuivaient dans la même zone.
Nous avons appris que Badr Smati, qui jouait le rôle d’un homme jaloux, était séparé de sa petite amie depuis trois semaines. Dimanche matin, il a été placé en garde à vue après avoir été mis en examen par le juge d’instruction.