Affaire Émile Grand-Père – La sieste des jeunes et leur partie de tourbillonne en ce samedi après-midi particulier étaient terminées. Les preuves suggèrent qu’« Émile a une personnalité unique », comme l’a déclaré un témoin à l’enquête. Pour faire simple, c’est un voleur. Le temps est venu pour la commodité.
Ce bon petit homme, aux yeux marrons et de petite taille (il fait environ la taille de trois pépins de pomme), se déplace avec aisance. Il se détend lors de promenades paisibles dans la ville peu peuplée et aime chasser les papillons. Malgré son apparente jeunesse, il connaît clairement le chemin.
Ses vacances d’été tant attendues commencent officiellement aujourd’hui. Pendant que Philippe, le grand-père d’Emile, charge des piquets et du fil électrique dans le coffre de la voiture familiale pour clôturer le champ des étalons de la famille, Emile s’amuse dans la rue animée devant la maison.
Il y a beaucoup de monde qui ont quadrillé la petite ville. Selon l’enquête, l’enfant a été repéré dans la rue par deux personnes différentes vers 17h15. Deux déclarations sur l’honneur : l’une d’un adolescent et l’autre d’un homme d’une soixantaine d’années. Par ignorance, ce voisin critique le manque d’intervention. Le sexagénaire rencontre fréquemment des comiques solitaires de hameau engagés dans des loisirs solitaires au niveau de la rue.
Mais ce n’est pas tout ; son bouvier bernois ne fait presque pas de bruit. Le voisin est conscient que son chien réagit de manière cohérente chaque fois qu’un intrus ou une menace se présente dans la cour. Le maître de confiance a néanmoins oublié de préciser que son chien n’était pas présent à ce moment-là. Une erreur de jugement qui pourrait vous coûter de précieuses millisecondes. La vision des témoins oculaires revient à la normale. Il y aura d’autres aventures avec Emile. La nouvelle cessera enfin de se répéter.
Le grand-père affirme que la famille et leurs voisins ont immédiatement commencé à rechercher le jeune disparu et ont appelé la police environ 18 heures après les faits. Les citoyens et les touristes de la ville ont formé une chaîne humaine pour parer à la tempête qui approche.
L’ensemble du bâtiment a été repolis par les dix chiens de Saint Hubert. Dans les 48 heures qui ont suivi la disparition, des affrontements ont éclaté entre la police, les pompiers et les forces de sécurité civiles, assistées par plus de 800 volontaires.
Des véhicules aériens sans pilote (UAV) et deux hélicoptères (dont un équipé d’une caméra thermique) surveillent la zone. Le sable s’est déplacé et a explosé sous leurs pieds après qu’Émile ait actionné plusieurs boutons de fer sur le détecteur de métaux. L’équipe canine de Saint-Hubert, composée de 10 personnes, travaille dur pour faire revivre chaque monument brisé.
Nassima Djebli, porte-parole de la gendarmerie nationale, a déclaré que les militaires avaient utilisé la « technique de l’escargot », qui consiste à fouiller une petite zone entourant immédiatement le lieu de la disparition, puis à élargir la zone de recherche pour tenir compte de la mobilité potentielle de l’enfant.
Comme méthode supplémentaire, nous avons utilisé des processus cognitifs immatures. Même si un enfant de deux ans peut trouver une solution réalisable, nous ne l’utiliserons pas comme excuse. Il y a des policiers dans les refuges familiaux qui ont reçu une formation en psychologie de l’enfant. Après avoir cherché pendant des heures sur 97 acres, je suis convaincu que nous n’avons rien trouvé qui nous ramènerait à la colonie.
Aucun du tout. Trois jours après la disparition, un lundi, la zone a été vidée comme s’il s’agissait d’une scène de crime et les volontaires ont été priés de partir. Après quarante-huit heures passées au soleil d’été, les chiens seraient morts rôtis. Si la recherche initiale n’avait rien donné, il ne serait plus caché. Le texte du rapport de police peut être le suivant : “Nous avons fouillé la totalité des 97 acres et je suis convaincu qu’il n’est plus dans le village.”
L’information judiciaire française intitulée “La disparition d’Émile au Vernet” porte sur la disparition d’un petit garçon prénommé Émile le 8 juillet 2023, au hameau du Haut-Vernet sur la commune du Vernet (Alpes-de-Haute-Provence ).
Dès réception du rapport, le FBI commence immédiatement à rechercher l’enfant. Plus d’une centaine de personnes de la région se sont jointes aux recherches de l’enfant disparu, dont des pompiers.
De 20h00 à 3h00 du matin, les équipes de recherche enquêteront dans un rayon de 12 hectares entourant le lieu de la disparition. Faute de nouvelles pistes, la police a commencé à concentrer ses efforts sur la ferme où Émile a été vu pour la dernière fois. Nous enquêtons actuellement sur la disparition d’un certain individu.
En raison du jeune âge de l’enfant et de son manque d’autonomie, la végétation envahissante et les affleurements rocheux de la propriété sont préoccupants. Mais comme le garçon et sa famille courent régulièrement, le maire de Vernet, François Balique, est optimiste quant à la possibilité de résoudre la situation.
Interviewer les grands-parents peut aider dans la recherche. Avec l’aide de 200 bénévoles, ils ont pu se reconstruire. La police utilise des véhicules aériens télépilotés et des hélicoptères équipés de caméras infrarouges. Lundi, nous nous remettrons au travail avec 500 nouveaux bénévoles.
Dans un rayon de cinq kilomètres, le maire des Alpes-de-Haute-Provence a coordonné les efforts de près de 800 bénévoles pendant deux jours. Par ailleurs, il a précisé que la machine serait redémarrée lundi matin.
Il exprime sa gratitude aux volontaires pour leurs efforts inlassables au cours des dernières heures, mais note qu’ils ont demandé à être exclus de toute participation ultérieure afin qu’un système puisse être mis en place avec le soutien militaire pour mener des recherches plus précises. Compte tenu de l’âge de l’enfant, de la météo actuelle et du terrain, le parquet a conclu que “le pronostic vital de l’enfant est engagé”.
C’est ce que nous savons : Plusieurs pistes intrigantes ont été découvertes dans l’enquête sur la disparition d’Emile le 8 juillet. Il convient également de noter qu’il existe une source d’inquiétude majeure. A Vernet, où ne vivent qu’une centaine d’habitants, la panique s’est généralisée à mesure que les rumeurs sur les amis et la famille du garçon se sont répandues.
Inaccessible au monde extérieur depuis une semaine se trouve le village du Haut Vernet, situé sur une flèche verdoyante au milieu de la chaîne de montagnes connue sous le nom de Trois-Évêchés. En ce dimanche soir dans les Alpes de Haute-Provence, les plaines entourant le hameau sont plongées dans l’obscurité, avec seulement des taches de chapeaux brumeux, de sous-bois et d’arbres perceptibles. Au bout de huit jours, l’enthousiasme médiatique a commencé à s’atténuer.
Une ordonnance municipale a fait en sorte que plus personne ne puisse vous approcher. Même à une altitude de 1 300 mètres, l’air est doux et la seule perturbation perceptible est le vacarme de nombreuses voix. La conversation lors d’un pique-nique d’été serait aussi détendue que l’ambiance dans ce scénario. Le fils d’Emile, âgé de deux ans, a disparu le 8 juillet et n’a pas été revu depuis ; la famille est depuis lors emprisonnée dans une « maison de gris et un ».
A proximité se trouvent un certain nombre de grands étangs et de maisons décorées dans des tons terreux de marron, rose et orange, et la route qui longe le bâtiment est raide et sinueuse. Une nouvelle fois, les canidés de la gendarmerie de Saint-Hubert ont repéré l’odeur d’un enfant à proximité de ce triangle et l’ont « marqué ». Nous sommes arrivés au bout de la langue d’asphalte de la Route Départementale 457.
Un événement tragique survenu en 2015 a ruiné un lieu autrement magnifique. Au sud, au pied du volcan, se trouve la communauté de Vernet ; il accueille 125 personnes hors saison et deux fois plus en haute saison, et comprend un hôtel trois étoiles, un terrain de camping et quatre restaurants. Niché dans les bois, à l’abri des regards et des esprits, se trouve un havre de tranquillité.
Au début des années 1980, François Balique, maire de la ville depuis 1977 et organisateur des premières rixes du samedi soir, s’oppose à l’implantation d’une station de ski. Je suppose que “les corbeaux édile” sont un peu en avance sur mon emploi du temps. En 2015, un terrible événement a brisé la quiétude de la banlieue.
En mars, un jeune pilote allemand perturbé, Andreas Lubitz, a écrasé un Airbus A320 dans les montagnes environnantes, tuant au moins 150 personnes. Les habitants de Vernet ont ainsi ouvert leurs maisons et leur cœur aux proches des victimes.
Une pierre tombale a été installée dans le cimetière du quartier. Plusieurs corps de victimes reposent dans ce cimetière. Un parc animalier a été ouvert par le maire après cet événement dévastateur. François Balique craignait que la ville ne devienne trop sombre pour ses habitants. Vos enfants sont votre salut lorsque vous êtes au plus bas. Ils nous conduisent dans des circonstances délicates.
Son plan semblait avoir porté ses fruits. Ils suggèrent d’agir davantage comme des enfants en pratiquant des activités comme faire du vélo en ville, traîner dans les bois et construire des maisons de fortune. Aux Marseillais et aux Aixois fuyant la chaleur accablante de l’été, s’ajoutent un grand nombre d’agriculteurs retraités et de saisonniers qui y ont élu domicile. Le petit Emilio et sa famille en font partie.
Ils sont en couple depuis un demi-siècle et leurs dix enfants ont passé au moins un été ici. En cette journée de mi-juillet, huit personnes au total vivent sous le même toit, âgées de sept à dix ans. Marie, la sœur aînée de la sororité et mère du petit Emile, est de retour à la maison. Il faudra encore une semaine avant le retour de Bathilde, une jeune mariée sans enfant.