Joel Guerriau Marié – Ce jour-là de l’année 2023, Jol Guerriau a été arrêté après que la députée Sandrine Josso l’ait accusé de l’avoir droguée. Le 17 novembre 2023, le sénateur Jol Guerriau de Loire-Atlantique est placé en garde à vue après avoir été interrogé par la police.
Interdiction de contact avec Sandrine Josso
Il est interdit au député de 66 ans de communiquer avec Sandrine Josso, une députée du même district qui représente le Parti démocrate. Souvenez-vous, elle s’était rendue chez le parisien Jol Guerriau dans la nuit du 14 au 15 novembre 2023 et l’avait accusé de se doper sur elle pour qu’ils s’agressent sexuellement.
De pure joie retrouvée
La femme de 48 ans, qui s’est sentie malade cette nuit-là, a subi des tests à l’hôpital qui ont révélé de l’ecstasy dans son sang. En revanche, de l’ecstasy a été trouvée au domicile du sénateur et celui-ci a été testé positif à de nombreuses drogues.
Défi de deux heures
Plus de deux heures ont été passées avec Sandrine Josso, l’accusatrice de Jol Guerriau. Le parlementaire n’aurait nié les faits. Un sénateur de Paris est en détention préventive après avoir été accusé d’avoir drogué un parlementaire.
Le sénateur Jol Guerriau (Les Indépendants) de Loire-Atlantique a été convoqué à Paris après avoir prétendument drogué un collègue législateur. Selon une information de RMC confirmée à actu Paris par le parquet, Jol Guerriau, sénateur (Les Indépendants) de Loire-Atlantique, aurait donné de l’extase à une députée.
Après avoir reçu une plainte alléguant qu’il aurait donné à une autre personne des drogues visant à altérer son jugement ou son contrôle de ses impulsions afin de commettre des violences ou une agression sexuelle, la police s’est rendue à l’appartement parisien de l’homme et l’a assigné à résidence le 16 novembre 2023.
Source : Ecstasy découverte au domicile du sénateur
Les faits se sont produits dans la nuit du 15 novembre, entre mardi et mercredi. Le sénateur a invité une députée à prendre un verre, mais elle se sent soudainement malade et doit partir sous une pluie battante pour être hospitalisée. Après prélèvement, l’analyse formelle montre que des résidus d’ecstasy sont présents dans son organisme.
Jol Guerriau aurait été interrogé vers 20 heures. le mercredi 20 mars, sans que son immunité parlementaire soit levée au préalable, la situation étant traitée comme un “crime flagrant”. Des perquisitions ont été menées à son domicile, où de l’extase a été retrouvée par les policiers, ainsi qu’à son bureau au Sénat.
Le parquet de Paris précise que les contrevenants encourent au minimum cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende supplémentaire. L’affaire est similaire à celle impliquant Laurent Bigorgne, ancien directeur de l’Institut Montaigne, accusé d’avoir drogué une collègue avec de l’ecstasy. Cet individu a été reconnu coupable et condamné à 12 mois de prison avec sursis à ce moment-là.
Affaire Jol Guerriau : Horizons et son parti suspendent le sénateur à cause de cela
Le sénateur Jol Guerriau (R-Loire-Atlantique) a été “immédiatement” suspendu du parti Horizons, samedi 18 novembre, après que des allégations ont fait surface selon lesquelles il aurait harcelé de manière droguée une collègue. Son caucus législatif l’a rapidement expulsé pour ce comportement.
Le Bureau politique d’Horizons a décidé samedi de retenir “immédiatement” le sénateur Joël Guerriau, soupçonné d’avoir drogué à son insu une députée en vue de l’agresseur sexuellement, a informé l’AFP auprès du parti. Selon une source à Horizons, le parti d’Edouard Philippe fera appel à la plaignante Sandrine Josso (MoDem) après avoir été “profondément choqué par les faits à l’origine des accusations” et avoir voté “à l’unanimité” la suspension “immédiate” du sénateur. Vendredi soir, Jol Guerriau a été interpellé et placé sous contrôle judiciaire.
Une campagne de désinformation est dénoncée par l’épouse de Jol Guerriau.
L’épouse de l’ancienne assistante parlementaire et actuelle conseillère régionale Jol Guerriau dénonce la campagne de désinformation en ligne. Elle se sent « humiliée » par tout cela.
L’histoire aurait peut-être été rétentante. Imaginez un sénateur de Loire-Atlantique s’arrangeant avec son homologue de Mayotte pour dissimuler son emploi fictif et celui de son épouse. Au nez et à la barbe du Sénat… et de la loi ! Cette histoire s’est répandue, ces derniers jours, sur le web, sans même que les intéressés communiquent pu s’expliquer…
Que sont, au juste, ces « petits arrangements entre élus » ? Le sénateur UDI Jol Guerriau a échangé des postes d’attaché parlementaire avec le sénateur socialiste de Mayotte pendant plus d’un an, de l’été 2015 à l’automne 2016. Son épouse, Christine Guerriau, a travaillé pour Mohamed Thani, et il en a fait son attaché parlementaire, Moussa Tamadouni, à la disposition du sénateur et maire de Saint-Sébastien-sur-Loire.
Un élu PS et un suppléant UDI. Cela doit être suspect. Et lorsque l’attachée susmentionnée, encartée Les Républicains, se trouve également être l’épouse du sénateur, il y a forcément des failles dans le système.
Je ne suis pas la fille qui est avec…
Mais si l’on en croit le sénateur socialiste de Mayotte, tout cela a du sens. Nous avons trouvé un terrain d’entente et il m’a proposé de me présenter à sa collaboratrice, qui se trouve être son épouse, afin que je puisse bénéficier de son expertise en matière de politique étrangère.
Questions relatives aux droits de l’homme de l’Union européenne. Cette transaction entre nous est donc tout à fait légale. Mme Guerriau a reçu un salaire de 1 195 euros, ce qui est nettement inférieur à son précédent poste auprès du sénateur Guerriau.
Christine Guerriau est très émue et perd son haillon. Je suis diplômé en gestion et ingénierie de fonds européens. Pourquoi ne devrais-je pas être autorisé à être compétent ? Puis elle perd son sang-froid et s’écrie : “Je me sens tout le temps humiliée puisque tout le monde me voit comme la femme qui… On entend très souvent des rumeurs.
Comment explique-t-elle avoir travaillé pour un sénateur libéral alors qu’elle s’identifie comme étant son opposé politique ? En dehors d’une élection du Front National, je suis prêt à collaborer avec n’importe qui.
Un « échange de compétences »
Son mari Joël Guerriau n’a aucune idée de ce qui se passe. Le Sénateur explique : « Il s’agit d’un échange de compétences dans la durée. Je représente l’UDI au plan national sur les sujets ultramarins. L’assistant du sénateur, Thani, Cela m’a aidée à donner un sens à tout. En termes simples, nous avions deux compétences qui se croisaient de manière positive et généraient une valeur ajoutée. Faut-il la garder pour soi ?
Et nous envoyons sa photo à la salle du Sénat avec nos salutations. C’est à ce moment-là qu’il sort les relevés de salaires que nous avons pu vérifier et dit, incrédule : « Je veux que cela soit dit, je veux que ce soit clair ».
Jol Guerriau l’examina. Mercredi, la police s’est rendue au domicile du sénateur de Loire-Atlantique soupçonné d’avoir traîné une invitée, la députée Modem Sandrine Josso. Selon nos sources, il a été placé sous contrôle judiciaire et il lui est interdit de contacter la partie plaignante.
“Une erreur de manipulation”
Entre mardi soir et mercredi matin, Sandrine Josso a bu dans l’appartement parisien d’un sénateur avec lequel elle n’avait aucun lien amoureux. Me Julia Minkowski, avocate du député, affirme que celui-ci est “tombé malade après avoir bu une coupe de champagne” et a ensuite vu Jol Guerriau “saisir un petit sac plastique contenant de la poudre blanche dans un tiroir de sa cuisine”. Elle “s’est alors rendu compte qu’il était en train de la droguer à son insu”, comme le dit Me Minkowski.
Sandrine Josso a été testée positive à l’ecstasy après une série d’extractions, rapporte jeudi le journal parisien. Plus tard, des perquisitions ont été effectuées au domicile et au bureau du sénateur, où de l’ecstasy a été découverte. Du point de vue de l’accusé, ces affirmations sont fausses. « Les affirmations de certains médias selon lesquelles les analyses toxicologiques effectuées sur mon client prouveraient qu’il utilisait régulièrement plusieurs types de tranquillisants sont totalement fausses.
Selon un communiqué publié vendredi soir par son avocat Me Rémi Pierre Drai, le sénateur « se battra pour démontrer qu’il n’a jamais voulu administrer à son collègue et ami de longue date une substance pour en abuser”, malgré les résultats démontrant le contraire.
Le mécontentement dramatique qu’a éprouvé son collègue est le résultat d’une erreur de manipulation, qu’il va prouver. En fait, il a pu lui présenter ses excuses en personne, comme le poursuit l’avocat. “Joël Guerriau n’est pas un prédateur et n’est pas un fan de la guerre chimique. C’est un homme digne de confiance et intègre qui restaurera sa réputation et celle de sa famille chaque fois que cela sera possible.
Banquier de profession et élu membre du Sénat depuis 2011, Jol Guerriau est également vice-président de la commission des relations étrangères du Sénat et secrétaire de la commission du Règlement du Sénat.