Affaire Emile Direct – L’enquête est toujours en cours deux mois plus tard, et le mystère demeure entier. Des détectives de la gendarmerie auraient procédé mardi après-midi à des recherches à la recherche d’un petit enfant porté disparu, prénommé Émile, porté disparu depuis le 8 juillet dans la région du Haut-Vernet, comme le rapporte BFM DICI. Cependant, ils n’ont pas permis l’émergence de nouveaux composants. La police s’est concentrée sur une résidence de hameau à seulement quelques centaines de mètres de la résidence d’intérêt.
Sous une dalle de béton
“La maison de style Phénix a été construite dans les bois non loin d’une cabane de diseuse de bonne aventure et nichée entre deux arbres centenaires”, rapportent les médias. Afin de redémarrer la lecture, veuillez fermer le lecteur contextuel.
L’ensemble du creusement a été réalisé sous une immense dalle de béton mise en place dans le cadre des travaux estivaux de l’entreprise BTP. Dans le même ordre d’idées, BFM DICI affirme qu’un sonar aurait détecté une “anomalie” sur cette dalle quelques jours après la disparition de l’enfant. Il s’agissait donc d’une « levée de soupçons ». La maison est en construction depuis des mois.
Cette maison appartiendrait à un couple de Marignane (Bouches-du-Rhône) habitués de longue date du Vernet et qui payent depuis quelques mois une entreprise du sud de la France pour réaliser des travaux de rénovation sur leur propriété. Avant, elle appartenait à un agriculteur retraité du Haut-Vernet qui continuait à vivre dans la campagne seyne. Emile passait deux mois par jour chez ses grands-parents au hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) lorsqu’il avait deux ans et demi.
Tout le monde en France sait qui il est désormais. Le 8 juillet, Émile, un bambin et demi, disparaît du village montagnard du Haut-Vernet en Haute-Provence. Malgré tous les efforts déployés, il s’est avéré que le petit enfant avait disparu sans laisser de trace.
Selon leurs propres mots, les enquêteurs « continuent d’exploiter des pistes ». En revanche, le procureur de la République d’Aix-en-Provence n’avait “rien de significatif à dire” compte tenu du caractère délicat de l’affaire.
Jean-Luc Blachon a assuré à l’AFP que “non, l’enquête n’est pas au point mort, on continue d’exploiter les pistes”. Bien qu’il n’ait pas voulu donner plus de détails, le juge a déclaré qu’« il existe une cellule d’enquête nationale très active composée de 25 enquêteurs travaillant sur cette affaire ».
Les chiens policiers l’ont suivi jusqu’à une laverie automatique à 50 mètres de la maison de ses grands-parents, mais au-delà, ils n’ont rien découvert. Malgré cela, les gendarmes ont ratissé toute la ville, dont une grande partie est accessible par un chemin long et sinueux à travers le fond de la vallée. De l’autre côté, il y a un petit sentier pratiquement invisible qui mène à l’autre côté du village.
Christian possède une connaissance approfondie de ces artefacts. C’est un ami retraité de la famille d’Émile. Chaque jour, il pense à quel point il lui manque. Cependant, il existe déjà des preuves contrastées. Une voisine dit l’avoir vu monter le hameau, mais une autre dit l’avoir vu descendre. Environ 18 heures avant, un avertissement est émis. Ses parents étaient censés venir le chercher pour l’été, mais ils ne sont pas encore arrivés.
Les trente personnes qui habitent le hameau annexé à la commune de Vernet sont toutes interrogées et leurs voitures sont toutes fouillées. Le 10 juillet, le champ des recherches a été élargi. La police dépêche une soixantaine de militaires, un hélicoptère et un chien nommé Saint Hubert qui dégage une odeur extrêmement âcre. Plus de vingt-dix policiers recueillent désormais les dépositions de témoins potentiels.
Le procureur de la République de Digne-les-Bains, Rémy Avon, a qualifié cette opération de “l’une des opérations de ratissage judiciaire les plus importantes jamais réalisées”, mais n’a pas réussi à retrouver le jeune disparu malgré tous ses efforts.
Documents judiciaires accessibles et publics
Le procureur de Digne-les-Bains ouvre le 18 juillet une information judiciaire auprès du centre d’appui pédagogique d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) en raison de la “complexité du dossier”. Deux juges d’instruction ont été nommés pour connaître de l’affaire.
Il s’agit d’un travail difficile en raison de « la masse considérable d’éléments collectés ». Les 1 600 lignes mortes et les 1 400 appels reçus suite à un appel à témoins devraient tous deux être vérifiés au plus vite après la disparition d’Emile. Dans l’état actuel des choses, le procureur insiste sur le fait que “toutes les voies possibles restent à l’étude, aucune n’étant exclue ou privilégiée”.
Des habitants affirment avoir entendu des voix et vu leurs véhicules fouillés à deux reprises dans les jours qui ont suivi. Des équipes cyniques armées de drones et expertes en localisation de restes humains sont dépêchées au Vernet le 25 juillet.
La famille d’Emile a été autorisée à déclarer publiquement son intention de se constituer partie civile le 7 août lorsque les documents judiciaires ont été rendus disponibles. Elle peut désormais suivre l’évolution de l’affaire et examiner ce qui a été fait jusqu’à présent. Les causes liées à la criminalité sont désormais au centre de l’enquête.
Défenseur général de la République d’Aix-en-Provence Le 22 août, Jean-Luc Blachon a indiqué qu’à compter du 28 juillet, l’enquête sur “l’enrôlement, l’arrestation, la détention et la séquestration de mineurs” avait été élargie.
Le procureur adjoint souligne que ce choix “n’est pas lié à un changement dans l’enquête”, mais que “ce cadre procédural offre plus de clarté aux enquêteurs”. Elle permet de prendre des précautions de sécurité et de retarder les actions si nécessaire, ce qui n’était pas réalisable auparavant.
Les parents brisent la loi du silence de leurs enfants
Leur silence est assourdissant depuis le début. Dans une interview à Famille Chrétienne publiée le 29 août, les parents d’Émile ont rompu leur silence pour la première fois depuis la disparition de leur fils. Une citation du père de l’enfant, Colomban : “On craint toujours le pire, mais on ne peut s’empêcher d’espérer.” Souvent, nous avons l’impression que notre chagrin et nos inquiétudes sont trop lourds à supporter. Marie, la mère du garçon, explique : “Nous perdons espoir pendant un moment, puis l’espoir nous ranime.”
Les parents du jeune Émile ont exprimé leur espoir d’un miracle et leur confiance dans les efforts des enquêteurs. Ils ont été exceptionnellement professionnels et attentionnés depuis le début. Après avoir perdu contact avec Emile le 8 juillet 2023, aucun d’eux ne peut « cesser d’espérer » pouvoir enfin le retrouver. Il a fallu attendre deux mois après la disparition d’Emile dans les Alpes de Haute-Provence pour que les recherches reprennent le 11 septembre. . Près de la maison familiale, une allée en béton est surveillée avec un instrument sonar.
Le 11 septembre, plus de deux mois après la disparition d’Émile, de nouvelles recherches démarrent dans les Alpes de Haute-Provence. Il y a une famille dans le village isolé du Haut-Vernet, dans les montagnes, et les enquêteurs ont repéré une dalle à quelques centaines de mètres seulement.
Depuis lundi 11 septembre, les forces de l’ordre attaquent au marteau-piqueur une immense dalle de béton sur une propriété voisine. Si la construction de cette dalle a débuté à l’été 2023, une partie de celle-ci avait déjà été sondée et détruite au moment de la disparition du jeune Emile.
Selon une source proche du dossier, l’enquête a été menée “dans le souci d’aller au fond des choses, d’explorer toutes les pistes, mais elle n’est pas le fruit de quelque chose de nouveau”, comme le rapporte RTL. Nous prévoyons de terminer ces études complémentaires d’ici le 12 septembre en fin de journée.
Les circonstances de la disparition d’Émile dans un village reculé des Alpes de Haute-Provence il y a deux mois restent obscures. Dans cette vallée autrefois paisible, personne ne peut plus dormir tranquille à cause d’une seule question : « Où diable est passé le petit garçon de deux ans et demi ? L’un d’eux déclare dans l’émission précitée du JT de 20H de TF1 : “C’est bien qu’il y ait eu l’intervention d’un adulte, mais qui ?Ce nuage énigmatique s’attarde sur le Haut-Vernet depuis le 8 juillet.
Ce jour-là, près de 17 heures plus tard, Émile échappe enfin à ses grands-parents maternels surprotecteurs et entame ses vacances d’été. Sa famille et ses amis le recherchent et la police a émis un avertissement, mais elle n’a pas encore réussi à retrouver le boy-scout disparu. Vivez « la liberté des enfants » à l’état pur en visitant le Haut Vernet. Ils partent à vélo et explorent, pour arriver à la conclusion qu’ils ne sont pas dans une ville. Nous étions relativement en sécurité ici.
Nathalie, originaire du Vernet
Depuis, lui et sa famille ont fait profil bas, n’accordant qu’une seule interview à une publication chrétienne et ne faisant que quelques apparitions publiques dans la ville (où ils ne sont connus que des habitants via TF1). Les parents partagent leur foi et leurs remerciements à ceux qui les ont aidés à traverser cette épreuve.
La violence des dernières semaines est revenue dans la vallée, qui se trouve actuellement à seulement deux kilomètres de la colonie. La vie continue pour les 130 habitants du village, mais le mystère de la disparition n’est jamais loin de tous.
Si l’on prend Nathalie comme exemple, elle ne comprend tout simplement pas comment la terreur a pu se propager dans un quartier aussi paisible. Cela me rappelle « l’indépendance des jeunes » du Haut-Vernet. Ils partent à vélo et explorent, pour arriver à la conclusion qu’ils ne sont pas dans une ville. Se mettant à la place des grands-parents et des parents, explique-t-elle.