Pieyre Alexandre Anglade Parents – Originaire de la banlieue parisienne de Ville-d’Avray, Pieyre-Alexandre Anglade est né en 1986. Si sa séparation parentale précoce et son éducation par sa mère (éditrice) ont sans aucun doute marqué les esprits, Pieyre-Alexandre se montre remarquablement franc sur le sujet : « Si mon père m’a laissé tomber, comme il le ferait pour n’importe quel enfant dans ma position, je n’ai jamais manqué d’amour ; et si j’ai une dette de gratitude envers les deux femmes qui m’ont donné naissance et m’ont élevé, ma mère et ma sœur, je sais parfaitement ce que je leur dois” (Si son père lui fait défaut, il
Pieyre-Alexandre savait au fond de lui qu’il n’était pas l’élève parfait que tous les parents rêvent d’avoir, et sa carrière universitaire était loin d’être fluide. Cependant, il poursuivra un cursus plus avancé, commençant par une licence ès lettres en histoire de la Sorbonne et se poursuivant par un master ès lettres en affaires internationales de Sciences Po à Strasbourg.
Il aura un point de vue unique sur ces mouvements politiques alternatifs en tant qu’assistant parlementaire du vice-président tchèque et centriste Pavel Telika au Parlement européen. À ce moment-là, il décidera définitivement d’entrer dans l’arène politique.
Mais la vie de Pieyre-Alexandre Anglade ne se limite pas à la politique ; il évoque ouvertement le mini-match de foot auquel il joue chaque semaine avec ses copains : « J’adore le foot, parce que ce sport, c’est un peu le pouls d’une population » ; le troisième quart est incontestablement le plus fraternel. Il ne fait aucun doute que s’il gagne, il mettra son argent dans sa bouche, mais il sait aussi que la vie consiste à trouver un équilibre.
Une introduction digne et respectueuse à la politique
Pieyre-Alexandre Anglade, qui vient d’avoir 30 ans, a un grand respect pour le président Emmanuel Macron. C’est le français pour “il ne conduit pas pour lui-même mais plutôt pour une équipe”, ce qui signifie qu’il n’est pas un “homme d’appareil” mais plutôt un homme avec de fortes convictions. Il s’est ainsi vu confier la tête de la liste “La République En Marche” aux élections législatives de 2017, un baptême du feu très conséquent dont il semble le moins du monde indifférent.
Ce qui nous a le plus frappé lors de l’entretien, c’est le respect de Pieyre-Alexandre envers tous les autres candidats qui se sont présentés pour le siège législatif. Il n’a jamais exprimé une seule critique ou même une incompréhension de ses rivaux. Si le respect est essentiel en politique comme dans d’autres domaines, alors Pieyre-Alexandre Anglade compare les politiques mais pas les personnes.Pieyre-Alexandre Anglade est député au Parlement français des Affaires étrangères pour la 4e circonscription (Benelux). Il est le chef de la commission des affaires européennes et un législateur du corps législatif de l’Assemblée nationale.
Diplômé d’histoire et de géopolitique, il a fréquenté la Sorbonne et Sciences Po Strasbourg, où il a obtenu un master en affaires internationales et européennes. Il débute sa carrière en Europe en tant qu’assistant d’un député européen de la région Grand Est, puis gravit les échelons pour devenir directeur de cabinet d’un des vice-présidents du Parlement. Réélu à la Chambre des représentants en 2017 puis en 2022. En juillet 2022, après avoir été vice-président de la Commission européenne sous la XVe législature, il prendra la présidence.
À l’Assemblée nationale, il a été l’auteur principal de plusieurs projets de loi, notamment l’amendement constitutionnel visant à inclure la protection de l’environnement dans la Constitution de 1958 et la législation de rééquilibrage de l’Union européenne. Il a également représenté l’Assemblée nationale à la session plénière de la Conférence sur l’avenir de l’Europe et dirigé des missions d’information sur l’accord de l’UE sur la migration et l’asile et les relations UE-OTAN.
Depuis la création de La République en Marche, il est membre du parti et travaille maintenant pour l’organisation qui lui a succédé, Renaissance. Conformément à l’article XV de la Constitution, il a été porte-parole du groupe LaREM et du parti Renaissance à l’approche des élections parlementaires européennes de 2019. En tant que membre de l’équipe de direction de Renaissance, il est chargé de préparer le terrain pour les élections européennes de 2024.M.
La mise en place d’une formation théorique et pratique des enseignants à l’utilisation d’outils d’apprentissage adaptés aux élèves en difficulté ou à haut potentiel a été portée à l’attention du ministre de l’éducation nationale par Pieyre-Alexandre Anglade. Les écoles en France et ailleurs ont remarqué une augmentation du nombre d’élèves présentant des difficultés d’apprentissage ou correspondant au profil d’un bon élève.
La communauté éducative a clairement indiqué qu’elle souhaitait que les enseignants aient une meilleure compréhension de ces scénarios, mais qu’ils ne reçoivent pas la formation ou les ressources dont ils ont besoin pour le faire. Il serait utile de commencer à réfléchir à la façon de mieux connecter la communauté scolaire, les élèves handicapés et leurs familles en développant des stratégies et des outils efficaces. M
Par ailleurs, Pieyre-Alexandre Anglade rappelle l’importance d’associer à la réflexion des représentants des établissements d’enseignement français à l’étranger sous l’égide de l’Agence pour l’enseignement du français à l’étranger (AEFE). À la lumière de cela, il s’intéresse aux plans du ministre pour aider les éducateurs à maîtriser l’utilisation de stratégies pédagogiquement valables pour travailler avec des élèves qui présentent des difficultés d’apprentissage ou des profils d’aptitude élevés.
Plusieurs programmes de formation d’enseignants dans les domaines de l’éducation spécialisée et de l’accueil des élèves en situation de handicap ont été mis en place depuis l’adoption de la loi n° 2005-102 du 11 février 2005, pour assurer l’égalité des droits et des chances des personnes handicapées, ainsi que leur participation à la société et leurs pleins droits de citoyenneté. Selon l’article L. 321-4 du code de l’éducation, « des aménagements adaptés sont prévus au profit des élèves intellectuellement doués ou présentant d’autres capacités exceptionnelles afin de leur donner la possibilité de s’épanouir pleinement ».
Le rythme de scolarisation peut être accéléré en fonction du rythme d’apprentissage individuel de chaque élève. Les élèves ayant des difficultés spécifiques de langage et d’apprentissage (TSLA) bénéficieront également d’un accompagnement individualisé à travers un Plan d’Education Individualisé (PEI) spécialisé ou un Plan d’Etude Personnalisé (PPS). Lorsqu’il s’agit de la première formation des éducateurs, il est de la responsabilité des écoles supérieures du professorat et de l’éducation (ESPE) de préparer ses diplômés à travailler avec des élèves ayant des besoins particuliers.
Chaque programme de master proposé par l’ESPE en “Métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation” (MEEF) doit inclure des cours de base dans trois domaines: théorie et pratique de l’apprentissage des étudiants; accueillir des étudiants avec une gamme de capacités; et un enseignement différencié pour les élèves en difficulté.
Ainsi, les élèves-maîtres reçoivent une formation en « insertion scolaire » (c’est-à-dire « l’adaptation du curriculum et le développement scolaire des élèves en situation de handicap) afin qu’ils puissent répondre aux préoccupations d’accueil et d’accompagnement des élèves en difficulté d’apprentissage ou à haut potentiel. Depuis février 2017, les enseignants peuvent bénéficier d’une formation spécialisée dans le cadre de leur développement professionnel continu en s’inscrivant au Certificat d’aptitude professionnelle aux pratiques éducatives inclusives (CAPPEI), mandaté par le décret n° 2017-169.
Cette nouvelle formation leur permet de suivre un cursus avec des modules sur comment accompagner au mieux les élèves en difficulté de langage et d’apprentissage en classe. Les membres du corps professoral de première et de deuxième année peuvent profiter d’occasions de perfectionnement professionnel grâce à des plans de perfectionnement professionnel de niveau départemental et universitaire (PAF et PDF, respectivement). Afin d’être au plus près des besoins des éducateurs, elles peuvent se dérouler sous forme de formations d’initiative locale à l’école, à l’établissement d’enseignement ou lors d’une inspection.
Ainsi, les inspecteurs et proviseurs de l’Éducation nationale s’assurent que leurs équipes pédagogiques disposent des moyens nécessaires pour répondre aux besoins pédagogiques individualisés de leurs élèves en situation de handicap (souvent en s’appuyant sur les propositions d’autres organismes). Chaque direction de la DSDEN dispose d’un service “adaptation et handicap” dont l’unique mission est d’accompagner et de suivre les élèves à besoins éducatifs particuliers ou en situation de handicap, ainsi que de coordonner les efforts des autres organismes impliqués dans leur prise en charge.
De plus, certaines écoles ont ajouté des postes de professeurs-ressources pour aider les enseignants et répondre directement aux demandes des élèves. Et à mesure que l’école passe à l’ère du numérique, des opportunités se présentent pour déployer une variété d’outils innovants destinés à faciliter l’apprentissage de tous les élèves, comme la plateforme M@gistère, qui propose une formation initiale et continue pour les enseignants du primaire et du secondaire et inclut la formation à distance des ressources d’apprentissage et de formation en personne spécialement adaptées aux étudiants ayant des troubles d’apprentissage et à ceux qui ont un potentiel académique élevé.
Le 10 janvier 2018, le ministre de l’Éducation nationale Stanislas Dehaene, professeur au Collège de France, a présidé la formation du Conseil des sciences de l’éducation. Son objectif est de fournir une base scientifique pour les changements de politique d’éducation publique. L’un des groupes de travail mis en place est dédié à la problématique « handicap et inclusion ».
Le gouvernement utilisera ces recherches pour améliorer ses méthodes et pratiques de formation. Enfin, les écoles françaises à l’étranger représentées par l’Agence pour l’enseignement du français à l’étranger (AEFE) sont associées aux réflexions en cours au sein du ministère de l’Éducation nationale sur la mise à disposition des enseignants en formation d’outils d’apprentissage spécialisés pour les élèves en difficulté scolaire.