Abnousse Shalmani Son Mari

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Abnousse Shalmani Son Mari – Abnousse Shalmani s’est réfugiée à Paris avec sa famille en 1985 après être née à Téhéran en 1977. Elle a commencé par des études d’histoire, puis s’est orientée vers le journalisme, la réalisation et la production de courts métrages, puis est revenue à ses premières amours : la littérature. “Khomeiny, Sade et moi” est son premier livre.

“Une femme engagée, l’écrivain Abnousse Shalmani” est un grand entretien. 9 février 2022 Conversation avec Abnousse Shalmani entrecoupée de lectures de son plus récent roman, Les exilés meurent aussi d’amour (traduit en tchèque par des étudiants en traduction de l’Université Charles)). Abnousse Shalmani, intellectuelle et féministe iranienne, donne une tape sur la tête de l’Iran alors que la liberté s’échappe du pays.

Parfois, les rencontres prennent des directions inattendues et s’enrichissent au passage. Dans un entretien avec Abnousse Shalmani, le sujet de la crise iranienne – son pays d’origine est en proie à la rébellion depuis la mort de la jeune Kurde Masha Amini le 16 septembre 2022 – a basculé rapidement vers le nouveau féminisme français, les jardins du Palais- Royal sous le règne de Philippe d’Orléans et des philosophes des Lumières, et enfin aux passages de l’Olympe de Gouges et Elizabeth Badinter, Salman Rushdie et Martin Eden de Jack London.

Vous êtes loin des Gardiens de la révolution de Téhéran, dirigez-vous. Un acte répréhensible. Car même si elle emprunte des chemins détournés, la pensée agile et joyeuse de cette intellectuelle reste cohérente, guidée par des convictions au goût de liberté irréductible.

Abnousse Shalmani est un écrivain et journaliste français. En tant que journaliste, Shalmani a commencé sa carrière. Elle contribue à plusieurs médias français, dont France Culture et France Inter. Elle a également écrit pour d’autres magazines et journaux, dont Elle, Le Monde et Libération.

Avec Peggy Sastre, Shalmani est l’auteur d’une lettre ouverte critiquant #MeToo qui a été adressée au principal journal français, Le Monde, et signée par plus d’une centaine de Français célèbres. Une partie de la lettre laissait entendre que « inhérente à la liberté sexuelle » était la « liberté de s’inquiéter », ou le droit d’un homme d’avoir une liaison avec une femme, aussi maladroite soit-elle.

Membrane familiale : parents, frères et sœurs

Dans les années 1970, son père possédait un laboratoire de chimie à Téhéran et sa mère était secrétaire. Ils sont d’origine musulmane, ont une sensibilité laïque et soutiennent la résistance communiste à la monarchie.

Abnousse Shalmani et ses parents ont fui l’Iran pour la France en 1985, fuyant le régime de Khomeini. Elle est devenue journaliste après avoir obtenu son diplôme d’histoire. Sur des sujets tels que la condition des femmes en Iran et le port de Versailles en France, elle a réalisé des courts métrages, participé à des émissions de télévision et animé des débats.

Dans ses écrits, Shalmani s’est fait un nom en abordant les questions de genre, de politique et d’identité. En 2009, paraît son premier roman, « Les exilés meurent aussi d’amour ». De plus, cette femme a reçu le Prix du Premier Roman du ministère français de la Culture.

En 2014, elle publie un livre sous le titre Khomeyni, Sade et moi dans lequel elle raconte son enfance en jouant avec les corneilles (les gardes des mœurs, tous vêtus de noir) du patron noir et blanc (titre qu’elle donne à Khomeini) et sa honte de retrouver des femmes esclaves en France, membres de la milice islamique contre laquelle elle s’est battue dans son pays d’origine avant de devoir fuir.

Les droits des femmes sont également vigoureusement défendus par Shalmani. De plus, elle s’est prononcée contre la persécution des femmes en Iran et ailleurs. Elle commente fréquemment à la télévision française et a participé à de nombreux débats publics sur les questions féminines.

La controverse a entouré le travail de plaidoyer de Shalmani. En France et à l’étranger, elle a été victime de menaces et de harcèlement en raison de ses opinions tranchées sur les droits des femmes et de ses critiques à l’égard de l’islam.

Shalmani a persisté à se démarquer des communautés marginalisées et des femmes malgré ces défis. Ses contributions à la culture et à la société françaises étaient très appréciées. Elle a reçu le Prix Simone de Beauvoir pour la libération des femmes en 2019. C’est un privilège d’honorer celles qui ont apporté une contribution significative à l’avancement des droits des femmes.

Les questions sociales et politiques notables sur lesquelles elle a travaillé en tant que journaliste, écrivain et activiste ont ainsi reçu davantage d’attention. De plus, cette belle femme a motivé d’autres à se joindre à la cause civile et égalitaire. De manière générale, Abnousse Shalmani est une figure respectée des médias et de la littérature française, connue pour son esprit vif et son plaidoyer en faveur de la justice sociale.

Abnousse Shalmani est un écrivain et journaliste d’origine iranienne. Après avoir fui le régime iranien avec sa famille, elle s’installe à Paris en 1985. Chez Grasset, Khomeiny, Sade et moi, Eloge du métèque et Les exilés meurent aussi d’amour, elle publie trois ouvrages marquants. Depuis janvier 2021, elle couvre les faits de société avec un regard incisif pour L’Express.

Abnousse Shalmani Son Mari

La divine épouse de Judith Sibony : Élisabeth, grande actrice, affiche sa beauté à toute épreuve malgré le temps qui passe. Son mari, qui lui fait également office de régisseur, collectionne les maîtresses. Mais on dirait qu’elle s’en fiche. Même leur fille unique en son genre, qui tient ses parents dans la plus haute estime, ne peut pas en dire autant.

La naïveté n’est pas toujours là où on se glisse, et l’illusion réserve bien des surprises dans la vie comme sur scène. En suivant les traces de la femme trahie et de la mère désireuse, Judith Sibony évolue entre les domaines de la création théâtrale et du prototypage médical. Dans tous les univers, les protagonistes sont confrontés au même hantise : la peur de perdre la vie.

L’amour d’Abnousse Shalmani pour sa mère était une qualité magique que partageaient les exilés : « Ma mère était une créature fantastique qui possédait le don de rendre beau ce qui était posé ». Je lui avais transformé en alchimiste grâce à la grâce de la langue française. Les mots de l’élixir étaient destinés à cela : combattre le réel et sauver ce qui restait de la magie de l’enfance.

Une Zazie persane qui préfère suivre la voie que son désir lui dicte plutôt que céder aux sentiments nostalgiques nous plonge dans le coeur d’une communauté fantastique dans ce roman teinté de réalisme magique. L’ex-garçon ne serait-il pas heureux ?

Absalom Shalmani Après la Révolution islamique de 1985, Abnousse Shalmani et sa famille ont fui Téhéran, où elle est née en 1977, pour Paris. Elle a signé son deuxième roman cette année. Cette féministe, pro-sexe, corédactrice de la tribune Deneuve, chérit les libertés démocratiques ; elle est née à Téhéran et déteste les mollahs.

Critique de cinéma précoce et romancier en herbe, cet esprit captivé par les libertins du XVIIIe siècle est un réfractaire antichrétien brisé, doublement atteint d’un désordre moral. Abnousse Shalmani, une femme de 40 ans, vient de couronner la commission de la Cour suprême sur l’égalité des sexes.

En retour, elle s’est emparée d’un fouet en bois vert qui l’a réprimandée plus qu’elle ne l’avait prévu, notamment lorsque les militants l’ont exhortée à être violente pour qu’elle comprenne leur douleur. Ceci concerne Mme. de Saint-Ange, le personnage de son bien-aimé marquis de Sade, et peut résumer ses thèses les plus largement acceptées : Votre corps est à votre disposition, et le vôtre seul.

Personne d’autre sur cette planète n’a le droit d’en profiter ou de vous faire en profiter, aussi bon que cela vous semble. Elle met les chats patriarcaux et matriarcaux dans le même sac pour attraper une saumure. Et pour détendre l’atmosphère, elle vante sa joie d’être libre de toute mission : “Je suis un individu avant d’appartenir à un sexe ou d’être née à Téhéran.”

Consacré aux Lumières

L’auteure d’origine iranienne de “Khomeiny, Sade et moi” raconte comment la littérature libertine du XVIIIe siècle lui a fourni les outils de son émancipation alors qu’elle vivait en exil à Paris.Cliquez sur les icônes de partage situés à droite et haut de chaque article pour les partager.

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Un certain nombre d’enfants sont nés d’Abnousse Shalmani. La première a eu lieu à Téhéran en avril 1977. La deuxième, en 1983, alors qu’elle était une petite fille vivant sous l’Iran de Khomeyni, elle refusait de porter le voile à l’école, se déshabillait et traversait souvent le tribunal en jupe-culotte ou même en jupe-culotte.

“cul nu” au fur et à mesure. “Et enfin, dit-elle, qu’est-ce qu’il y a de si désagréable chez moi pour que tu veuilles me retrouver ?” Que possoi-je ici ? Sa troisième naissance a eu lieu “en foulant le sol français” en 1985, alors que sa famille fuyait. régime iranien pour me réfugier en France. La quatrième, à vingt ans, c’est lorsque je découvre « la littérature libértine du XVIIIe siècle français », où la raison libère joyeusement les esprits et les corps, tandis que les corps accompagnent et permettent l’avènement du monde.

Lumières, révélant leur charge politique et leur portée révolutionnaire. Sans trop craindre l’interruption, on pourrait ajouter qu’Abnousse Shalmani est né une cinquième fois comme auteur, avec Khomeiny, Sade et moi, un récit actuel de son enfance iranienne à sa vie parisienne d’aujourd’hui. , dont les enjeux psychologiques, sociaux et politiques autour du corps féminin lui servent de fil conducteur. Son apparition est imminente.

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