Jean Christophe Markovic – Dans cette œuvre de fiction, on plonge dans l’univers du basketteur professionnel français Jean-Christophe Markovic, devenu presque malgré lui l’un des meilleurs de sa génération. Dopage, intrigues, guerres d’ego et transferts d’argent… Les Telles sont les éléments constitutifs de ce petit monde, où les valeurs peuvent changer pour s’adapter à des intérêts qui dépassent l’entendement du fan de sport moyen. Les ombres des sports d’élite intriguent parce qu’elles cachent tant de transactions louches. De l’establishment médical aux médias, à quelques exceptions près, la machine imparable qui fait et défait les athlètes ne sera plus un mystère pour vous.
Dans cette œuvre de fiction, on plonge dans l’univers du basketteur professionnel français Jean-Christophe Markovic, devenu presque malgré lui l’un des meilleurs de sa génération. Les telles sont les éléments de ce microcosme où les vraies valeurs cèdent parfois la place à des intérêts qui dépassent la conscience de l’athlète moyen, comme le dopage, la manipulation, les guerres d’ego et les transferts.
Les ombres des sports d’élite intriguent parce qu’elles cachent tant de transactions louches. Corps brisé… lire la suiteComédien, réalisateur et scénariste Florian Hessique sort un nouveau livre aux Editions de l’Harmattan intitulé “Markovic par Jean-Christophe, dans l’ombre du Sport Business”.
Le livre fait suite à son film “La légende”. Unique en ce qu’il s’articule autour du basket. Acteur, metteur en scène et scénographe de talent, Florian Hessique baigne depuis de nombreuses années dans l’univers du ballon orange. En 2018, il signe la distribution du long métrage La Légende (MC4 Distribution), présenté en avant-première au Festival de Cannes en ouverture de la compétition dans la section Cannes Juniors.
Dans ce récit fictif, on plonge dans l’univers du basketteur professionnel français Jean-Christophe Markovic, devenu, presque malgré lui, l’un des meilleurs de sa génération. Dopage, magouilles, guerres des ego, transferts d’argent, intermédiaires toxiques… Les ombres du sport d’élite intriguent car elles recèlent autant de tractations louches.
Citation : “L’être humain est une créature compliquée. Il y a quelques semaines, je n’aurais jamais pensé que je gagnerais ma vie en faisant ce que je fais maintenant. J’étais satisfait de la brève opportunité de découvrir un niveau de luxe qui n’avait jamais été auparavant même été un de mes rêves.
Et maintenant, tout d’un coup, je n’ai qu’une seule obsession : m’améliorer. Je trouve ce concept odieux. Elle a cessé de me faire perdre la tête. En tant que personne qui n’a jamais travaillé plus d’heures que nécessaire, je Je me retrouve maintenant à penser aux paniers tout en mangeant, en respirant et en dormant.Ce sport est devenu bien plus qu’un métier : un mode de vie.
Dans cette œuvre de fiction, on plonge dans l’univers du basketteur professionnel français Jean-Christophe Markovic, devenu presque malgré lui l’un des meilleurs de sa génération. Le dopage, la manipulation, les guerres d’ego, les transferts, les intermédiaires louches, etc. font partie de ce microcosme où les valeurs sont compromises à des fins dépassant l’entendement de l’amateur de sport moyen. Les ombres des sports d’élite intriguent parce qu’elles cachent tant de transactions louches.
De l’establishment médical aux médias, à quelques exceptions près, la machine imparable qui fait et défait les athlètes ne sera plus un mystère pour vous. Lorsque la pression monte et que les joueurs deviennent des observateurs passifs de leur propre destin plutôt que des participants actifs, les résultats sont souvent désastreux et laissent derrière eux des traces irréparables. De ses premières années à son dernier match professionnel, laissez-vous plonger dans l’histoire inspirante d’un homme ordinaire au destin légendaire.
Dans cette œuvre de fiction, on plonge dans l’univers du basketteur professionnel français Jean-Christophe Markovic, devenu presque malgré lui l’un des meilleurs de sa génération. Les telles sont les éléments de ce microcosme où les vraies valeurs cèdent parfois la place à des intérêts qui dépassent la conscience de l’athlète moyen, comme le dopage, la manipulation, les guerres d’ego et les transferts. Les ombres des sports d’élite intriguent parce qu’elles cachent tant de transactions louches.
De l’establishment médical aux médias, à quelques exceptions près, la machine imparable qui fait et défait les athlètes ne sera plus un mystère pour vous.Dopage, manipulation, guerres d’ego, transferts d’argent, intermédiaires toxiques… Les Telles sont les pierres angulaires de ce petit monde, où les valeurs peuvent changer pour s’adapter à des intérêts qui dépassent l’entendement du fan de sport moyen.
Les ombres des sports d’élite intriguent parce qu’elles cachent tant de transactions louches. De l’establishment médical aux médias, à quelques exceptions près, la machine imparable qui fait et défait les athlètes ne sera plus un mystère pour vous.
Le dopage, la manipulation, les guerres d’ego, les transferts, les intermédiaires louches, etc. font partie de ce microcosme où les valeurs sont compromises à des fins dépassant l’entendement de l’amateur de sport moyen. Les ombres des sports d’élite intriguent parce qu’elles cachent tant de transactions louches. De l’establishment médical aux médias, à quelques exceptions près, la machine imparable qui fait et défait les athlètes ne sera plus un mystère pour vous.
Lorsque les enjeux sont importants et que les joueurs n’ont d’autre choix que de devenir des observateurs passifs de leur propre destin, de terribles détours sont pris qui finissent par laisser des traces irréparables.De ses premières années à son dernier match professionnel, laissez-vous plonger dans l’histoire inspirante d’un homme ordinaire au destin légendaire.
Acteur, réalisateur et scénographe Florian Hessique est un fan du bal orange, un univers dans lequel il a baigné des années. En 2018, il signe le long métrage La Légende (MC4 Distribution), présenté en avant-première au Festival de Cannes. Il a été choisi pour représenter la section “Cannes écrans juniors” du festival.
Dans cette œuvre de fiction, on plonge dans l’univers du basketteur professionnel français Jean-Christophe Markovic, devenu presque malgré lui l’un des meilleurs de sa génération. Les telles sont les éléments de ce microcosme où les vraies valeurs cèdent parfois la place à des intérêts qui dépassent la conscience de l’athlète moyen, comme le dopage, la manipulation, les guerres d’ego et les transferts. Les ombres des sports d’élite intriguent parce qu’elles cachent tant de transactions louches.
De l’establishment médical aux médias, à quelques exceptions près, la machine imparable à faire et défaire les athlètes n’aura plus de mystère pour vous. Dans cette œuvre de fiction, nous nous plongeons dans l’univers du basketteur professionnel français Jean-Christophe Markovic, devenu presque malgré lui l’un des meilleurs de sa génération. Les telles sont les éléments de ce microcosme où les vraies valeurs cèdent parfois la place à des intérêts qui dépassent la conscience de l’athlète moyen, comme le dopage, la manipulation, les guerres d’ego et les transferts.
Les ombres des sports d’élite intriguent parce qu’elles cachent tant de transactions louches. De l’establishment médical aux médias, à quelques exceptions près, la machine imparable à faire et défaire les athlètes n’aura plus de mystère pour vous. Disons-le simplement :
“La Légende” a un sérieux problème avec son manque de capacité à pleurer . L’exécution est trop lente (presque au point d’être trop lente) et ne parvient pas à s’élever au-delà de son sujet. Il y a un manque de rythme notable tout au long des matchs, et l’adrénaline ne vous fait jamais vraiment avancer.
De plus, la bande originale du film est un pêle-mêle de styles et d’époques, comme si le réalisateur avait concocté une playlist sans aucune prévoyance ni originalité. En fait, il y a quelques pistes musicales qui continuent de jouer en arrière-plan pendant les conversations clés. L’interprétation de ces dernières a tendance à être médiocre, comme si elle était calée sur les moyens, et le mépris est souvent fustigé. Ainsi, l’entêtement du personnage principal, via le jeu de son interprète, est souvent humoristique.
Personne ne se soucie vraiment d’aucun des personnages, pas même du personnage principal (un anti-héros, si vous voulez) qui est coincé dans une relation heureuse avec un thérapeute qui le considère comme “un éléphant au milieu d’un couloir” (l’heureux relation, pas la jeune femme). Personne dans la formation de départ de la NBA n’a été un favori clair pour les honneurs du “Most Valuable Player”, et l’équipe dans son ensemble joue comme si elle était sur pilote automatique, avec peu de place pour la créativité ou le flair individuel.
Cependant, l’histoire comporte tout de même quelques éléments intrigants puisqu’ils explorent un domaine rarement exploré du cinéma français : l’univers du sport professionnel, et en particulier du basket. Ainsi, on nous montre un monde bien différent de celui des bisounours, agrémenté de tensions internes au personnel, de défis financiers et de velléités entre coéquipiers. La fin du long métrage qui ne veut à aucun prix une fin heureuse peut être louée ici (bien que la musique à la fin soit terriblement ringarde).
