Tone Marit Oftedal Wikipedia – Et c’est essentiellement tout ! C’est un tournant prometteur pour Peisey-Vallandry. Le 29 juin 2001, à Bourg-Saint-Maurice, je suis né de parents rencontrés grâce au biathlon à Aime, en France et en Norvège. Tout au long de mon parcours académique à Aime, j’ai été membre du ski club. Cela était vrai de la maternelle au lycée.
Pour la sixième année, il y avait tellement d’options intéressantes qu’il m’était presque impossible d’accéder à cette section. Quand j’avais un an, mes parents m’ont emmené faire un voyage de ski en Norvège. J’y ai rencontré de très bons amis au club de ski, et certains d’entre eux font désormais partie de l’équipe nationale norvégienne de ski de compétition.
Avec ma famille de retour à Chambéry, je me suis inscrit au lycée agricole public de Reinach, qui abrite justement un centre de biathlon. J’ai obtenu une note Assez Bien au Baccalauréat Scientifique en 2019. Afin de pouvoir continuer à concourir en biathlon et étudier le STAPS à l’Université de Grenoble, je souhaite m’engager dans le programme pour plusieurs années.
Le club de ski de fond de Peisey-Vallandry était pour moi un choix évident car il répond à mon style de ski préféré. Nos deux parents étaient champions du monde juniors de biathlon : Franck Perrot dans l’épreuve individuelle et Tone Marit Oftedal au relais pour la Norvège.
Vous avez la double nationalité ; alors pourquoi ne pas concourir pour un club norvégien ? Même si j’ai toujours considéré cette école comme mon chez-moi, je n’ai jamais pensé à rejoindre un club norvégien en m’inscrivant dans mon école française.
Le club de ski familial de Peisey-Vallandry et la vallée où je suis né et où j’ai grandi sont également très importants pour moi. A part ça, la Norvège reste l’un de mes pays préférés, et je n’exclurais pas d’y retourner.
Quel genre de travail, de compétence ou de chance cela a-t-il demandé ?
Cela m’a toujours motivé à m’efforcer d’obtenir un plus grand succès qu’auparavant. C’est la raison pour laquelle je me prépare au biathlon depuis une éternité. que je suis devenu membre du ski club de Peisey-Vallandry.
Grâce à cela, je suis capable de continuer à avancer et d’accomplir ce qui doit être fait, même si je le fais lentement et avec un petit effort à chaque étape. Peu importe à quel point cela devient difficile, suivre votre passion, profiter d’une saine compétition et exceller dans ce que vous faites en vaut la peine.
Grâce à ce rêve, vous avez accompli beaucoup de choses.
En quelques jours aux Championnats du monde, vous avez remporté deux médailles, balayant le podium. Alors je m’attendais à ce que cela arrive ! Dans un rêve, le meilleur est toujours devant. Au-delà de ça, j’avais confiance en mes capacités et j’avais beaucoup couru sur le circuit B, donc je savais à quoi m’attendre.
Rien n’est hors de question lors des prochains championnats du monde ! Lorsque l’on participe à des épreuves sportives, il est préférable de les aborder sans idées préconçues de réussite ou d’échec. Une fois la course terminée, nous verrons qui a franchi la ligne d’arrivée en premier.
C’est vraiment louable ! “J’y suis allé avec beaucoup de dynamisme”, a déclaré l’athlète à propos de sa huitième place dans la compétition individuelle. Quel endroit incroyable ! En un mot, cela m’a permis de me sentir beaucoup mieux émotionnellement. Ma motivation était déjà forte, mais elle est montée en flèche lorsque j’ai vu mes coéquipiers français démarrer en force.
Nous nous sommes retrouvés entièrement immergés dans un environnement glorieux et surréaliste. J’étais envahi par la confiance en moi. On en a moins entendu parler parce que c’est moins un rêve qu’un podium, même si les courses de biathlon étaient déjà fantastiques et que j’étais extrêmement satisfait de mon exploit.
Suite à cela, j’ai réussi à terminer à une seconde place respectable du concours. Étant donné que j’ai fait une bonne saison dans l’ensemble, je suis ravi de cette amélioration. D’une représentation à l’autre, j’ai pu perfectionner mon art.
Le sentiment d’accomplissement une fois terminé a été amplifié par l’extrême difficulté de la tâche. Nous avons terminé la semaine en beauté car Osc ar Lombardot, Sébastien Mahon et Emilien Claude (mon équipe) ont remporté le relais.
C’était fantastique parce que nous étions favoris mais nous craignions secrètement de ne pas être assez bons. Nous avons réalisé un travail de relais impressionnant en équipe et le résultat a été exceptionnel !
Tenor Marit Oftedal est le nom de l’ancien biathlète norvégien. En 1993, lors des débuts de Tone Marit Oftedal à la Coupe du monde de biathlon à Östersund, elle termine cinquante et unième. Elle a ensuite participé pour la première fois à la série de courses de biathlon la plus célèbre au monde.
Elle a également remporté le championnat de relais aux Championnats du monde juniors de biathlon 1993 à Ruhpolding avec Gunn Margit Andreassen et Åse Idland. Parallèlement à cela, Oftedal a connu du succès au niveau national.
Ses coéquipières Anette Sikveland et Åse Idland ont aidé la province de Rogaland à remporter la compétition de relais aux championnats norvégiens de 1993. C’était le même trio qui avait terminé deuxième l’année suivante, derrière Hordaland.
Compétitions de biathlon
Vous pouvez consulter chaque classement dans le tableau, avec des catégories telles que l’année et l’événement (Jeux olympiques, Championnats du monde, etc.).
Positions 1 à 3 : nombre total de podiums
Le nombre total de les dix premiers (y compris les podiums) Top dix et podiums au classement général par points. Le nombre de courses disputées dans ce sport compte comme un départ. Après avoir terminé deuxième en poursuite aux Championnats du monde juniors à Obertilliach, en Autriche, à l’âge de 19 ans, Eric Perrot a remporté le titre mondial du relais junior.
C’est, en substance, tout ! Mercredi, lors du petit-déjeuner sur le site nordique de Pont Baudin, il s’est confié avec une extrême maturité et pudeur. Sa trajectoire très encourageante pour Peisey-Vallandry est reprise.
Très peu de gens vous connaissent, même si votre histoire a fait la une des journaux la semaine dernière. Pourriez-vous fournir des informations supplémentaires sur votre parcours ? C’était ma patrie ancestrale, Aime en Tarentaise, où je suis né et j’ai grandi.
Bourg-Saint Maurice est le lieu où mes parents se sont rencontrés en faisant du biathlon ; ils sont originaires d’Aime et de Norvège, et je suis née le 29 juin 2001. De l’école primaire jusqu’au lycée, j’ai fait partie du club de ski d’Aime.
D’après ce dont je me souviens, les choix ont rendu assez difficile l’accès à cette section en sixième année. Au cours de ma première année de lycée, mes parents nous ont parrainés, mon club de ski et moi, pour passer un an en Norvège. J’ai rencontré plusieurs de mes coéquipiers actuels de l’équipe nationale norvégienne lors de cet événement.
Nous sommes retournés à Chambéry, à Reinach, et je me suis inscrit aux cours de biathlon au lycée public agricole. J’ai obtenu la mention « Assez Bien » lors de l’obtention de mon Bac Scientifique en 2019. Je suis inscrit en STAPS à l’Université de Grenoble et compte échelonner mes études sur plusieurs années afin de pouvoir continuer à concourir en biathlon.
Ensuite, il a fallu commencer le ski très jeune, n’est-ce pas ? Être biathlète est dans le sang.
J’ai commencé le ski très jeune, en m’essayant d’abord aux sports alpins et nordiques. Quand j’ai découvert que le ski de fond était plus mon rythme, je suis devenu membre du club de Peisey-Vallandry. En raison de votre double nationalité, pourquoi avez-vous choisi de courir pour Peisey-Vallandry plutôt que, par exemple, pour un club norvégien ?
Mon choix était basé sur mes principes les plus profonds. Enfant, je n’aurais jamais imaginé fréquenter une université française et courir pour un club norvégien. Cela ne m’importe pas, car j’ai passé toute ma vie ici.
Un autre élément important de mon identité, ce sont mes liens avec le club de ski de Peisey-Vallandry, fondé par mon père. Et ma vallée est très spéciale pour moi. Néanmoins, la Norvège est un pays incroyable où vivre, et j’envisage vraiment d’y retourner dans le futur.
Éclairez-moi sur votre ascension dans les échelons. Avoir du talent ou de la chance était plus important. C’était une entreprise énorme qui a demandé beaucoup de dévouement, mais maintenant tout cela ressemble à un rêve. Cela a toujours été ma motivation pour réussir, même quand j’étais petit. Ce souhait m’accompagne depuis que j’ai rejoint le ski club de Peisey-Vallandry et commencé le biathlon.
Grâce à cela, je suis capable d’avancer à un rythme tranquille tout en déployant tous mes efforts, et cela m’encourage à continuer. Même si cela peut être un défi chaque jour, nous ne pouvons faire grandir ce rêve que si nous sommes passionnés par notre travail, si nous aimons en faire partie et si nous voulons réussir énormément. Grâce à ce rêve, vous avez accompli beaucoup de choses récemment.
Aux Championnats du monde d’Obertilliach, vous avez remporté deux médailles. Qu’est-ce qui t’a fait attendre ça ? Nous avons tendance à avoir de grandes attentes en tant que rêveurs ! Avant de venir, j’avais couru plusieurs fois sur le circuit B, donc je connaissais le parcours et je pensais que je pouvais bien faire.
Tout est possible après car ce sont toujours des championnats du monde ! C’est fantastique que vous y alliez en vous concentrant sur votre amélioration et que vous vous entraîniez dur pour votre sport. Une fois la course terminée, le décompte final sera annoncé. Ai-je mentionné que le score était excellent ? a obtenu un total de huit points : huit dans l’épreuve individuelle, cinq au sprint, deux à la poursuite et un au relais.
Alors, comment vous sentez-vous après cette semaine plutôt mouvementée ?
Mon moral était bon à mon arrivée. Le cadre était pittoresque ! Au final, cela m’a beaucoup aidé. Ce qui était encore plus motivant, c’était de voir mes coéquipiers français remporter leurs premières victoires. Nous nous imaginions transportés dans un royaume merveilleux et attachant. Une certaine assurance m’envahit. J’ai connu un bon début de championnat, terminant cinquième et huitième.
Ma performance dans ces épreuves majeures de biathlon a été satisfaisante, même si elle n’a pas suscité le même niveau d’enthousiasme qu’un podium. La deuxième place dans la poursuite m’a ensuite été attribuée. Je suis vraiment content de cette amélioration car mes performances ont été partout cette saison. J’ai excellé au quotidien, surpassant constamment mon précédent record.
Le fait que ce soit difficile à réaliser le rendait d’autant plus satisfaisant. Enfin, pour clôturer cette fantastique semaine, mon équipe de relais composée d’Oscar Lombardot, Sébastien Mahon et Emilien Claude et moi avons gagné.
Nous étions considérés comme les premiersrs dans le document, mais nous étions terrifiés à l’idée de ne pas être à la hauteur, donc l’expérience était absolument inoubliable. Notre équipe a réalisé un travail remarquable avec le relais, et le résultat a été exceptionnel.
Des résultats incroyables, que nous vous souhaitons la liberté de savourer dignement. Mais clairement non ! Malheureusement, nous avons été contraints de rentrer en France le soir même, juste après notre dernière course réussie.
De plus, avec les courses suivantes programmées, il n’y a aucun moyen de célébrer une victoire pendant la semaine. Mais d’ici la fin de la saison, nous nous rattraperons avec nos coéquipiers français.
D’après ce que je peux dire, vous vous entendez à merveille. Trouvez-vous facile de devenir amis lorsque tout le monde essaie de se surpasser ? Cela n’a absolument rien à voir avec autre chose. La personne que vous devenez est à 100% hors de votre contrôle.
Avec l’intention de concourir pour les mêmes places, vous décidez de rejoindre l’équipe car vous êtes sur un pied d’égalité avec eux. Quelle que soit votre préférence, vous n’aurez aucun mal à engager des conversations et à vous faire des amis partout où vous irez.
Dans son ensemble, l’équipe française valorise l’unité et la charité plus qu’une compétition intense. Partager du temps avec mes collègues de l’équipe de France, c’est comme passer du temps avec une deuxième famille. Ensuite, après avoir célébré ensemble, tout ira bien. Le chemin que vous empruntez professionnellement semble presque scellé.
Dans cinq ans, veuillez décrire votre style de vie idéal. Malgré mon incertitude quant à la possession ou non de mon diplôme STAPS, je m’imagine participer aux Jeux olympiques d’été de 2026 à Milan, en Italie. L’avancement vers un poste plus élevé est l’objectif final. D’ici cinq ans, je serai prêt à concourir au niveau olympique.
D’un autre côté, je ne suis pas ignorant ; Je suis conscient qu’il reste encore beaucoup de chemin à parcourir ! Pour les biathlètes, la distance entre la ligne de départ et la ligne d’arrivée est assez courte. Quant à moi, j’ai l’intention de continuer à rêver grand.