Jean-Baptiste Hennequin 2022 – Par Jean-Baptiste Hennequin Un veilleur de nuit dans un hôtel chic se venge en 2022 en assassinant trois personnes. Le meurtrier était névrosé et têtu et avait un lourd casier judiciaire. Lors de son procès aux assises, Jean-Baptiste Hennequin a révélé une information choquante : il détestait les patrons.
Le 20 janvier 1997, ce veilleur de nuit assassine brutalement le gérant, sa compagne et une jeune réceptionniste d’un prestigieux hôtel de Saint-Quentin. Cette carrière ne donne au criminel autoritaire et paranoïaque aucun sentiment d’estime de soi. Son casier judiciaire est chargé, comprenant une condamnation en 1967 pour tentative de meurtre (dont sa femme était la victime visée) et une peine de trois ans de prison de Boulogne.
Les flics ont fini par localiser le marié, qui avait été confiné dans la cave. Cette dernière faction a alerté les autorités sur Jean-Baptiste Hennequin. Après avoir commis un acte atroce, le meurtrier s’est rendu à Paris. Là, il crée une nouvelle identité sous le nom de Jean Dampierre.
Quatre mois après sa fugue, en mai 1997, il est capturé alors qu’il séjourne dans un hôtel du Xe arrondissement de la capitale. L’accusé a été condamné à perpétuité après avoir plaidé coupable et déclaré qu’il “n’aimait pas les patrons” lors de son procès pour les découvertes choquantes.
Le 6 septembre 2019, Le Parisien publie un article annonçant la fermeture du Grand Hôtel de Saint-Quentin. Il existe depuis 1955, mais le faible taux d’occupation signifiait qu’il se détériorait. Ses 24 chambres sont considérées comme “confortables” et “le taux d’occupation [était] inférieur à 50%”, comme le rapporte la presse locale.
Le récit historique du triple meurtre de Jean-Baptiste Hennequin jette une ombre sur la région. Le 2 décembre 2021 à 21h05, Dominique Rizet et Rachid M’Barki revisiteront ce meurtre sur RMC Story dans l’émission Faire entrer l’accusé. Ne soyez pas un retardataire.
Deux employés du Grand Hôtel de Saint-Quentin n’ont pas pu entrer à l’intérieur le matin du 20 janvier 1997 et il n’y avait personne pour répondre au téléphone lorsqu’ils ont appelé. Le gérant de l’établissement d’à côté répond à leur appel et les laisse entrer par une porte arrière. Toutes les chambres du Grand Hotel sont sombres et calmes.
Certaines des œuvres les plus connues de Baptiste Hennequin incluent Baby Love (2016), Good Mother (2021) et Corps Défendents (2017). Le Grand Hôtel de Saint-Quentin a été le lieu d’une macabre découverte le 20 janvier 1997 : trois corps. Le meurtrier, Jean-Baptiste Hennequin, n’a jamais expliqué le mobile de son crime.
En 1997, le veilleur de nuit du Grand Hôtel de Saint-Quentin, Jean-Baptiste Hennequin, a sauvagement assassiné ses deux supérieurs et un collègue de la réception avec une arme de poing et une hache. Il a agi en tant que victime lors de son procès et n’a montré aucun remords pour ses actes.
Léo Roupioz, le propriétaire, est joignable par son équipe dans sa suite au deuxième niveau. La salle est silencieuse. Léo Roupioz, 72 ans, est découvert mort dans la chambre. À ses côtés se trouve la gouvernante et gérante de 66 ans Gisèle Kunstler. Les deux victimes ont subi de graves blessures à la tête qui auraient pu être mortelles.
La police de Saint-Quentin est prévenue et l’hôtel est rapidement bouclé. L’hôtel est désert, alors les détectives partent à la recherche de l’employé de la réception et du portier. Il semblerait que personne d’autre ne séjourne à l’hôtel. Après avoir fouillé le sous-sol, ils découvrent le corps de Michèle Fabris, réceptionniste de 32 ans.
Non loin de là, au sous-sol, ils retrouvent le serveur qui s’y est échoué. Naturellement effrayé, le jeune homme accuse aussitôt Jean-Baptiste Hennequin, le veilleur de nuit, de meurtre. Dans son premier ouvrage publié, Jean-Baptiste HENNEQUIN utilise sa position d’autorité de parent pour enseigner Machiavel à son fils.
Il explique à son jeune fils, soudainement devenu adulte, comment un philosophe florentin du XVIe siècle peut l’aider à trouver son chemin dans le monde déroutant d’aujourd’hui. Le mal existe, et nous devons apprendre à l’affronter par l’éducation, le travail acharné et la lucidité d’affronter les vérités sans affaiblir le désagréable ; ce prologue donne le ton entre autodérision, humour, sérieux, bon sens et exigence.
Ces pilules de sucre ne vous sauveront pas la vie dans un monde où le pouvoir change constamment. Il est important de se rappeler que même les esprits les plus brillants ne peuvent pas toujours convaincre les autres de faire ce qu’ils disent être juste. Par conséquent, le cadre dans lequel les concepts moraux sont mis en œuvre est crucial.
Pour vraiment saisir l’importance qu’il jouait il y a 500 ans, nous devons apprendre de l’exemple de Machiavel de pragmatisme politique impartial sans adopter la moralité normative inutile à laquelle il s’oppose. Sans l’approuver ni la condamner, nous devons reconnaître les mérites indéniables de cette philosophie, y compris le fait qu’elle adopte une perspective de moralité politique, met cette perspective à l’épreuve des faits et des réalités de la nature humaine, et tire une leçon guidée par une nouvelle norme : la préservation de l’État et la sécurité des politiques
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Les dix injonctions insolites et provocatrices qui font office de titres de chapitres et d'”anti-conseils” auxquels s’est soumis Jean-Baptiste HENNEQUIN pour l’entraîner à devenir “un esprit libre dans la vie. d’action, et enfin un sage” sont aussi à la base de la structure du livre. On dit d’abord au jeune prince de “travailler pour soi” et de “penser à soi”. Si l’on veut garder son indépendance dans une société où l’autorité s’est effondrée, il faut continuer à apprendre, continuer à se remettre en question, continuer à développer le goût du travail et arrêter de remettre les choses à plus tard.
Dans les chapitres III et IV, nous apprenons que les “anti-qualités” de “Faire travailler les autres” et “Séduire” sont en fait essentielles au succès. La déclaration sans ambiguïté de l’auteur selon laquelle “voler les pensées des autres sauve des moments précieux” est vraie et non présentée avec cynisme. Prenant l’exemple de Steve Jobs, il montre comment la séduction peut être utilisée pour contourner cette interdiction et voler les idées des autres.
Ceux qui sont brillants mais timides et retirés perdent généralement face à leurs pairs plus extravertis. La sixième règle, également inspirée de Machiavel, est tout aussi brutale : « Mensonge ». Encore une fois, en mentant pour empêcher son enfant d’être sans valeur ou même destructeur, le père illustre l’importance de suivre les règles.
Le secret vient en premier; la vérité n’apparaîtra qu’après que « le temps aura ôté son poids moral et sa charge émotionnelle » ; le deuxième ingrédient de la “recette” d’un bon mensonge est l’individualité ; assumer son propre mensonge n’est jamais cautionner celui des autres ; et le troisième ingrédient est une exécution habile conformément aux normes de la profession.
Dans les chapitres 6 (intitulé “Getting Rich”) et 7 (intitulé “Moving On”), le père essaie d’enseigner à son fils l’importance d’avoir une vision équilibrée de la richesse et des inégalités. Le jeune prince ne devrait pas se sentir coupable ou honteux de rechercher la prospérité matérielle, car cela lui offrira plus d’options dans la vie.
Ici, la base intellectuelle pour accueillir les effets inspirateurs de l’inégalité est fournie par la théorie de la justice de John Rawls. Où allons-nous commencer? En apprenant à contrôler nos impulsions, en supprimant nos émotions de sympathie et d’empathie, et en valorisant le risque et l’incertitude plutôt que la prévisibilité, l’expérience et le bon sens.
Tout se résume à une multiplicité d’interprétations, comme le montre le chapitre VIII, “Connaître l’histoire”, qui montre comment appliquer et s’appuyer sur les leçons apprises, notamment que “les méchants échappent à la justice” (l’auteur utilise Mengele et Pol Pot à titre d’exemple) et que les personnes les plus méritantes ne sont ni récompensées ni reconnues.
Le chapitre X, “Gare à la barbarie”, et le chapitre IX, “Garde ta foi”, exhortent le jeune homme à avoir la foi mais à agir contre elle quand les circonstances l’exigent, à se méfier de la tyrannie moralisatrice d’un monde obsédé par la sécurité, à garder un jardin secret et protéger son intimité quand l’exhibition de la vie intime devient la norme, et éviter l’intrusif, l’opportuniste et le médiocre.
Par Jean-Baptiste Hennequin 2022 – Depuis le décès de Jean-Baptiste Hennequin, un nouvel épisode de Faire intervenir l’accusé sera consacré au triple meurtre survenu au Grand Hôtel de Saint-Quentin en 1997.
Le jeudi 2 décembre 2021, RMC Story diffusera le premier épisode d’une nouvelle émission. Partout en France, les gens ont vivement réagi à cette nouvelle et partagé leurs réactions. Le veilleur de nuit Jean-Baptiste Hennequin, alors âgé de 62 ans, fait irruption au domicile du couple à Saint-Quentin, dans les Hauts-de-France, dans la nuit du 19 au 20 janvier 1997.
Peu de temps après, il tue le propriétaire de l’entreprise, Léo Roupioz, 72 ans, et sa gérante, 69 ans, Gisèle Kuntzler. Chacun d’eux a connu une fin horrible aux mains d’hexs et d’armes à feu. Le meurtrier enlève la chasseuse à 7 heures du matin, en attendant l’arrivée de la réceptionniste, et l’assassine plus tard.
Après avoir commis son acte maléfique, le coupable s’enfuit rapidement à Paris. Il est passé sous le nom de Jean Dampierre alors qu’il travaillait dans cette industrie. Après quatre mois de recherches, en mai 1997, les autorités le localisent dans un hôtel du 10e arrondissement. Avant cela, il a disparu pendant un certain temps.
Les aveux surprenants du tueur au procès selon lesquels il “n’aimait pas les supérieurs” ont scellé son sort et ont abouti à une peine d’emprisonnement à perpétuité pour meurtre. Les trois meurtres de Jean-Baptiste Hennequin ont marqué l’histoire à jamais.
Le prochain épisode de Faire entrer l’accusé, animé par Dominique Rizet et Rachid M’Barki, sera diffusé sur RMC Story le 2 décembre 2021, à 21h05. Il prévoit de revenir dans neuf jours seulement pour voler le polo de la victime. Baptiste Hennequin a disparu sans laisser de trace après la catastrophe. Un suspect dans un triple meurtre à Paris a été retrouvé et appréhendé après quatre mois d’enquête.
Il y a actuellement un mandat d’arrêt contre le suspect. Le 18 juin 1999, un jury l’a déclaré coupable de tous les chefs d’accusation et il a été condamné à la prison à vie avec 22 ans d’assignation à résidence, qu’il a purgés.
Stéphane Fabris fête ses cinquante ans lundi, mais il ne se sent toujours pas prêt à parler de l’assassin qui est toujours derrière les barreaux. Après sa mort prématurée par balle en juin 1999, la Sainte Épouse du Quentinois n’est plus qu’une relique du passé. Le cynisme et le mépris du tueur envers la famille de la victime étaient au rendez-vous lors de leur retransmission télévisée en direct lors de son procès d’assises.
De belles photos de Michèle ornent la table basse de votre salon. La photo préférée de Michèle est celle sur laquelle elle rayonne de la confiance en soi d’une jeune femme qui établit sa place dans le monde. Il a été vu devant la caméra à la réception de l’hôtel Grand-réception dans la Ville Lumière. Mme Roupioz a posé pour et a pris la photo, bien sûr.
Peu de temps après, la fuite explosive a été découverte. La Volkswagen Polo de sa troisième victime a été retrouvée neuf jours plus tard à Amiens, indiquant qu’il s’est peut-être échappé dans ce véhicule. Baptiste Hennequin disparaît dans les airs une fois le spectacle terminé.
C’est un beau livre qui sait remuer sans cynisme, comme l’avoue immédiatement l’auteur en révélant qu’il a véritablement tenté d’aller à l’encontre de tous les conseils donnés dans le livre. Bien qu’il y ait des moments plus clairs et plus sombres dans le livre, le sentiment dominant est celui de l’amour infini d’un père pour son fils. Malgré la présence d’un mentor machiavélique, cela reste vrai.