Oudea Castera Enfants Ecole – Il y a encore beaucoup de débats. Après avoir été accusé d'”anomalies” dans un procès-verbal officiel, l’établissement privé Stanislas (6e arrondissement) a été déclaré mercredi 17 janvier par la Ville de Paris suspendre temporairement ses financements.
La suspension sera en vigueur le temps que la ville attende des « clarifications » de l’État. “Après avoir pris connaissance par la presse du contenu d’un rapport d’enquête administrative de l’Inspection générale de l’Éducation”, le conseil municipal “a décidé de suspendre le financement de l’établissement à titre conservatoire, dans l’attente des éclaircissements demandés à la État”, précise la mairie de Paris dans une publication de presse.
Comportement non conforme aux normes légales
Dans le cadre des orientations pour le financement des établissements privés conventionnés par les collectivités, la Ville de Paris a alloué plus de 1 373 905 euros à l’établissement Stanislas pour l’année scolaire 2022-2023. Ce montant correspond aux 483 élèves inscrits dans les programmes maternels et élémentaires, ainsi qu’aux 1 329 élèves du collège.
La nouvelle ministre de l’Éducation, Amélie Oudéa-Castéra, envoie ses enfants dans une école privée catholique, et cette enquête y détaille des « dérives » homophobes et sexistes et des comportements illégaux. “Demande à l’Etat de transmettre le plan d’action suite à ce rapport, qui a également été rapporté dans la presse” en est encore une autre partie.
Selon la Mairie de Paris contactée par l’AFP, “le paiement des échéances à venir” ne serait pas effectué cette année à l’établissement. Aucune information supplémentaire n’est fournie. “Nous attendons patiemment le rapport de l’Etat et sa réponse concernant ses plans d’action”, ajoutons-nous, précisant que celle-ci interviendra après la publication du rapport.
Racisme, anti-choix, menaces… Les enfants d’Amélie Oudéa-Castéra fréquentent l’école Stanislas, ce que souligne une étude de l’Éducation nationale. L’organisation privée est considérée comme flirtant avec le fondamentalisme catholique et ne respectant pas son contrat avec l’État, selon le rapport de l’Inspection générale.
Mardi 16 janvier, Mediapart [article payant] a révélé un rapport de l’Inspection générale de l’Éducation nationale, daté de juillet 2023, qui dénonce des “anomalies” au sein de l’école privée catholique Stanislas de Paris, mettant de l’huile sur le feu autour de l’éducation d’Amélie. Les enfants d’Oudéa-Castéra dans cette institution. Mediapart rapporte que le ministère de l’Éducation nationale a reçu ce document de 30 pages le 1er août.
Malgré de nombreuses demandes, l’ancien ministre de l’Éducation Gabriel Attal n’a pas fourni ce document à Mediapart. Il s’agit d’une inspection académique de l’établissement qui prépare les étudiants aux examens d’entrée prestigieux comme Sciences Po et Polytechnique dès le plus jeune âge. C’est dans cette illustre école privée du 6e arrondissement de Paris, qui accueille 3 500 élèves de la maternelle à la préparatoire, que Jean-Michel Blanquer a terminé ses études.
Messe et catéchisme obligatoire
Les enfants non baptisés sont menacés de “damnation” et de “l’enfer”, selon les rapporteurs, qui évoquent des cours de catéchisme et des messes obligatoires pour tous les enfants, quelle que soit leur appartenance religieuse. L’orateur fait des déclarations illégales, comme celles qui sont vicieusement homophobes ou anti-avortement.
Les risques de la contraception hormonale sont mis en avant lors des conférences sur l’éducation sexuelle tandis que le thème des maladies transmissibles est éludé. “L’avortement signifie toujours tuer volontairement une personne humaine innocente”, déclarent les livrets de catéchisme de quatrième année.
Comme le précise cette étude, « les abus constatés en matière de catéchisme sont contraires au contrat qui lie cet établissement à l’Etat ». Il en va de même ici : l’éducation religieuse devrait être volontaire. Selon les rapporteurs, Stanislas doit savoir que “les résultats sont certes là”, mais qu’ils se font au prix d’une pression continue sur les jeunes. Pressions de la part de la communauté universitaire et des groupes religieux, pouvant conduire à l’expulsion de l’école.
Face à ces révélations, les sénateurs communistes Pierre Ouzoulias et Ian Brossat ont exhorté le ministre à “mettre fin à l’accord dont bénéficie cet établissement” puisque, selon eux, Gabriel Attal aurait dû être contraint “d’agir sans délai” à la lumière des événements. qui ont été décrits.
Actualités Liberté
L’ancienne enseignante du fils d’Amélie Oudéa-Castéra met en doute sa défense de l’éducation de ses enfants. La nouvelle ministre de l’Education nationale avait défendu sa décision d’envoyer ses enfants dans l’école privée Stanislas, extrêmement conservatrice, en invoquant “le nombre d’heures non remplacées” dans l’école publique de son fils aîné.
Son séjour à la maternelle a été en fait assez bref : seulement six mois
Personne ne respectera une ministre de l’Éducation nationale qui choisit de travailler hors du foyer pour ses propres enfants. La situation est bien pire lorsque celle-ci, la récemment nommée Amélie Oudéa-Castéra, détruit l’école même publique qu’elle prétend défendre pour justifier cette contestation.
D’autant que les données recueillies par Libération pourraient remettre en cause les affirmations de l’ancien tennisman de 45 ans. Le fait que leurs enfants ne passent que six mois dans une petite classe de maternelle est particulièrement remarquable.
Gabriel Attal, le ministre au portefeuille XXL (qui englobe l’Éducation, les Sports, la Jeunesse et l’Olympisme), et le premier ministre Gabriel, se sont rendus dans un collège des Yvelines, vendredi 12 janvier, moins de vingt-quatre heures après avoir arrivé rue de Grenelle.
Réagir aux révélations
Amélie Oudéa-Castéra : le récit d’une femme dont l’ancien instructeur du fils conteste le récit du ministre Amélie Oudéa-Castéra a utilisé sa « frustration » face aux « paquets d’heures » d’enseignement non remplacés lors des absences des enseignants des écoles publiques comme prétexte pour envoyer ses enfants dans une école privée.
Une version que l’ancien instructeur du fils aîné du ministre réfute fermement
Libération a rapporté dimanche qu’Amélie Oudéa-Castéra, la nouvelle ministre de l’Éducation, a nié que la question de la pénurie d’enseignants ait été un facteur dans sa décision d’envoyer ses enfants dans une école privée.
Libération a rapporté dimanche qu’Amélie Oudéa-Castéra, la nouvelle ministre de l’Éducation, a nié que la question de la pénurie d’enseignants ait été un facteur dans sa décision d’envoyer ses enfants dans une école privée.
Désaccord autour de la version initiale
Amélie Oudéa-Castéra, une nouvelle conseillère scolaire, a fait sensation vendredi en défendant sa décision d’envoyer ses enfants dans des écoles privées, citant sa “frustration” face aux “paquets d’heures” d’enseignement qui ne sont pas dispensés alors que les enseignants sont absent. entreprise publique.
Libération a rapporté dimanche qu’Amélie Oudéa-Castéra, la nouvelle ministre de l’Éducation, a nié que la question de la pénurie d’enseignants ait été un facteur dans sa décision d’envoyer ses enfants dans une école privée.
Désaccord autour de la version initiale
Amélie Oudéa-Castéra, une nouvelle conseillère scolaire, a fait sensation vendredi en défendant sa décision d’envoyer ses enfants dans des écoles privées, citant sa “frustration” face aux “paquets d’heures” d’enseignement qui ne sont pas dispensés alors que les enseignants sont absent. entreprise publique.
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“Les propos rapportés par Libération sont catégoriquement démentis”, a indiqué à l’AFP son entourage. On a laissé entendre qu’Amélie Oudéa-Castéra et Frédéric Oudéa auraient fait un choix contraire à leurs principes et à leur développement, comme le font tous les parents, afin d’assurer le bien-être de leur enfant. notre petit garçon leur fait beaucoup de mal”, avons-nous souligné.
Des critiques en masse
Certains hommes politiques éminents se sont offusqués de l’histoire de Libération et exigent la démission du nouveau ministre de l’Éducation, qui est également en charge des sports et des Jeux olympiques.
Il y aura un changement à la tête du ministère de l’Éducation nationale s’il s’avère que Mme Amélie Oudéa-Castéra a menti sur le fait que son fils a reçu des “forfaits d’heures non remplacés”, comme l’a indiqué en réaction à la nouvelle. Il n’est guère surprenant que le ministre de l’Éducation nationale ait été choisi. Vous ne trouverez pas de meilleure institution catholique en France que celle-ci.
Le débat fait rage. Depuis vendredi 12 janvier, de nombreuses voix se sont élevées contre Amélie Oudéa-Castéra, la nouvelle ministre de l’Éducation nationale. Le collège Stanislas est une école privée du 6e arrondissement de Paris et il a décidé d’y envoyer ses enfants. Quelque chose dans sa vie personnelle qui a suscité des débats houleux pendant des jours, de nombreuses personnes critiquant l’institution pour son élitisme ou sa dureté.
Plus de trois acres au milieu du sixième Soyons clairs : Stan n’est pas une école privée ordinaire. Blanquer, Édouard Baer et Christian Dior en font partie.
Des personnalités ont fréquenté cette illustre institution située à proximité du jardin du Luxembourg. Chaque jour, 3 600 élèves de la maternelle à la maternelle parcourent un territoire de plus de trois hectares. Parmi les lycées publics très sélectifs du 5e arrondissement, l’établissement se classe parmi les dix premiers en termes de prix du Concours général, avec Louis-le-Grand et Henri IV.
Les familles doivent s’engager dans le « projet éducatif » et l’enfant doit être capable de suivre « le parcours académique proposé » avant que l’inscription puisse être traitée. Une fois acceptés, les étudiants adhèrent à un calendrier rigoureux qui les aide non seulement à obtenir leurs meilleurs résultats au baccalauréat, mais aussi, et surtout, leurs meilleures perspectives d’emploi.
Parmi les lycéens qui fréquentent Stanislas, 70 % suivent une formation pré-médecine et 20 % deviennent médecins. Ce lycée envoie systématiquement environ 20 % de ses élèves en prépa scientifique de l’université Stanislas.
Un total de sept centres de remise en forme, dont deux piscines intérieures
Les externes paient entre 2 200 et 2 500 euros par an pour les collèges et lycées, tandis que les internes paient 9 000 euros. C’est la diversité des équipements proposés qui fait la valeur de l’école en termes d’infrastructures.
La salle de sport, le mur d’escalade, le terrain de football et la piscine intérieure font tous partie de ce que l’on appelle la « vie de campus » sur les campus universitaires. Il y a trois chapelles à la disposition des étudiants et deux messes célébrées quotidiennement, la religion y joue donc également un rôle important.