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Affaire Charlene Grosdent
Affaire Charlene Grosdent

Affaire Charlene Grosdent – ÉMISSION DE RADIO – Le corps sans vie de Charlène Grosdent a été découvert chez elle à Welkenraedt, en Belgique, le 15 avril 2015. Cependant, l’autopsie décidera que le meurtre est la cause du décès. Welkenraedt (Belgique), ville à la frontière allemande, est le lieu où le corps sans vie de Charlène Grosdent a été découvert le 15 avril 2015. Son ami, Adrien Rompen, appelle à l’aide avant qu’il ne soit nécessaire car sa femme étourdie est tombée accidentellement dans les escaliers alors qu’elle ranger les affaires des enfants.

Aucune ambulance ne peut la prendre pour le moment en raison des contraintes de temps. L’état de la femme de 32 ans est si critique qu’elle a été envoyée en urgence dans un hôpital d’Aix-la-Chapelle, en Allemagne, afin qu’elle puisse être opérée. Sans chance. Berthe, la mère de Charlène, dit tristement : « Elle a vécu toujours, mais avec des machines », dans Les Voix du Crime. Puis elle fait le choix difficile de la couper. Son sexe le rend incapable de le faire.

Elle poursuit : “Nous sommes revenus et une heure plus tard, elle était morte.” Il est maintenant temps de commencer à préparer la fête, mais la souffrance de ses proches est loin d’être terminée. Une autopsie doit être pratiquée, ainsi le corps de Charlène est en cours de préparation pour le transfert en chambre froide. L’accident domestique de Charlène prend alors une tournure totalement inattendue.

Berthe réfléchit : “En ce moment, je ne me pose aucune question.” Elle se calme, sachant que cette formalité ne prendra que quelques jours au maximum. Cependant, le corps de Charlène sera conservé pendant plus de deux mois, 76 jours pour être exact. “Nous avons écrit des lettres, passé des appels téléphoniques et demandé de l’aide pour pouvoir entrer”, a-t-elle insisté.

Bertha et son mari découvrent plus tard que leur maison était sous surveillance tout le temps. La police civile était stationnée devant notre maison 24 heures sur 24. Le 23 juin 2015, ils ont enfin reçu des réponses : “le commissaire m’a dit ‘Madame de Liège, c’est Adrien qui tuto votre fille.

La chute de sa fille n’était pas accidentelle, mais plutôt soigneusement planifiée. L’autopsie a révélé des signes d’étranglement et de traumatisme crânien grave. On estime que Charlène Grosdent a été étranglée pendant trois à cinq minutes dans la cage d’escalier avant l’arrivée des secours. “L’arrière du crâne était en milliers de morceaux”, a précisé la mère du défunt.

Berthe et sa famille voient la logique en tout. Les mensonges et le sexisme des deux derniers mois indiquent l’impensable. “Il ne pleurait pas. Il parlait constamment sur son téléphone portable. On aurait pu croire qu’il était là-haut en train de discuter avec un copain, mais ce n’était pas le cas. Mais non, c’était avec son maître.

L’homme entretient la relation depuis un certain temps. En fait, ce sera l’argument de la défense qu’Adrien présentera lors de son procès. Charlène lui aurait révélé son adultère le jour de sa mort. Une théorie moins crédible à la lumière de l’autopsie est qu’elle l’a frappé à coups alors qu’il était inconscient.Les obsèques de la jeune femme ont eu lieu le 3 juillet 2015, et elle a été inhumée le 3 juillet. Berthe est désormais convaincue que si sa fille avait été hospitalisée en Belgique, son histoire n’aurait jamais été rendue justice. Une amie infirmière à moi qui est dans le domaine depuis plus de deux décennies m’a dit que « c’est fini ».

Bien qu’il ait été condamné à vingt ans de prison pour ses crimes, Adrien Rompen réclame aujourd’hui une libération anticipée. Même si sa demande a été rejetée en août, Berthe De Liège vit toujours dans la crainte constante que l’assassin de sa fille ne soit libéré.

Ceux qui prennent la parole dans les affaires pénales peuvent être des avocats, des enquêteurs, des membres de la famille des victimes ou des suspects, ou même les auteurs eux-mêmes. Ces témoins clés sont prêts à s’entretenir publiquement avec les journalistes de RTL. Des témoignages de première main sans précédent qui jettent un nouvel éclairage sur le système judiciaire d’aujourd’hui et les principales affaires criminelles.

L’ancien pompier de Welkenraedt et tueur de Charlène Adrien Rompen n’est pas retourné en prison après avoir été libéré sous condition.Adrien Rompen, natif de Welkenraedt, a été condamné à 20 ans de prison en 2017 pour le meurtre de sa femme, Charlène Grosdent (de Theux), mais il n’a pas encore réintégré la prison de Marche-en-Famenne après avoir obtenu l’autorisation de sortir. Il n’est pas revenu comme prévu… Après avoir passé huit ans en prison, Adrien Rompen, 37 ans, remplit les conditions d’une libération conditionnelle. Et c’est probablement dans ce même bureau d’opticien qu’il a obtenu son autorisation de sortie.

Welkenraedt est une petite ville de Belgique située à environ 30 km de la ville de Liège. Le 8 avril 2015, vers 18h30, Adrien Rompen, pompier de 34 ans, lance un cri à ses collègues.. Elle a fait un arrêt cardiaque. Elle décédera à l’hôpital, laissant derrière elle deux jeunes enfants, des parents en deuil et un mari. Mais un mois après la mort de Charlène, l’affaire commence à se dénouer : selon les spécialistes, la chute a été délibérément enclenchée. Charlène a dû être poussée du haut des escaliers. Qui, exactement ? Et surtout, pourquoi ? Voici la réponse, racontée par Jacques Pradel, dans un épisode inédit du podcast Chroniques Criminelles.

Affaire Charlene Grosdent

Adrien Rompen, 34 ans, originaire de Welkenraedt, est poursuivi pour le meurtre en 2015 de sa femme Charlène Grosdent, 32 ans, originaire de Theux. Au tribunal, Rompen a affirmé avoir étranglé Charlène lors d’une dispute conjugale, puis s’être cogné la tête à plusieurs reprises contre le sol alors qu’elle descendait les escaliers en courant sans y être invitée.

“Je m’attendais à être détenu”

expliquer son échec à mourir dans l’exercice de ses fonctions de pompier, il a déclaré: “J’avais un trou dans la haie qui m’a permis de courir jusqu’au pont sur l’autoroute et de me jeter dans le vide.”Après avoir complètement détruit la vie de mes enfants, je dois maintenant en assumer la responsabilité. Je dois des excuses à tout le monde.

Même si tout le monde a été gentil avec moi quand Charlène est décédée, je n’ai jamais cessé de mentir, dit-il. Welkenraedt est une petite ville de Belgique située à environ 30 km de la ville de Liège. Le 8 avril 2015, vers 18h30, Adrien Rompen, pompier de 34 ans, lance un cri à ses collègues. Au fond de leur cage d’escalier, il retrouve sa femme Charlène, 32 ans, gisant dans une mare de sang.

Son cœur avait cessé de battre. Elle décédera à l’hôpital, laissant derrière elle deux jeunes enfants, des parents en deuil et un mari. Pourtant, l’affaire commence à se dénouer un mois après la mort de Charlène car, selon les spécialistes, la chute a été intentionnellement déclenchée. Charlène a dû être poussée du haut des escaliers. Qui, exactement ? Et surtout, pourquoi ? La réponse se trouve dans un épisode inédit du podcast Chroniques Criminelles de Jacques Pradel.

Le prévenu a expliqué qu’il avait rencontré sa future épouse lors de sa formation d’instituteur. Il y avait deux enfants nés au couple avant leur mariage.Même si le couple n’avait pas de problèmes d’argent et gérait bien ses fonds, les prévenus ont déclaré que les choses s’étaient détériorées émotionnellement et sexuellement. Elle n’avait pas confiance en elle. Elle était allée en chirurgie esthétique et je l’ai accompagnée tout au long du processus. Néanmoins, les moments tendres et les relations étroites étaient rares. C’est une mauvaise situation, dit-il. Il espérait recommencer avec un nouveau partenaire.

Il avait immédiatement entamé une relation extraconjugale avec une femme qu’il avait rencontrée alors qu’il pratiquait son passe-temps favori, la photographie, en tant que mannequin. Il voulait recommencer avec elle, alors il a arrêté de mentir à sa femme le 8 avril de cette année.

Alors qu’il s’attendait à des larmes et à de la tristesse, il n’était pas préparé à ce que son ami se mette à pleurer, à s’agiter et à donner des coups de poing. Il l’a attrapée par la gorge à deux mains pour la faire se tendre. Je n’ai pas pu mettre la main sur ses bras. J’aurais dû lui faire un cadeau pour la calmer, mais ce genre de réponse me fait penser à un homme qui bat sa femme. je le croyais fermement; J’étais ailleurs. Cela a duré environ trois minutes avant que j’abandonne.

Charlène Rompen, inconsciente, a dévalé les escaliers et a terminé son sprint face contre terre en bas de la pente. L’homme de 30 ans a ensuite attrapé sa femme par la tête et l’a frappée à plusieurs reprises au sol, l’incitant à appeler à l’aide et incitant les ambulanciers à commencer à pratiquer la RCR. Tout ce que j’ai fait à ce moment-là, a-t-il dit, était violent. Ajoutant: “J’étais dans un délire temporaire”, il a expliqué son comportement pendant cette scène.

Le suspect a admis avoir donné de fausses informations aux médecins dans le but de dissimuler ses crimes et a déclaré qu’il s’attendait à être interrogé par les autorités allemandes après avoir été interrogé par un médecin à Aix sur une technique d’étranglement.

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