Louki Geronimo Richou Parents – Avez-vous des projets pour l’avenir ? L’écriture est l’un de mes principaux centres d’intérêt. J’aimerais voir ma poésie et ma prose imprimées et continuer à écrire. Pourquoi ne pas écrire des morceaux plus longs un jour, que ce soit comme passe-temps ou contre rémunération ? Quant à mes objectifs professionnels, j’espère un jour pouvoir allier mon amour de l’écriture à mon travail. avoir une sorte de “titre de poste fantaisiste”, ou au moins une partie de mon travail qui se rapporte à des titres de poste fantaisistes.
Dans un avenir proche, j’espère rester conseiller politique, un rôle pour lequel je suis prêt à consacrer plus d’heures et à traiter des niveaux de stress plus élevés et des sujets plus importants. Et puis j’aimerais continuer à travailler avec les élus sans m’engager dans un parti politique. Tout ce que je veux, c’est continuer à faire ce que j’aime : conseiller les élus au niveau national et contribuer à l’élaboration de politiques publiques intelligentes pour l’avenir.
Quelles suggestions avez-vous pour les jeunes qui se demandent où ils veulent aller dans la vie ?
Vous devez, comme moi, garder l’esprit ouvert et vous intéresser aux activités de vos amis et connaissances. Si cela semble être quelque chose que nous pourrions apprécier, cela vaut la peine de passer un peu plus de temps à documenter. Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de rechercher un horaire régulier avant d’entrer en fonction politique pour la première fois.
C’est dur ici, dans cet environnement. Ensuite, à mon avis, vous devez avoir un véritable intérêt pour l’écrit et l’oral, ainsi que pour la politique et les événements mondiaux. Pour être totalement transparent, je lis très peu l’actualité. Je pense qu’il est crucial d’avoir une curiosité intellectuelle insatiable, une large perspective et un véritable intérêt pour tout ce qui touche à la condition humaine (émotionnelle comme logique).
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Après que la police a effectué deux perquisitions à son domicile et à son bureau au Sénat le 8 juin dernier, Louki-Géronimo Richou, alors âgé de 26 ans, Le Parisien rapporte que six victimes ont été identifiées par la police après qu’une première plainte a été déposée en novembre 2022. Les victimes accusent un membre du personnel de la sénatrice Nicole Duranton (Renaissance) d’agressions sexuelles et physiques.
Selon nos confrères parisiens, les victimes ont affirmé avoir été filmées alors qu’elles étaient contraintes de se livrer à des pratiques “sexuellement brutales” lors de relations “emprise”. Ils ont également affirmé avoir été retenus captifs dans l’appartement de Louki-Géronimo Richou. L’un d’eux affirme avoir vu un assistant législatif transmettre de sang-froid une maladie sexuellement transmissible.
Louki-Géronimo Richou, natif de la Haute-Vienne et ancien élève de Sciences-Po où il continue d’enseigner aujourd’hui, était chargé de diverses tâches, dont la préparation des discours, pour les sénatrices devant lesquelles il présidait. Selon Le Parisien, son enseignement à Sciences-Po Paris va être révoqué par l’administration. Selon ses profils en ligne, Louki-Géronimo Richou a travaillé comme archiviste au Centre de la mémoire d’Oradour-sur-Glane et, plus récemment, a cofondé le Collectif pour la mobilité électrique pour défendre les droits des conducteurs de trottinettes électriques. .
En outre, il a été président de l’association Association De la Haute-Vienne aux Grandes Écoles, dont la mission est de “renforcer l’égalité des chances et favoriser le développement économique” dans les régions de la Haute-Vienne en fédérant étudiants et diplômés pour parvenir à l’égalité d’accès. aux établissements d’enseignement les plus prestigieux de la région. Ce dernier a assuré à Factuel qu’il avait révoqué la présidence de Louki-Géronimo Richou.
Le mari de Zain Asher, Steve Peoples, porte ce nom. En avril 2016, les deux se sont fiancés. L’heureux événement s’est produit pendant les vacances. Que ce soit pendant le trajet ou à son retour, Steve a fait un geste touchant. Le Portugal était le lieu de la cérémonie. Lire Dougherty, maintenant âgée de 40 ans, et son mari Josh avaient tenté d’avoir un enfant pendant longtemps sans succès, faisant 11 fausses couches au cours du processus. Ils ont adopté Alex en 2011, puis ont découvert six jours plus tard qu’ils attendaient leur première fille biologique, Zoey.
ENTRETIEN EXCLUSIF – Coralie*, la trentenaire, a accepté de s’exprimer sur les agressions dont elle accuse Louki-Géronimo Richou, l’assistant de la sénatrice Nicole Duranton (Renaissance), placé en confinement visible pour viols, séquestrations, et violences. Elle le qualifie d’« homme hyperviolent et tortueux ».
CORALIE.
C’est à Sciences-Po que nous nous sommes rencontrés pour la première fois. Je l’ai vue plusieurs fois en 2019, mais nous ne sortions pas ensemble à l’époque. Cet homme n’a pas de frontières et se retrouve partout, des institutions académiques les plus prestigieuses aux plus hauts niveaux de gouvernement. Je ne suis qu’une des nombreuses personnes qui ressentent cela.
Louki nous parle de son travail d’assistant législatif, où il parvient à combiner son amour de l’écriture avec son intérêt pour les gens en servant aux côtés des élus. À ce titre, il offre des conseils aux jeunes intéressés à entrer dans l’arène politique. Enfin, il n’est pas rare qu’un de nos proches soit déjà engagé dans le type de travail qui nous intéresse, même si nous ne l’avons pas entendu le mentionner spécifiquement. Pour élargir sa sphère professionnelle, conseille-t-il, il ne faut pas hésiter à interroger ses amis sur leur carrière et leurs activités.
Voulez-vous vous présenter?
Je m’appelle Louki-Géronimo Richou et j’ai 23 ans. Depuis un an et demi, je travaille comme assistante législative de la sénatrice normande Nicole Duranton. Avant cela, j’ai fait la même chose pour un autre sénateur qui a été élu avec le soutien de la communauté française des expatriés.
À quelle ligne de travail appartenez-vous?
Donc, je suis un travailleur électoral de métier. Le premier devoir est logistique et comprend la supervision de l’horaire, des rendez-vous et du style de communication et de prise de parole en public de l’élu. Rester en contact avec les ambassades, les syndicats et les autres acteurs de la société civile nécessite de mettre en place des événements comme des repas et des visites.
Le deuxième objectif législatif est d’accroître sa présence dans les commissions compétentes et dans les audiences publiques. Cependant, il y a aussi la rédaction d’amendements, l’examen et la révision des textes présentés des propositions législatives. Chaque texte que j’écris doit être adapté aux préférences de ma sénatrice.
Cela présuppose une solide connaissance de ses points de vue sur les questions à traiter. Je suis également sa porte-parole, écrivant à la fois ses discours parlementaires et les discours plus formels qu’elle prononce lors d’événements organisés par la délégation aux droits des femmes, dont elle fait partie. Les opérations quotidiennes du travail peuvent changer radicalement d’une élection à l’autre. Il faut sans cesse asseoir son identité, se conformer aux normes établies et pousser l’innovation, notamment dans le domaine numérique.
Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre travail ?
Ce qui m’attire vraiment, c’est le large éventail de missions disponibles, dont certaines semblent vraiment improbables. Participer au processus électif est gratifiant pour moi. Je ne recherche pas de stabilité d’emploi pour le moment, alors s’il vous plaît, ne m’envoyez pas de liens vers des concours. Ce que j’aime, c’est l’aventure politique. Quand j’écris sur une certaine personne, je dois écrire avec sa voix.
Après tout, il est indéniable qu’il s’agit d’un métier exigeant sur le plan relationnel, avec de nombreuses interactions sociales et relations professionnelles qui peuvent parfois interférer avec la vie privée. C’est le genre de travail qui peut causer un stress mental important. Il est difficile de se déconnecter complètement de la vie professionnelle. Il est important de garder plusieurs choses à l’esprit et de se tenir constamment au courant de l’actualité. Une partie de son travail acharné est toujours ramenée à la maison avec un.
Alors, comment avez-vous réussi à rater cette opportunité ?
J’avais supposé qu’il serait difficile de trouver un emploi une fois diplômé. Je ne connaissais pas le travail d’un assistant parlementaire. Je pensais que seuls les alliés politiques les plus proches pouvaient avoir un rôle aussi exclusif. J’ai envoyé mon curriculum vitae à un certain nombre de législateurs et j’ai obtenu deux réponses. J’ai passé un premier entretien et ça s’est bien passé. J’ai donc commencé à collaborer avec ce premier finaliste.
Je savais que quelqu’un laisserait le deuxième poste ouvert. Pour le premier poste, il est utile d’avoir fréquenté un collège ou une université prestigieux, mais pour le second, l’électorat est moins préoccupé par les diplômes universitaires et plus intéressé par les efforts que vous avez déployés pour arriver là où vous êtes. Elle a évalué ma maîtrise des applications numériques et ma capacité à générer des textes parlementaires. Mon expérience professionnelle antérieure dans le domaine législatif a été le facteur décisif dans mon embauche.
Qu’avez-vous fait une fois que vous avez obtenu votre diplôme d’études secondaires?
Après le bac, j’ai postulé à Sciences Po et j’ai été accepté sur le champ. J’ai passé ma première année sur le campus de Poitiers, où j’ai suivi un cursus centré sur l’Amérique Latine et j’ai été entouré à 70% d’étudiants internationaux. Après avoir passé ma troisième année en tant qu’étudiant Erasmus à Canterbury, en Angleterre, j’ai déménagé à Paris pour commencer un programme de Master en administration publique.