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Affaire Laetitia Monier
Affaire Laetitia Monier

Affaire Laetitia Monier – Parce qu’ils ont coupé le courant à leur arrivée. De plus, il met en lumière la découverte d’une empreinte de chaussure (pointeur 44) sur la porte vitrée de l’étal. Un voisin de Me Omez a affirmé avoir vu de la lumière briller par les fenêtres vers 5 heures du matin. “A cette heure, Madame Monier dort dans une villa où elle a récemment organisé une fête. Bizarrement, lorsque les pompiers sont arrivés le matin, tous les stores Selon Me Omez, cela signifie que quelqu’un d’autre a pu s’introduire dans la villa et commettre le crime impardonnable.

“Je suis complètement irréprochable.”

Me Kraisnik, l’autre avocat de la défense, a été payé après l’acquittement de William Rolland. Il a expliqué qu’il vendait de la drogue à cette époque. Il y a toujours plusieurs téléphones impliqués lorsque cela se produit. Si l’un de ses téléphones était mort à Brest, il aurait pu facilement en utiliser un autre à Plougonvelin. Il a affirmé qu’il ne pouvait pas bouger puisqu’il n’avait rien sur lequel monter. Parallèlement, il est établi qu’il voyage fréquemment entre Chartres et Brest pour affaires. Sans aucun doute, il avait une voiture à sa disposition.

Lorsque ces conditions ont été réunies, Laetitia Monier s’est levée et a déclaré à la barre : “Je suis innocente et je le dirai jusqu’au jour de ma mort.” La défense n’a pas été en mesure d’influencer le jury avec ses arguments. Latitia Monier fera l’objet d’un suivi sociojudiciaire pendant cinq ans une fois qu’elle aura terminé son incarcération criminelle de vingt ans.

Si elle cède, elle devra purger cinq ans de prison supplémentaires. Il n’est pas autorisé à retourner dans le Finistère. Me Rajjou, avocat des parties adverses dans une affaire civile, a pris la parole au nom de la famille à la sortie du tribunal. “C’est un véritable remontant dans l’esprit. Le dernier chapitre après neuf douloureuses années d’enquête. C’est la justice qui triomphe. La famille cherchait des réponses. Elle a maintenant des aveux juridiquement contraignants à faire.

Latitia Monier, alias Lola, vient d’être condamnée à 20 ans de prison dont 10 ans de liberté surveillée. Elle a été reconnue coupable du meurtre de Jean-Jacques Le Page en 2009. La cour d’appel du Finistère vient de rendre son jugement contre Latitia Monier, alias Lola, à l’issue d’un procès de huit ans. Ce dernier a été condamné à 10 ans de surveillance stricte en plus d’une peine de 20 ans de prison.

La femme de 32 ans a été reconnue coupable du meurtre de Jean-Jacques Le Page en 2009 à Plougonvelin et de l’incendie de sa maison. William Rolland, qui était accusé des mêmes crimes, a été disculpé après avoir satisfait aux exigences du procureur général.

Bonjour, hôtesse

Ainsi, Laetitia Monier, alias Lola, était au centre de l’action. Le lieu de rencontre fréquent de la victime de 24 ans au moment de l’incident était un pub brestois appelé le “43”, où elle travaillait comme hôtesse. Les enquêteurs apprendront que les deux personnages principaux ont passé une partie de la soirée du 23 juillet ensemble. Lola a été arrêtée et détenue en prison pendant deux ans sans procès, mais elle a toujours nié avoir tué sa victime. Au moment des faits, elle a été aperçue lors d’une fête et y est restée jusqu’au petit matin suivant, plusieurs témoins oculaires se rappelant avoir vu deux couteaux dans son sac à main.

Très attristé, le neveu de Jean-Jacques Le Page a pris la parole pour la dernière fois ce matin pour transmettre les sentiments de toute une famille. Je trouve frustrant que les gens ne nous disent pas simplement la vérité. Les retombées du mensonge persistant de Latitia Monier qui, comme le souligne l’avocat du fils de la victime, Me Rajjou, “n’a jamais rien fait d’autre qu’inventer des scénarios tout au long de la procédure”.

Vers 10 heures, elle s’est présentée au box des accusés. Latitia Monier, qui a 33 ans à l’heure actuelle, est complètement dissimulée par une épaisse doudoune et un chaud manteau polaire. Il a un visage rond, des cheveux longs et des traits courts. A sa sortie de la cour d’assises de Quimper en mars 2017, elle était sensiblement plus maigre que lors de son entrée en détention à Rennes. C’est une voix très douce. Elle s’excuse parce qu’elle ne peut pas rester debout très longtemps.

Le décès inattendu d’un juge, la grossesse d’un autre et le changement de sexe d’un troisième ont tous contribué à ce délai extrêmement long. Le résultat a été que les deux spécialistes en psychiatrie qui avaient précédemment parlé de Latitia Monier, alias Lola, n’ont pas pu être présents en raison d’une maladie ou de conflits d’horaire. A la grande dame du maître Vincent Omez et Elma Kraisnik, qui défendent désormais la jeune femme.

Mais il y a aussi des avocats civils qui veulent les griller avec des demandes de renseignements. Cependant, le tribunal leur assurera que ces experts seront contactés, un en personne pour témoigner, et un autre par visioconférence. Cependant, d’autres témoins oculaires potentiels ont déjà fait savoir qu’ils ne seraient pas présents ou ne se sont pas fait connaître.

Il semblerait que Latitia Monier n’ait subi aucun changement. Me Rajjout, avocate brestoise qui intervient du côté des civils, dit : « A chaque fois, elle promet la vérité. Je n’ai aucune attente pour elle. Elle nous a donné 18 récits contradictoires de ce qui s’est passé. Elle continuera à diriger le bateau pour nous.

Vie chaotique

L’après-midi a été consacré à l’histoire de la vie de la jeune femme, née d’un professeur d’espagnol divorcé et d’un père sobre. L’histoire des deux femmes est difficile à cerner avec précision. Parfois, les dates deviennent toutes mélangées et confuses. Toute leur existence est une série de démarrages et d’arrêts. Entre Brest, l’Espagne, l’Italie et Saint-Étienne.

Latitia Mounier écoute, les yeux mi-clos, la lecture de l’ordre d’inculpation. L’épouse du président, Claire Le Bonnois, l’assaille alors de questions sur sa vie professionnelle chaotique, alimentée par l’alcool et l’héroïne. Elle crée une fausse histoire de mannequin pour son CV, puis évoque la carrière de chanteur de son père lorsqu’elle rencontre un employeur potentiel. Elle peut faire bonne figure lors d’un entretien et revenir quelques jours plus tard en sentant fortement l’alcool et en babillant de manière incohérente.

Elle s’installe à Brest en 2005 et continue sa vie chaotique, ponctuée d’actes de violence à la recherche d’argent ou de drogue. En 2006, elle commencera à travailler comme hôtesse dans différents bars de la ville. Le 46e étage, où elle a rencontré Jean-Jacques Lepage. “La plupart du temps, il faisait noir”, dit-elle dans le micro. Enivrer les clients et, si nécessaire, les masturber était mon travail. Mais sinon…

Quatre ou cinq rencontres avec la victime

Le président est perplexe quant à la raison pour laquelle les enquêteurs ont découvert tant d’enregistrements téléphoniques impliquant des clients de ces entreprises. Et d’où viennent tous ces retraits d’argent de son compte courant ? Latitia continue d’offrir des explications confuses. Il s’agit d’interactions interpersonnelles de base, pas de partenariats commerciaux. Plus tard, elle a avoué avoir rencontré la victime “quatre ou cinq” fois chez elle. Et d’autres plans pour se retrouver dans les cafés et les restaurants de toute la ville.

Affaire Laetitia Monier

Plus tard, c’est sa maman qui va au pub. Pour rendre les choses encore plus embarrassantes. S’adressant directement à sa fille, elle lui demande : « A va ? Tu m’entends quand je parle ? ». Elle dit des choses très farfelues. Quel est son métier d’hôte ? était un peu naïf. Personnellement, je voulais que tout le monde quitte Brest. Ne soyez pas si naïf… Le procès de sept jours pour le meurtre de Jean-Jacques Le Page à Quimper est terminé, et l’ancienne call-girl qui travaillait dans Brest a réintégré la cellule de la prison où elle était détenue depuis sa première condamnation en mars 2017.

En ce jeudi matin, le procureur général François Touret de Coucy est revenu s’attarder lourdement sur les éléments d’accusation. S’adressant aux juges, il a souligné : « La position de la défense ne résiste pas à l’analyse des faits. Ne le dites pas à votre mère”. et évoque l’aveux de Guillaume Rolland, acquitté par la cour des ânes de Quimper : « Latitia Monier est impulsive et sujette aux crises d’hystérie.

Le procureur général affirme en outre que dix témoins l’ont vue portant une paire de couteaux dans son sac. L’avocat général a également évoqué le fait que deux co-détenus avaient reçu des informations confidentielles. Le gouvernement a stipulé une période de sécurité de dix ans suivie de vingt ans d’incarcération dans le cadre de cette exigence.

“Quel vide”, “Quelle vie”.

Quelle vie! Ce vide ! C’est la somme totale de votre isolement. Me Omez a commencé sa plaidoirie par ces mots. Il s’est ensuite tourné vers le procureur général et a dit : « Les accusations que vous portez, vous devez les transformer en preuves. Pour le procureur de Quimper qui est persuadé qu’une troisième personne a été interpellée cette nuit-là, les zones d’ombre sont encore nombreuses. Tout comme trouver un brin d’ADN masculin sur un disjoncteur. Elle n’appartient à aucun des pompiers qui ont répondu à l’incendie de la maison.

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