Esther Abrami Couple – A 26 ans, Esther Abrami, ancienne étudiante du conservatoire d’Aix, parvient à créer une véritable communauté sur les réseaux sociaux. Environ 418 000 personnes suivent cette passionnée de musique sur TikTok, tandis qu’environ 300 000 personnes la suivent sur YouTube et Instagram.
Elle a grandi au Tholonet, entourée de chats, face à la Sainte-Victoire, où elle et sa mère aimaient dessiner et peindre dans toute sa splendeur. Et le premier émoi musical que rencontre la petite Esther Abrami, c’est lorsqu’elle a neuf ans. “Il y avait un violoniste, ça m’a absolument émerveillé, la façon dont il jouait, en ménageant des silences…” a déclaré le membre du groupe de musique klezmer présent dans le hameau.
“C’était un amour fétide, j’ai continué” l’année suivante lorsqu’elle exige de faire son premier cours. La façon dont l’instrument est tenu, la vibration… “Non serait-ce que pour obtenir un son correct” si le violon exige beaucoup d’effort dès le départ.
Après son passage à l’école Jean-Vincent du Tholonet, elle intègre la classe de musique de l’école Sallier du vieil Aix en CM2. “On était deux ou trois ans à avoir si jeune cette ambition de vouloir faire carrière dans la musique.”
Malgré la rencontre avec celle qui deviendra sa meilleure amie, la petite Esther se sent extrêmement seule et déprimée. Les trente autres élèves de la classe l’ont fait juste pour s’amuser. la musique.” Il est tout simplement difficile d’avoir 8 à 5 emplois réguliers et de supprimer ensuite quatre heures de notre métier. Ainsi, Esther suit ses cours collégiaux par correspondance via le Cned pendant deux ans tout en poursuivant parallèlement une licence au Conservatoire d’Aix :
“Le langage de la musique m’a sauvé”
Alors, quelle est la prochaine étape ? Les artistes en herbe partent souvent pour Paris dès l’âge de quatorze ans. Un internat, les horaires “vraiment aménagés” et des effectifs réduits caractériseront cette école en Angleterre. “Le langage de la musique m’a sauvé”, murmure-t-elle après avoir finalement rencontré “d’autres jeunes qui partagent le même rêve”, malgré le fait qu’elle ne parle pas un mot d’anglais.
Elle passe l’équivalent d’un diplôme d’études secondaires en 2017 et entre au prestigieux Royal College of Music de Londres. Elle utilise les médias sociaux pour lutter contre la nature isolante de la vie urbaine. Supprimez vite ses vidéos : j’ai été l’un des premiers musiciens classiques à s’y produire ; personne n’a fait ça en Europe. Je l’ai aimé; c’est incroyablement émouvant lorsque je reçois des commentaires d’enfants me disant qu’ils ont été violés après avoir regardé une de mes vidéos.
En 2020, Esther s’évade de la prison du Tholonet et commence à réaliser des vidéos virales : elle joue du violon pour ses chats (en parallèle, elle rejoint l’association aixoise Féli-Cité, qui accueille des chats abandonnés). Jusqu’à présent, 418 000 personnes ont rejoint TikTok, tandis que plus de 300 000 ont rejoint YouTube et Instagram…
“J’étais jugée superficielle, stupide”
révèle-t-elle, exprimant sa frustration face à l’industrie de la musique classique. Cela nous fait penser qu’il n’existe que quelques manières très limitées de faire carrière dans la musique, comme être pianiste de concert, professeur ou artiste solo.
A peine 1% des musiciens réussissent à devenir solistes… Je pense que ce qui m’a causé des ennuis, c’est que j’ai emprunté une toute autre voie. Au fur et à mesure qu’elle construit son réseau, elle signe avec Sony en 2021, se produit en soliste au Royal Albert Hall en 2022 (l’une des salles de concert classique les plus célèbres au monde), pose pour des photographes et devient mannequin pour de grandes marques et labels de luxe. comme Lancôme et Yves Saint Laurent.
Après avoir dit : « J’étais jugée superficielle, stupide », il reçoit des critiques. La presse n’a pas tardé à commenter mon comportement, qui ne serait jamais toléré par un homme. Après un moment sans rien faire, j’ai réalisé que cela n’avait pas d’importance parce que faire ce que j’aime me manquait. Cela ne me fera pas de mal si je reçois bientôt une invitation à la Fashion Week ! Son objectif est d’inciter les jeunes femmes à ne pas s’autocensurer en “casser les a priori que les jeunes ont sur la musique classique”, à décoloniser les genres et à faire tomber les barrières.
À douze ans, elle se souvient encore de son professeur de musique qui lui disait que s’il n’y a pas de femmes chefs d’orchestre, c’est « parce que les chefs Le résultat est son podcast vidéo « Women in Classical », dans lequel elle anime des discussions sur le sexisme avec des compositeurs, des musiciens et des metteurs en scène de théâtre.
Deux de ses albums, Cinéma, mettant en vedette les compositrices Anne Dudley et Rachel Portman, toutes deux oscarisées de la meilleure musique, devraient sortir ce vendredi. “Le cinéma nous permet de briser toutes les barrières”, dit-elle.
La musique est tellement chargée de scènes et d’émotions qu’elle donne l’impression qu’elle s’adresse directement à l’auditeur, même s’il prétend ne pas aimer du tout la musique classique. Cela explique pourquoi même quelqu’un qui prétend ne pas aimer la musique classique peut aller voir un blockbuster tout en appréciant le Prélude de Chopin.
Au cinéma, elle joue avec l’Orchestre Philharmonique de Prague, des arrangements originaux d’Amélie Poulain, des chansons du manga Naruto et Hunger Games (son livre préféré lorsqu’elle était adolescente), ainsi que Le taon de Chostakovitch et la Valse sentimentale de Tchaïkovski.
En l’honneur de ses ancêtres juifs d’Europe de l’Est, dont beaucoup furent déportés, ainsi que les thèmes de La vie est belle et du Journal d’Anne Frank. Ils viennent de réemménager dans leur appartement du Puy-Sainte-Réparade après quelques mois de couple avec Worakls, étoile montante de la scène électro qui utilise pléthore d’instruments classiques.
Ça me fait du bien d’avoir trouvé ma campagne, les chats. Et le soleil, cette lumière unique, ce n’est pas le même qu’en Angleterre. Heureusement, nous n’avons pas de voisins, sinon je vous jure qu’entre sa musique électronique et mon violon, ils se chamailleraient !
Jeune femme bien ancrée dans son époque, la violoniste Esther Abrami est aussi mannequin, influenceuse et artiste. Nommer ce talent durable « DREAMHER 2022 » a été une décision brillante de la part de Zenith.
Esther Abrami, 26 ans, est devenue ambassadrice de l’événement “Dreamher 2022” à Singapour, organisé par la montre-bracelet de luxe Zenith. Quel est l’intérêt de « RENCONTREZ LES RÊVEURS » ? Mise en lumière de six dames exceptionnelles.
« Je suis incroyablement fier d’accueillir des femmes aussi exemplaires, illustrant au monde entier qu’aucune ambition n’est trop élevée et que si nous aspirons à la célébrité en agissant avec passion et intégrité, nous pouvons y parvenir ! » proclame Julien Tornare, PDG de Zenith, avec enthousiasme. L’incroyable parcours de leur nouvelle ambassadrice est bien décrit dans ces mots.
La beauté fragile qui lui donne une impression d’Audrey Hepburn dissimule le fait qu’elle est une jeune artiste dont la persévérance et le dévouement incroyables ont réalisé toutes ses ambitions. Abonnée à TikTok et 256 000 followers sur Instagram, elle a à cœur de toucher le plus grand nombre avec sa passion. La personne la plus célèbre sur les réseaux sociaux est une jeune française d’Aix en Provence et sa rencontre a été une expérience passionnante et passionnée. avec des milliers de vues, et
Où est née votre passion pour le violon ?
Tout a commencé lorsque ma grand-mère m’a offert mon premier petit violon quand j’avais trois ans, raconte ESTHER ABRAMI. Elle a été très patiente alors qu’elle essayait de me montrer la bonne façon de gérer cela. Comme c’était l’habitude à son époque, elle a abandonné sa carrière de musicienne très talentueuse lorsqu’elle s’est mariée.
Lorsque j’ai tenu le violon pour la première fois, à l’âge de dix ans, ma vocation est devenue claire. J’ai persisté contre vents et marées parce que j’étais déterminé à en faire l’œuvre de ma vie. Ce fut un processus long et ardu, mais en 2017, j’ai été admis au Royal College of Music de Londres, témoignage de ma persévérance et des fruits de mon travail.
Quand vous pensez aux réseaux sociaux, comment voulez-vous transmettre votre enthousiasme ?
Je me sentais extrêmement seule lorsque j’étais étudiante à Londres. J’ai pu me connecter avec d’autres personnes partageant mes intérêts et, plus important encore, former une communauté grâce aux médias sociaux tout en vivant pour la première fois la séparation familiale. Cela m’a permis de partager le violon avec le plus grand nombre et depuis, jouer sur les scènes les plus prestigieuses du monde est le prolongement de mes rêves les plus fous.
Cette obsession du vêtement ne s’explique pas.
C’est un cadre qui suscite depuis longtemps mon intérêt. Je me souviens avoir imaginé des tenues confectionnées à partir de différents tissus quand j’étais petite. Je considère la mode comme une forme d’art, même si beaucoup de gens la trouvent superficielle. Quand vient le temps de choisir ma garde-robe de performance, je ne lésine jamais. Particulièrement à l’heure actuelle, cela me donne l’opportunité de montrer au monde qui je suis à travers ma personnalité.
Pouvez-vous nous parler de votre implication dans les « Dreamhers 2022 » de Zenith ?
Aux côtés des autres « Dreamhers » – Catie Munnings, Lola Rodriguez, Chiaki Horan, Sheila Sim et –, je me sens privilégiée d’avoir été choisie pour cette occasion. La porter était un délice ! Cette montre Zenith Defy Midnight en acier inoxydable est dotée d’une lunette en diamant.
Malgré nos origines et nos expériences très diverses, je chérirai pour toujours l’amitié que j’ai nouée avec eux et j’ai hâte de les revoir. J’adore Zenith parce que l’entreprise défend les mêmes principes que moi et parce que ses montres sont élégantes et bien conçues.
En particulier, celui du. Quelle expérience délicieuse de rencontrer ces femmes remarquables. Alyssa Hsu Vivant à Londres, Esther Abrami est une jeune violoniste française. Cinéma, son nouvel album proposant de nouveaux arrangements de grands succès du grand et du petit écran, sortjour.
Elle est une créatrice de contenu sur les réseaux sociaux et une amoureuse des chats.
Esther Abrami, violoniste française de 27 ans, qui vit à Londres et compte des dizaines de milliers de followers sur Facebook, Instagram et YouTube, est une sorte d’influenceuse sur les réseaux sociaux et, surtout, une musicienne professionnelle.