Boite Noire Mathieu Est Il Mort – Quelques minutes auparavant, après une séquence de transit inversé savamment organisée qui nous a conduit du cockpit au salon, nous avons aperçu un passager qui, malgré les efforts de l’hôtesse, a décidé de s’éloigner. Le commandant de bord a averti les passagers de rester assis avec leur ceinture de sécurité attachée alors que l’avion descendait dans une zone connue pour ses vents violents.
Le Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile effectue des recherches. Victor Pollock (Olivier Rabourdin) donne le feu vert au jeune et (peut-être aussi) méticuleux employé Mathieu Vasseur (Pierre Niney). Alors que les premiers tests sont effectués sur la boîte noire, Matthieu ne peut que regarder, impuissant.
Mais lorsque Pollock disparaît sans laisser de trace, André Dussollier, directeur du BEA, demande à Mathieu de compléter le rapport et de le retraduire. Les bruits d’une lutte et un cri de « Allah Akbar » sont parmi les nombreux que Matthieu, qui possède une oreille sonore remarquable, est capable de distinguer. La première conclusion qui a mis les choses en mouvement est que l’accident était l’œuvre d’un loup solitaire et radicalisé agissant comme un terroriste.
Les doutes commencent à inquiéter Matthieu lorsqu’il découvre qu’un passager a laissé un message à son mari quatre minutes après l’heure officielle de la catastrophe. L’absence de Pollock a été le dernier clou du cercueil.
Après la rencontre de Pierre Niney avec Yann Gozlan, décrit comme « l’homme idéal pour ce refroidisseur américanisé », l’intrigue s’est épaissie. Semblable à son rôle dans le premier film, Niney incarne un personnage vraiment inintéressant dont le handicap finit par être à la fois un handicap et un atout.
Alors que le conflit d’intérêts de son protagoniste atteint son paroxysme et qu’il se retrouve confronté à tout le monde, même à sa femme (Lou de Laâge), il expérimente une grande variété d’expressions émotionnelles.
On se demande si le véritable sonneur d’alarme du film, qui a choisi un jeu de piste tortueux et aléatoire, révélera un jour la vérité, car ce qui conduit Vasseur sur la piste de la vérité est si évidemment un hasard. Bien que tous les acteurs principaux soient crédibles, l’ensemble de soutien est laissé de côté.
Ce thriller surmené présente des rebondissements gênants et une sensation fatiguée et conspiratrice. Le thriller à intrigue lourde et boîte noire Gozlan, De Yann Scénario Nic Bouvet, Yann Gozlan, Jérémie Guez et Simon Moutairou en sont les auteurs. Un groupe composé de Pierre Niney, Lou de Laâge, André Dussollier et Olivier Rabourdin,… Durée 2h09.
Suite à une catastrophe aérienne, un enquêteur est chargé d’analyser la boîte noire pour déterminer ce qui n’a pas fonctionné. La recherche de la vérité va s’avérer difficile pour le détective que nous allons suivre en raison d’incohérences, de disparitions inquiétantes et de théories du complot.
La conception sonore du film est particulièrement impressionnante ; Difficile de ne pas penser au Chant du Loup. Le montage sonore aide à planter le décor et à rendre des événements spécifiques limpides, et l’atmosphère sonore globale est très bien réalisée.
Ensuite, les graphismes du film sont vraiment bien réalisés ; il y a de nombreux éléments imaginatifs, comme la séquence d’ouverture se déroulant dans un avion et le moment où l’enquêteur, interprété par Pierre Niney, se projette dans l’avion.
Le film gère bien ses moments de tension et dépeint efficacement la paranoïa du personnage principal et sa descente occasionnelle dans l’obsession. Il n’y a que quelques cas où j’ai l’impression que les gens ne comprennent pas vraiment ce qui se passe ; par exemple, lorsque j’ai vu la dashcam pour la première fois, j’ai supposé qu’elle suivait une autre voiture et non celle de mon collègue.
Le concept est intéressant, mais j’ai été déçu par la manière simpliste de sa mise en scène ; il n’a rien fait d’unique avec le genre du thriller et a plutôt suivi la formule éprouvée. De plus, le point culminant et le dénouement du film étaient beaucoup trop longs. Cependant, l’enquête est agréable à suivre, parvient à nous surprendre malgré nos attentes, et le résultat est un bon mystère avec une tension satisfaisante.
Le point culminant de Boîte Noire est plein de suspense. Après que Mathieu ait découvert la vérité sur la manipulation des boîtes noires, il met l’enregistrement en ligne juste avant que lui et un autre homme ne soient pourchassés. Les autorités pensent que le piratage du système électrique a entraîné sa mort dans un accident de voiture.
Parallèlement, Noémie diffuse l’enregistrement de la confession de Victor Pollock, qui révèle la fabrication des boîtes noires, au Salon aéronautique du Bourget, où Xavier Renaud fait une présentation publique. La conclusion tragique et éclairante du film est problématique à sa manière.
Lorsque le personnage principal, Mathieu, découvre la vérité sur la falsification des boîtes noires, il se retrouve dans une situation périlleuse. Bien qu’il n’y ait aucune discussion explicite sur le dilemme moral auquel Mathieu est confronté avant sa mort, le film dans son ensemble suggère une tension entre la recherche de la vérité et les risques inhérents à la divulgation de secrets puissants et dangereux.
La mort prématurée de Mathieu suscite des inquiétudes quant aux coûts qu’entraînerait la résistance à la corruption et aux fortes influences. Le film se termine en mettant l’accent sur des questions telles que l’honnêteté, la responsabilité des entreprises et les défis moraux auxquels sont confrontés ceux qui trouvent des vérités inconfortables.
Elle soulève également des questions d’éthique dans le secteur aérospatial et de la valeur de la vie humaine par rapport à la recherche du profit.
Une revue AlloCiné qualifie “Boîte Noire” de meilleur thriller de l’année, louant à la fois l’histoire (qui tourne autour d’un enquêteur du BEA) et les techniques d’enquête utilisées. Même si la longueur du film a été critiquée, le public a dans l’ensemble trouvé l’expérience intéressante et satisfaisante.
Un autre critique fait l’éloge du film, complimentant l’écriture et la performance de Pierre Niney, pour sa nouvelle approche de thèmes familiers comme l’IA et la technologie. Cette critique fait également l’éloge du jeu des acteurs et du dévouement du film aux thèmes modernes.
L’absorption du roman dans la ligne de travail du BEA et sa montée constante vers un véritable thriller paranoïaque sont salués dans une autre critique, qui le considère comme un « thriller haletant » et réussi. Le rythme constant, l’exécution soignée et le jeu d’acteur subtil sont également salués.
Un membre du public s’émerveille devant l’image, louant l’excellente exécution, le timing et le casting par rapport aux thrillers américains. fait l’éloge de l’histoire captivante du film et de la performance exceptionnelle de Pierre Niney.CONCLUSION
Le roman Boîte Noire se termine sur une note dramatique et instructive, révélant les difficultés et les dangers de trouver la vérité dans un monde où les autorités corrompues peuvent déformer la vision de la réalité. La tragédie de la détention de Mathieu et Xavier Renaud met en lumière les dilemmes moraux et les risques associés à la révélation de pratiques malhonnêtes.
La qualité exceptionnelle du film se reflète dans les critiques extrêmement bonnes, qui complimentent son intrigue captivante, ses aspects techniques exquis et le jeu exceptionnel de ses acteurs (en particulier Pierre Niney). Le 19 novembre à 21h10 UTC, France 2 projettera Boîte noire. Un film plein de suspense, au rythme équilibré, réalisé par Pierre Niney, qui suit les preuves d’un crash non résolu.
Si les films s’inspirent toujours du monde réel, il y aura toujours des moments où les deux mondes entreront en collision. Le 8 septembre 2001, c’est ce qui se passe lorsque la “Boîte noire” parvient enfin dans les zones secrètes de l’Hexagone.
Le long métrage de Yann Gozlan suit les enquêteurs du BEA (le célèbre Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile) alors qu’ils partent à la recherche des indices d’un accident choquant tout en jouant avec les tropes du genre thriller. Il est difficile de trouver un film d’horreur plus réaliste que The Black Box.
Yann Gozlan, passionné d’aviation, s’est penché sur le fameux système de boîte noire pour mieux comprendre les catastrophes. Pour récapituler, chaque avion en possède deux, et tandis que l’un garde un œil sur les données techniques de vol de l’avion, l’autre tient un magnétophone des conversations des pilotes. C’est là, au fond, l’énigme majeure du film avec Pierre Niney, Lou de Laâge et André Dussollier.
Nous voyons ici Mathieu Vasseur, l’acousticien du BEA, se concentrer attentivement sur la boîte noire d’un vol Dubaï-Paris écrasé dans les Alpes suisses. Même s’il semble que personne n’a survécu à la collision, plusieurs de ses collègues et patrons ne semblent pas s’en soucier. Mathieu Vasseur reste persuadé que la boîte noire de l’avion a été trafiquée, malgré des preuves contradictoires.
Le controversé Le nouveau 737 MAX amélioré de Boeing
L’aéroport du Bourget a servi de décor à la “Boîte noire”, inspirée du véritable siège du BEA. L’image a été introduite dans le cycle de l’actualité en raison de ses références à des actes terroristes et du débat sur un modèle d’avion problématique de Boeing, le 737 MAX. Deux Boeing 737 MAX, l’un de Lion Air et l’autre d’Ethiopian Airlines, se sont écrasés la même semaine où Yann Gozlan tentait de terminer l’écriture du scénario, tuant 346 personnes.
Les deux incidents résultent de problèmes liés aux technologies de pilotage automatisé qui ont entravé les efforts des pilotes humains. Le cinéaste décrit l’influence continue de l’événement dans les documents de presse du film.
“Boîte noire” : les appréhensions de Mathieu s’accentuent lorsqu’il découvre qu’un passager a laissé un message quatre minutes après l’heure officielle du crash. Une enquête sur un crash aérien avec à jour un complot crapuleux. Un mystère effrayant.