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Abdelali Mamoun Origine
Abdelali Mamoun Origine

Abdelali Mamoun Origine – Dr Abdelali Mamoun : Je fais partie de l’équipe de planification depuis le mois de mai.des besoins que les imams rencontrent dans le cadre de leur vocation. L’imamat est plus qu’un choix de carrière ; c’est une vocation. On ne devient pas imam pour remplir ses poches, mais plutôt pour servir Dieu et les fidèles de la mosquée.

La loi sur les associations de 1905 a été incluse dans ces ressources. Il existe trois types d’imams : le ratib, qui dirige les cinq prières quotidiennes, le khatib, qui prêche le vendredi, et le conférencier, qui fait office d’imam référent. L’établissement de critères pour chaque classe (âge, expérience et compétence) et le traçage de son parcours, de son évolution et de sa trajectoire.

L’objectif est que l’imam soit prêt à présider les mariages, les funérailles et autres cérémonies. De cette façon, il pourra répondre aux besoins de ses fans dévoués. Au sein du comité d’éthique que je dirige, nous avons également élaboré un code de conduite. Comment répondez-vous à l’affirmation du CFCM selon laquelle la Coordination aurait volé des documents au CFCM pour les utiliser dans la formation de son Conseil des Imams nationaux ?

Primo, il y avait déjà quelques choses en place quand je suis arrivé ici, mais rien n’était terminé ; il restait encore beaucoup de détails à régler. Deuxièmement, je refuse de me laisser entraîner dans les conflits personnels entre M. Moussaoui d’un côté et M. Hafiz et Kbibeche de l’autre, qui ne peuvent tout simplement pas et ne veulent pas mettre de côté leurs différences pour travailler ensemble.

Ce que je veux dire à M. Moussaoui, c’est ceci : s’il voulait continuer à travailler avec d’autres imams, pourquoi ne nous a-t-il pas simplement appelé pour nous demander si nous souhaitions le rejoindre ? Il aurait pris l’initiative de réunir les imams et de leur demander de commencer ce travail.

Il ne l’a pas encore fait. Suite au retrait des quatre fédérations susmentionnées du CFCM, la seule fédération restant éligible à signer la charte était l’UMF. En d’autres termes, l’État ne reconnaîtrait pas les efforts des autres fédérations puisqu’elles étaient considérées comme des « fédérations non grata ». Tout groupe qui ne signera pas la charte sera complètement exclu du Conseil des imams nationaux.

N’est-ce pas une violation flagrante de la liberté religieuse ?

Certes, il y a eu des atteintes à la liberté religieuse, mais il faut aussi reconnaître qu’il y a eu des attentats, que des musulmans ont tué au nom de l’islam et que l’État a tapé durement sur la table pour faire comprendre que l’islam ne peut pas être utilisé. comme justification du meurtre, de l’assassinat ou du terrorisme en France.

Le gouvernement a fait une demande à la communauté musulmane. Ils l’ont fait en rédigeant une charte dans laquelle ils condamnent toutes les formes d’extrémisme, y compris, mais sans s’y limiter, l’islamisme des Frères musulmans, des salafistes et du Tabligh. Tous ces courants étrangers n’ont rien à voir avec la patrie. Les attaquants en France n’ont pas été influencés par les musulmans français ni par leurs mosquées.

Faites savoir qu’aucun imam français n’est responsable de ces attentats. Mais nous sommes coupables d’avoir laissé le terrain vide et la nature à l’horreur du vide. Si nous ne comblons pas ce vide avec un establishment islamique à l’image de la France contemporaine, il sera comblé par des idéologies étrangères comme le salafisme et l’islam des Frères musulmans.

Les musulmans français sont impliqués dans la coordination, malgré les liens étroits du groupe avec les idées de Hassan al Banna (fondateur des Frères musulmans)… A ma grande surprise, Amar Lasfar m’a dit sans détour : “Il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis” lors de la soirée de lancement du CNI dimanche dernier. Nous nous sommes trompés. Nous étions dans l’erreur.

L’époque où nous étions frères musulmans est révolue pour nous. Les Musulmans de France n’ont aucune affiliation avec la confrérie des Frères Musulmans. Nous sommes une organisation française qui donne la priorité au fait d’être citoyen français avant de s’identifier comme musulman. Ils ont tourné la page et s’ils le disent eux-mêmes, je n’ai aucune raison de le nier. Ils parlent au nom de centaines de mosquées et d’organisations françaises et démontrent leur dévouement par leurs actions.

Abdelali Mamoun, employé technico-commercial chez un grand constructeur automobile, enlève son costume pour enfiler son costume traditionnel lorsqu’il rentre du bureau. Ce samedi-là, elle est de couleur beige clair. “Quand je prie le vendredi, je porte une djellaba blanche et impeccable”, a-t-il précisé. Le jeune imam itinérant et bénévole, tous âgés de trente-cinq ans et arborant une barbe bien taillée, est déjà bien connu dans les communautés musulmanes du Val-d’Oise et des Yvelines.

Abdelali est un symbole du renouveau identitaire islamique tout en restant résolument français. Un deuxième « G », comme il dit lui-même, pour « deuxième génération », fils d’Algériens, donc, venus vivre en France au milieu des années soixante.

Abdelali Mamoun Origine

Mais cette jeune ville a aussi emprunté un chemin atypique. Lorsqu’on lui demande comment et pourquoi il est devenu imam, il répond : « C’était la Providence ». Une bénédiction familiale qui s’est manifestée notamment à travers la personne d’un oncle nommé Cheikh…

Mamoun a désormais sa propre tournée à la télévision. Mais l’imam qui veut « renationaliser l’islam de France » ne bénéficie pas d’un soutien universel. Ses amitiés et ses efforts pour contrecarrer l’influence des nations étrangères lui ont valu de nombreux fans.

Paris, 11e, Le Bataclan – Trois jours après les attentats de Paris et de Saint-Denis, des dizaines de personnes se sont rassemblées. Au milieu de la foule, une délégation rassemble les caméras installées là pour la journée. Main dans la main, un groupe de rabbins et un groupe d’imams.

L’imam de ce groupe remarquable, Abdelali Mamoun, entraîne la foule en chantant la Marseillaise, à laquelle le reste des membres répondent timidement. Il porte un kuffi blanc sur la tête et parle quel que soit le volume autour de lui.

Après le faux Rachid Birbach, qui prétendait représenter depuis Auxerre les musulmans de Corse, vient l’usurpateur Abdelali Mamoun, présenté dans les médias comme le chef de la mosquée d’Alfortville. Puisque ces médias continuent à apparaître, il est impératif que quelque chose soit fait à ce sujet.

Après les attentats de janvier, il est devenu la nouvelle coqueluche des médias qui le présente comme «imam à Alfortville» et «porte-parole du Conseil des Imams de France (CIF)». En réalité, il n’est ni l’un ni l’autre.

M. Mamoun a clairement des affaires en suspens avec les différents groupes musulmans en France. Il semble encore sous le choc d’avoir été expulsé de la mosquée de Guyancourt en 2010 en raison de ses opinions laxistes. Même s’il n’est plus officiellement associé à la mosquée d’Alfortville (rue de Nice) depuis décembre 2013, il se présente toujours comme l’imam de la ville. Son ancienne mosquée s’est même sentie obligée de donner une précision sur sa page Facebook en janvier 2015.

Après un an, les médias ne semblent toujours pas prêts à prendre au sérieux la prétention de M. Mamoun d’être l’imam d’une mosquée. Le 10 janvier, BFM TV, qui se présente comme la « première chaîne d’info » française, l’a invitée à effectuer un reportage en direct depuis la place de la République, où se tenait une cérémonie à la mémoire des victimes des attentats de 2015. Les médias continuent de l’appeler « l’imam d’Altona ». Colère de la mosquée, qui a souligné à plusieurs reprises que “cet homme n’est plus l’imam d’Alfortville depuis de nombreuses années”.

Abdelali Mamoun est de retour à Dreux et y sera dimanche. A l’invitation de la mosquée Ibad Allah d’Oriels, l’imam évoque la fonction sociale des mosquées. En novembre de l’année dernière, il s’était rendu à Dreux à l’invitation de l’association Alif. Dimanche, il répondra à une invitation du groupe en charge de la mosquée de Bel-Air pour évoquer l’idée selon laquelle “la mosquée est une institution d’engagement collectif”.

En soutien aux mosquées librement accessibles

L’animateur de Beur FM parle couramment le français et l’arabe, et sa façon particulière de parler français rappelle celle d’un banlieusard, mais cela n’en fait pas moins un expert des textes et de la culture islamiques. Un imam itinérant, Abdelali Mamoun. Il ne s’engage pas dans une mosquée en particulier mais s’y rend lorsque le besoin s’en fait sentir. La région parisienne est un haut lieu de rencontres avec lui.

Il fait partie des réformateurs et n’a pas peur du dire haut et fort. Mimoun Ennebati, président de l’association Alif, le connaît : “il prie pour une ouverture totale des mosquées”. L’auteur discute du concept d’égalité des sexes dans les mosquées. Aussi, un mélange de traditions culturelles. Cela soulève la question des groupes marginalisés exclus de l’administration des mosquées, comme les communautés afro-américaines.

Il critique les liens des mosquées avec leur pays d’origine et encourage les musulmans, en particulier les jeunes, à « être courageux » et à « ne pas perdre espoir. La France est votre maison, alors au lieu de vous prélasser sur le canapé, allez vous préparer à manger le réfrigérateur, oui, mais pensez également à prendre soin de votre logement.

Conférence. Mosquée Ibad Allah, 6 chemin de Bel-Air, dimanche 1er mai à 18 heures. Entrée gratuite et ouverte au public.

Ses commentaires tels que “J’aimerais être un tazer pour couper les crayons des caricaturistes de Charlie Hebdo” ou “Si le Prophète de l’Islam vivait parmi nous, il serait un défenseur de la laïcité”, affaiblissaient l’argumentation de l’article.

Il est là pour défendre ses positions et témoigner de la sagesse qu’il transmet à une génération de jeunes dont les valeurs morales sont décalées et qui sont donc responsables de leurs actes.

Abdelali Mamoun, président de la commission d’éthique du nouveau Conseil des imams nationaux (CNI) en France, a répondu à quelques questions de Mizane. Mamoun est imam en France depuis 30 ans, au service de 15 mosquées différentes. des nouvelles de la mise en place de cette toute nouvelle organisation. Mizane.info : Comment avez-vous répondu à l’appel à l’action lancé par la coordination centrée sur le Council of American-Muslim Councils ?

Abdelali Mamoun Origine
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