Qui Est La Compagne De Olivier Dartigolles – L’Heure des Pros a retrouvé Marie-Estelle Dupont, jeudi 26 janvier. Lors de son passage dans l’émission de Pascal Praud, la psychologue a laissé entendre qu’elle était irritée par le comportement des autres chroniqueurs. Et elle les a informés !
Le jeudi 26 janvier a été une journée difficile sur le plateau de L’Heure des Pros. Pascal Praud était accompagné d’Olivier Dartigolles, Florian Tardif et Marie-Estelle Dupont pour cette dernière édition de son émission quotidienne. Martin Blachier, dont il a promu le dernier ouvrage, Les Dix nouveaux dangers pour la santé humaine (Ed. Cerf), a également été salué par lui.
Alors que les autres chroniqueurs, majoritairement masculins, débattaient du thème de la dépression chez les adolescents, la psychologue a clairement exprimé son désaccord au cours de l’émission. “Nous profitons du manque de connaissances des gens en commercialisant l’idée que l’apprentissage à distance est réel et que les progrès peuvent se faire virtuellement, mais ce n’est pas du tout le cas ! Ce n’est pas vrai.
Elle a ajouté qu’étudier la biochimie du cerveau fait long- mémorisation des termes impossible. “En fait, c’est pas vous qui avez écrit le livre de Martin Blachier ?”, a plaisanté Pascal Praud. Elle s’est calmée après le commentaire de l’animatrice de CNews et s’est défendue en disant : “Non, pas du tout. Cependant, il est essentiel de noter que la perte du lien provoque la dépression. »
Pourtant, au moment où Pascal Praud s’apprêtait à aborder un autre sujet du moment, Marie-Estelle Dupont a souhaité reparler de la même chose. Pour les jeunes, le désespoir est exacerbé par un sentiment d’inutilité. “Aucune relation, aucune signification”, a-t-elle fait remarquer. Une connexion avant tout… » reprend en écho son collègue Martin Blachier. « Je le pense.
Cela n’a aucune signification car il n’y a pas de lien. “La vie d’un mammifère n’a aucun sens sans lien”, a-t-elle déclaré, son irritation étant clairement visible. Olivier Dartigolles a plaisanté avec le psychologue et l’a interrogé : “Est-ce important d’avoir le dernier mot ou pas ?” Les critiques cinglantes ne sont pas restées inaudibles : “Pas du tout.
“Oh, ça va, il y a six gars alpha là-bas !”, a-t-elle dit, puis elle s’est rapidement corrigée en disant : “Messieurs, s’il vous plaît, prenez le relais, ” dit-elle. Pascal Praud a répondu : “Non, mais soyez gentil avec Marie-Estelle, c’est vrai. Vous vous comportez comme des mâles alpha des années 50.” Le ton était sarcastique.
Marie-Estelle Dupont est connue pour être la petite amie de Martin Blachier, en plus de son rôle de chroniqueuse fréquente à L’Heure des Pros. C’est à la télévision que l’épidémiologiste et le psychologue se sont croisés pour la première fois.
Ce mari et père de trois enfants a dévoilé quelques détails personnels sur sa compagne de vie dans Méga Gâchis, histoire secrète de l’épidémie, de mars 2022, aux éditions du Cerf. Marie-Estelle Dupont possède sûrement un avantage sur ses concurrentes puisqu’elle s’appelle Marie-Estelle Dupont.
En nous éloignant du plateau, nous engageons la conversation avec les autres intervenants présents ce jour-là (…) Selon le scientifique, le lendemain sur Linkedin, il recevait un message de Marie-Estelle lui proposant de parler sur “des sujets plus larges que le Covid”, plutôt que de confirmer sa réservation à La maison des Bois, située à quelques kilomètres d’Annecy.
Marie-Estelle Dupont était vraiment authentique, c’est-à-dire impulsive et pleine d’elle-même, lorsqu’elle était avec Martin Blachier. Je découvre qu’elle aussi est divorcée et a trois enfants ; le ton est hilarant. Nous prendrons la décision de vivre ensemble dans moins de six mois.
Pourquoi ne pas le faire ? C’est tellement évident!
Nous avons tous les deux eu notre lot d’intrusions médiatiques au cours de notre première année de cohabitation, dont nous discutons occasionnellement lors d’un dîner. En revanche, notre nouvelle tribu – elle, moi, ses trois enfants, mes trois enfants – est délicieusement et bruyamment occupée le week-end. Celui qui a trouvé l’amour pendant l’épidémie s’est confié à l’autre en disant : “Vous connaissez le proverbe : quand on aime, on ne compte pas !”).
Autrement dit, son départ de la politique. Après des mois de prise de position officielle, Olivier Dartigolles a décidé de changer de tactique, usant du geste communiste tout au long de la campagne électorale et critiquant tous ceux qui croyaient que Marie-George Buffet pourrait devenir présidente.
Olivier Dartigolles, l’apparatchik du PCF, s’enfuit.Le porte-parole du Parti communiste se sépare de la présidente Marie-George Buffet, qui se trouve dans une situation précaire en raison de ses résultats lamentables lors de la campagne présidentielle. Malgré tous ses efforts, il est incapable de se résoudre à faire quoi que ce soit de nouveau dans sa section.
Il a redonné le moral au PCF. “Ils ont tout essayé pour le faire tomber”, se souvient Jean Ortiz, professeur et ancien membre du parti. Malgré cela, il maîtrise l’art du management d’équipe, revigore l’esprit militant et aplanit les tensions avec le PS en proposant une liste PCF indépendante pour les élections régionales de 2004, loin des côtes.
Cinq des sept jours de ce Béarnais sont consacrés à Paris, tandis que les deux autres sont consacrés à Pau, une ville qu’il adore revisiter. Alors qu’il écoutait “Les Paradis perdus” de Christophe sur son iPod en haletant dans une petite bergerieau milieu de la Vallée d’Aspe.
Le 1,93% obtenu par son candidat le 22 avril était tout aussi épouvantable.Le départ des militants opprimés est désormais l’unique préoccupation d’Oliver Dartigolles. « Tout ce que nous avons essayé depuis vingt ans a échoué. Nous devons repartir de zéro», a-t-il assuré. Il a rejeté la thèse de Sursaut dès le 22 avril.
« L’idée de continuité peut nous tuer », griffonnait Marie-George Buffet fin août, et il s’est attardé sur cette phrase tout au long de cette période.Il gardait l’espoir que le secrétaire national démissionnerait finalement après deux mois de silence radio. Cela a été confirmé par ses récentes remarques.
Défendant « l’objectif communiste », elle s’est lancée dans une attaque cinglante contre ses « camarades » qui complotent pour « tout mettre en vente, organiser une braderie » et inspirer des visions d’une révolution extérieure.
Une fois que le porte-parole a décidé de franchir une ligne, il a prévenu que le secrétaire national se retrouverait « dans une situation de combat » s’il tentait de rétablir le statu quo et d’apaiser à nouveau tout le monde pour sauver le parti. Mais il reste à l’écart de Mme Buffet parce qu’il sait qu’elle a toujours un air de mystère lorsque les radicaux la regardent.
“Beaucoup d’entre eux ne veulent plus gérer les affaires ordinaires pendant encore dix ans”, explique le jeune réalisateur qui rassemble ses “doutes” et les partage. Il rétablira le chemin lors des débats du Festival Huma les 14, 15 et 16 septembre.
Il voudrait faire croire que « le Parti a changé » et que la moitié de la direction du parti a démissionné, laissant derrière lui 36 secrétaires fédéraux « qui comptent ». Continuez à envoyer “le signal” lors du congrès extraordinaire de décembre que le PCF est prêt à ouvrir un nouveau chapitre en 2008.
Il pense que c’est vrai. Même « l’après-Marie-George » est à la portée de son imagination. Les émissions de Pascal Praud frisent parfois la folie. L’un des habitués est Olivier Dartigolles, l’élu socialiste de Paris. Faites-le et expliquez pourquoi.
“Un spectacle monté par des démagogues.” Cette semaine, “L’Obs” revenait sur l’émission-débat “L’heure des pros” de Pascal Praud (ancien de Téléfoot), diffusée quotidiennement sur CNews : Avec sa “Barre d’infos”, “les dérapages qui se succèdent plus vite que les invectives sur Twitter, « échanges sur le ring », « requiem pour la France qui s’assassine », l’hebdomadaire « L’Obs » est loin d’être tendre.
Néanmoins, chaque mardi, Olivier Dartigolles, élu socialiste du Pays basque et membre de la direction nationale du PCF, y interprète sa petite musique. Malgré l’image ternie de la série, il apprécie visiblement la rencontre.
Il a été souligné par Olivier Dartigolles que l’événement débutera à 9h00 et se terminera à 10h30. Mon focus principal est sur ce spectacle. De véritables discussions sont possibles avec moi. Je fais presque un effort pour standardiser la façon dont j’utilise Pascal et Bernoulli pour illustrer mes propos. Il est vivant, même s’il est parfois un peu rugueux sur les bords.
“C’est quelqu’un qui a une vraie culture politique, historique”, estime l’élu socialiste Pascal Praud, dont les sentiments anti-caricaturaux sont pleinement affichés. Contrairement aux apparences, tout n’est pas aussi simple qu’il y paraît.
En concédant que “certains plateaux penchent à droite”, Olivier Dartigolles entend se doter d’une tribune pour s’exprimer : “J’ai été pugnace en défendant mon idée de société sur certains plateaux”. Cela m’a toujours été interdit. Même si nos perspectives peuvent paraître dures, nous abordons souvent des sujets lourds dans nos conversations.
Pour plus d’informations, veuillez vous référer à nos conditions générales de vente.Il quitte son poste de secrétaire national du porte-parole dévoué du PCF, ou porte-parole des ordures, selon les opinions. Ensuite, exprimez votre mécontentement. Les histoires ne sont plus partagées. Si les choses continuent ainsi, a-t-il dit, « nous mourrons » après les élections.
Il est désormais incontestable qu’« une nouvelle organisation politique » et « une sensibilité communiste organisée » sont des nécessités. Ce n’est pas un « parti Ripoliné » ; il s’agit plutôt d’un ensemble diversifié de personnes qui partagent des valeurs telles que l’anti-mondialisation, l’antilibéralisme, le socialisme de gauche et les syndicalistes.
Il a toujours un style sage de première classe quelque peu obscur, complété par de petites lunettes de soleil et des chemises bleues à imprimé ciel. Sur de multiples télévisions, il a néanmoins soutenu avec véhémence son candidat pendant la campagne électorale. Il a néanmoins trouvé sa place dans le cercle restreint de la secrétaire nationale, où ils se réunissent chaque semaine dans son bureau place du Colonel-Fabien. C’est un homme de 37 ans.
Celui qui “monte” est Jean-François Gau, qui arrive presque en tête du classement. La jeune professeur d’histoire avait été dirigeante de la Petite Fédération des Pyrénées-Atlantiques avant d’être élue au conseil national en 2000 puis à l’exécutif en 2004, où elle était responsable du secteur jeunesse.
En deux ans, il est devenu habile à discuter du bois sans rougir et à justifier tout. De la même manière qu’en décembre 2006, il s’est opposé à la défense de son patron.En tant que candidat à l’unité par d’autres factions antilibérales. Chaque article a une icône de partage à droite et en haut ; pour partager un article, cliquez sur cette icône. Il se souvient très bien du “moment horrible” où il a été traduit en justice par une foule de militants collectifs encerclés dans l’immense arène sportive de l’Île-Saint-Denis.
“Il s’est comporté comme un apparatchik sectaire”, remarque Francine Bavay, vice-présidente des Verts au conseil régional d’Ile-de-France. “C’était l’homme de confiance chargé de faire passer la ligne, mais il a essayé de la faire oublier par l’humour et l’autodérision !” il a corrigé Clémentine Autain, la maire de Paris.
Le secrétaire national le soutient pleinement dans ces conditions. Tout cela se fait “sans être courtisane”, estime la dirigeante Eliane Assassi. Aujourd’hui, il compte utiliser une partie de cette légitimité à son avantage lorsqu’il se rend dans diverses fédérations pour tenter de les convaincre de franchir la ligne. Il ne pourra cependant pas dévoiler son état mental puisque son allégeance ne lui fera pas oublier la sentence électorale trop sévère.