Pere Qui Tue Ses 3 Enfants – Dans le Val-de-Marne, un père connu des autorités assassine ses trois enfants. Assassiné dans un appartement d’Alfortville (Val-de-Marne), Younes E., 41 ans, était père de trois jeunes enfants. Aucun progrès n’a été enregistré dans la localisation de la mère des victimes.
Effroyable catastrophe. Le commissariat de Seine-Maritime à Dieppe a reçu la visite d’un homme de 41 ans, dimanche 26 novembre. Avouant le meurtre de ses trois enfants dans un appartement d’Alfortville (Val-de-Marne), il l’a fait seul. Selon Le Figaro, le coupable a été immédiatement interpellé par le tribunal.
Vers 14h30, les forces de l’ordre sont arrivées sur les lieux du crime. La police a forcé la porte fermée d’un appartement d’Alfortville et a retrouvé les trois enfants morts à l’intérieur. Quelques-uns d’entre eux étaient emmitouflés dans des couvertures. Saggy, sur un canapé, gisait la troisième victime. Deux des enfants auraient été poignardés à mort.
Il y a eu une augmentation de 41 % de la violence domestique !
Le Figaro rapporte que le suspect, Younes E., a des antécédents de crimes violents contre des membres du même foyer ainsi que des victimes de moins de quinze ans. Les autorités recherchent toujours la mère des trois enfants. À ce moment-là, elle aurait eu 36 ans. Le parquet de Créteil a été chargé de terminer le dossier.
Tragiquement, cet incident se produit à une époque où la violence domestique est en augmentation. Un rapport officiel du ministère de l’Intérieur, rapporté par La Gazette des communes, prévient que cet indicateur de délinquance a augmenté de 41% depuis l’alerte au coronavirus. En hausse de seulement 25 % en 2018.
Dans le Val-de-Provence, un père a reconnu avoir tué ses trois jeunes filles.Martin : ce que l’on sait
Le père, déjà fiché pour violences conjugales, s’est présenté le 26 novembre devant la police de Dieppe (Seine-Maritime) pour avouer le meurtre de ses enfants. Les corps des enfants ont été retrouvés à Alfortville (Val-de-Marne), ville natale de l’homme, selon une source policière, et le parquet de Créteil a été confirmé par l’AFP.
L’individu contacte les forces de l’ordre.
Un incident s’est produit à Dieppe, en Seine-Maritime, dimanche vers 14 heures. lorsqu’un homme d’une quarantaine d’années s’est présenté au commissariat. Il veut vraiment se responsabiliser. À son domicile d’Alfortville, dans le Val-de-Marne, à quelque 200 kilomètres de là, il a avoué devant la police les meurtres de ses trois petites filles. Le procureur de la République a indiqué que le père avait avoué « avoir tué ses trois enfants ».
Trouve trois corps chez son père
Juste après ces aveux, la police d’Alfortville a été prévenue. Le Figaro et Le Parisien affirment qu’une demi-heure plus tard, vers 14h30, ils sont entrés de force dans la résidence du père, située au bord de la Seine.
Ils y ont retrouvé les corps de trois jeunes filles. “La mort de trois petites filles” a été confirmée par le parquet de Créteil. Les âges variaient de quatre à onze ans. Quelqu’un au sein de la police a déclaré que les rapports préliminaires indiquent que deux des victimes ont été poignardées à mort. A côté des cadavres gisait une couverture. Selon l’AFP, le troisième enfant décédé a été retrouvé allongé sur un canapé.
Malheureusement, l’homme avait des antécédents d’incidents violents à la maison.
Le père, né en 1982, avait des antécédents de condamnations pour violences conjugales et crimes contre des mineurs, selon l’AFP. Au total, 18 mois de prison, dont 12 mois avec sursis, ont été prononcés contre lui en avril 2021, pour « violences conjugales aggravées », selon le parquet.
Les accusations portées contre lui comprenaient des voies de fait conjugales impliquant l’utilisation d’un bâton, une période d’incapacité de travail d’au plus huit jours et des violences conjugales en présence d’un jeune.
et voies de fait sans incapacité par un adulte sur un enfant de moins de quinze ans, comme l’a encore expliqué le parquet dans un communiqué. Mars 2021 est le mois au cours duquel les atrocités signalées ont eu lieu. “La sentence avait été exécutée et depuis le 28 août, elle n’était plus suivie”, a expliqué le procureur de la République.
Le parquet note que l’homme avait également fait l’objet d’une enquête pour « viol par conjoint », qui a été « classée sans suite pour délit insuffisamment qualifié le 5 juillet 2021 ».
Pompiers et policiers ont été horrifiés dimanche en pénétrant dans la petite résidence du quai Jean-Baptiste-Clément à Alfortville. Le père de famille s’est présenté en début d’après-midi au commissariat de Dieppe, en Seine-Maritime, pour reconnaître avoir tué ses trois enfants dans leur appartement du Val-de-Marne, à 200 kilomètres de là.
Malgré le déploiement rapide des policiers, dès leur entrée dans la maison fermée à clé, ils n’ont pu que confirmer le décès des trois enfants. Au rez-de-chaussée se trouve un petit cottage avec vue sur la Seine ; les marcheurs du dimanche d’aujourd’hui l’ont vu en larmes.
Une horrible mutilation des deux plus jeunes
Le parquet de Créteil a indiqué que l’enquête ne faisait que commencer, mais un constat préliminaire Les informations indiquent que les trois enfants, âgés de onze, dix et cinq ans, ont été retrouvés dans la maison, l’un allongé sur le canapé et les deux autres enterrés sous des couvertures.
Les mutilations sur les restes des deux plus jeunes étaient horribles. Il n’y avait aucun signe de blessure par arme blanche sur la victime la plus âgée, alors les pompiers espéraient pouvoir lui sauver la vie. Totalement inutile.
Les traces de son cou indiquent que l’étranglement est la cause du décès ; l’autopsie le vérifiera. Pour faire face à cette catastrophe, une cellule de crise sera ouverte ce soir par la mairie d’Alfortville.
Dimanche après-midi, de nombreux effectifs ont été déployés, dont un représentant du parquet de Créteil. Le récit complet de la catastrophe reste pour nous un mystère. L’homme qui a revendiqué la paternité des enfants est cependant connu des forces de l’ordre ; il s’appelle Younes et il est né au Maroc il y a 41 ans.
A déjà été condamné pour actes de violence contre des enfants
Le tribunal de Créteil l’a reconnu coupable, le 29 avril 2021, de “violences sur conjoint en présence d’un mineur suivies d’une incapacité n’excédant pas huit jours”, comme l’explique le parquet. Conduite réalisée avec recours à la force physique.
De plus, il a été reconnu coupable d’agression contre un mineur (défini comme une personne de moins de quinze ans) sans incapacité. Un an de sa peine a été suspendu avec sursis, ce qui porte sa peine totale de prison à dix-huit mois.
L’aspect le plus pénible de cette condamnation nécessitait l’utilisation d’un bracelet électronique. Son accusation de viol conjugal a été abandonnée en juillet 2021 en raison d’un « délit insuffisamment caractérisé », mais il faisait également l’objet d’une enquête pour cela. Nous disposons de preuves indiquant que l’ordonnance de protection de la mère a pris fin au printemps 2023.
Ce n’est que très récemment qu’il a retrouvé la capacité légale de garder ses enfants. Comment aurait-il pu aller à Dieppe après avoir commis l’irréparable ? La police pense qu’il a considéré les falaises comme une option potentielle de suicide, mais a finalement décidé de ne pas le faire.
“Je ne crois toujours pas qu’ils soient morts”.
Les habitants de Marolles-en-Brie (Val-de-Marne), où résidaient les filles avec leur mère et où le couple avait vécu avant leur séparation, se souviennent encore très bien de ces horribles événements. Un de ses voisins se confie à lui : “Il était bizarre”.
Parfois, il consommait de l’alcool. À plusieurs reprises, les forces de l’ordre étaient arrivées. Alors que la mère de famille de 36 ans passe devant le domicile de Samira, la jeune femme réfléchit : “J’ai revu les filles la semaine dernière, un soir, Face à l’entrée principale de la petite demeure où résidaient les trois jeunes, un parapluie rose orné de licornes pend à une poubelle jaune.
Tandis qu’un autre local murmure : « Nous sommes choqués ». Dimanche après-midi, la police est arrivée à la rencontre de Samira et l’a transportée au commissariat. La scolarité des trois enfants a lieu à Marolles-en-Brie.
Selon le maire Alphonse Boye, qui s’est entretenu avec Le Parisien, une cellule d’accueil psychologique sera mise en place dès lundi matin à l’école de Buissons pour accueillir les enfants qui fréquentent l’école. L’école est située directement derrière le lotissement où résidait la famille.
“Des cellules d’écoute psychologique seront évidemment déployées (dans sa commune) à partir de ce lundi matin après cet horrible drame familial”, a déclaré plus tôt dans la journée le maire d’Alfortville Luc Carvounas (PS), la voix étranglée par le chagrin.
L’édile a ajouté dans un communiqué : “Cette terrible tragédie nous rappelle l’urgence de lutter encore plus volontairement contre les violences conjugales, de renforcer la protection des victimes et de protéger davantage nos enfants.” Embrassez le chagrin sans bornes qui a englouti Alfortville ce soir.
À Dieppe, en Normandie, l’homme de 41 ans s’est présenté seul au commissariat. Dimanche 26 novembre, il a été interpellé par les autorités suite à la découverte des corps de ses trois enfants à Alfortville. Les filles avaient 5, 10 et 11 ans.
La triste révélation est survenue après que le père se soit rendu au commissariat de Dieppe, en Normandie. A proximité, à Alfortville, dans le Val-de-Marne, trois corps sans vie d’enfants ont été découverts dans une copropriété fermée à clé, à environ 200 kilomètres de là.
L’Écho de Le Figaro précise que l’homme de 41 ans a été interpellé par les autorités dimanche 26 novembre.
Lorsque les policiers ont tenté de forcer la porte, celle-ci a été refusée.
Pour confirmer les dires de l’homme, des policiers se sont rendus à son appartement d’Alfortville suite à ses aveux. Selon RTL, ils ont dû recourir à la force pour accéder et ont trouvé trois jeunes femmes âgées de 5, 10 et 11 ans.
L’équipe du Figaro confirme que deux jeunes ont été tués à coups de couteau ; la cause du décès de la troisième victime est encore inconnue.
Le désir d’une mère
Elle a disparu et la mère des trois enfants, âgée de 36 ans, est recherchée. Selon l’homme, il n’a aucune idée de l’endroit où se trouve actuellement la mère de ses enfants. Les violences domestiques et les actes de violence contre ses enfants ont mis le père sur le devant de la scène. Des nouvelles du Parisien précise qu’il a divorcé de sa femme et de ses filles après sa condamnation en 2021.
Son procureur a déclaré : “La peine a été exécutée et depuis le 28 août, il n’est plus suivi”. Il faisait également l’objet d’une enquête pour « viol par conjoint », qui a été « classé sans suite pour délit insuffisamment caractérisé le 5 juillet 2021 », comme l’a précisé le parquet.
Une cellule de crise en milieu scolaire
La police judiciaire (PJ) du Val-de-Marne a été chargée de mener l’enquête. Afin d’apporter plus de précisions sur l’évolution de l’enquête, le procureur de la République de Créteil, Stéphane Hardouin, participera à une conférence de presse lundi en fin de matinée.
Luc Carvounas, le maire PS d’Alfortville, a évoqué “une commune endeuillée” et compte mettre en place une cellule de crise dans les écoles fréquentées par les filles, sans toutefois pouvoir confirmer ou infirmer si les filles de sa commune ont reçu ou non une bonne éducation.