Alexandra Redde-Amiel Wikipedia – Depuis qu’elle a été désignée en janvier comme candidate de la France au concours du 13 mai à Liverpool, cette femme n’enlève plus ses sandales Zarra. Lui, comme les dirigeants de France Télévisions, a décidé d’embaucher un Canadien.
Elle ressemble à sa grande sœur ou à sa tante à certains égards. Les conversations quotidiennes entre les deux femmes se poursuivront jusqu’à ce qu’elles atteignent le sommet de l’industrie du divertissement de Liverpool. Alexandra Redde-Amiel est à la fois chef de la délégation française à l’Eurovision et directrice du divertissement et des jeux de France Télévisions.
Alexandra Redde-Amiel a 45 ans et est originaire de Sao Paulo, au Brésil. Elle revient rapidement à Paris avec ses parents pour rejoindre sa sœur, née 11 mois plus tard. Très jeune, elle s’adonne à la danse, au piano et à d’autres activités artistiques, mais elle croit que la véritable création se produit sur l’écran de poche.
Comme le dit Alexandra Redde-Amiel, elle regardait les émissions de variétés « avec des lumières dans les yeux » parce qu’elle pensait qu’elles apportaient de la joie aux téléspectateurs. J’ai toujours voulu « mettre de l’éclat dans la vie des gens.
J’ai eu une petite dispute avec mes parents à propos de ne pas regarder les émissions politiques parce que “il y a les Champs-Elysées ce soir”.Alexandra Redde Amiel, membre de la délégation française de l’Eurovision.
L’Agence française de presse, sur franceinfo
Amiel ira quand même à la Sorbonne et obtiendra une licence de lettres. Mais elle va se lancer immédiatement dans une série de métiers scéniques, à commencer par Glem productions et Julien Courbet. Elle sert du café, lit et répond aux courriers des fans des téléspectateurs. Et finalement, elle se dit qu’elle doit apprendre.
Elle va donc retourner à Sophia Antipolis pour suivre une école de journalisme. Et la rédactrice en chef chez Julien Courbet le rappelle lorsqu’elle lance Ciel avec Christophe Dechavanne à notre retour mardi. Elle a immédiatement affirmé que la Star Academy lui était destinée dès que le sujet a été évoqué.
Alexandra Redde-Amiel fait une rencontre qui changera sa vie avec la productrice Alexia Laroche Joubert. Elle est en charge des synthèses quotidiennes depuis neuf ans chez Star Ac. La populaire émission de télévision française Drag Race.
Compte tenu de son manque d’expérience dans les grandes émissions de grande écoute, nombreux seront ceux qui seront surpris par sa nomination à la tête du pôle divertissement de France Télévisions.
Entre les émissions, elle a monté une structure à la demande de Takis Candilis chez Lagardère Studios, qui produit et distribue des émissions de télévision dans le monde entier. La société a beaucoup d’expérience dans l’industrie, mais il n’y a pas beaucoup de grands spectacles en soirée.
Elle réalise tout ce qu’elle a à apprendre lorsque ce même Takis Candilis accède au poste de numéro deux de France Télé et la recrute comme directrice du divertissement de la chaîne. La meilleure illustration en est le concours Drag Race organisé à l’été 2022.
Je pense que c’était quelque chose d’inattendu dans la fonction publique. La France n’avait encore jamais accueilli de compétition de Drag Queen. Ici, nous étions au cœur du Covid. Il était logique de raconter l’histoire de cette communauté et de ces combats car les drag queens sont généralement des gens heureux.
Elle a éclaté de rire et a répondu : “produire un jour le Super Bowl”, lorsqu’on l’a interrogé sur son rêve le plus fou. Après la victoire de la France à l’Eurovision, nous serons de retour en un éclair pour soit produire le spectacle, soit revenir à l’événement de samedi à Liverpool.
Nous lui faisons un doigt d’honneur pour cela. Jusqu’à ce que Zarra monte sur scène, j’attends dans les coulisses avec elle. C’est mon faire-part de naissance, comme j’aime le dire. Le Concours Eurovision de la Chanson est la quatrième petite fille que je n’aurai plus jamais. Je le vois comme une série de naissances.
Une réfutation de la récente polémique provoquée par l’explication d’Yves Bigot selon laquelle on lui avait ordonné, alors qu’il était en poste à France 2, de s’assurer que la France ne remporterait pas le concours Eurovision de la chanson parce que cela aurait coûté trop cher. Evidemment, Alexandra Redde-Amiel en serait parfaitement contente.
La nouvelle directrice du divertissement et des variétés de France Télévisions a choisi puremedias.com pour ses premiers commentaires publics. Le divertissement est entré dans une nouvelle ère grâce à France Télé. Oubliez vos formes traditionnelles de divertissement ; cette saison, le groupe emmené par Delphine Ernotte veut surprendre avec une carte totalement revisitée.
Alex Redde-Amiel est passé maître dans l’art de l’évasion. Forte d’une riche expérience en production, ayant travaillé chez Endemol, Lagardère, Sony ou encore Studio 89 (M6), elle s’appelle désormais Franc Le nouveau directeur du divertissement et des variétés d’e Télévisions. Elle a donné sa première interview à puremedias.com.
Pierre Dezeraud a rassemblé les suggestions suivantes.
Quels types de changements avez-vous pu initier Redde-Amiel, Alexandra C’est avec beaucoup d’impatience que je suis enfin arrivée à France Télévisions. Surtout celui où je poursuis le travail de réimagination du divertissement que mes prédécesseurs ont commencé il y a quelques années.
Le pari de surprendre, de rêver et d’offrir continuellement du spectacle sur grand écran à nos téléspectateurs constitue un défi important et passionnant dans un paysage médiatique en évolution rapide. J’ai repris le contrôle de l’animation du groupe et je l’ai diversifié avec le nouveau système.
Cela signifie gérer et élaborer des stratégies de programmation sur plusieurs chaînes, avec une constitution génétique distincte pour chacune de ces chaînes. À l’heure actuelle, dix nouvelles émissions sont en cours de production.
Antennes et émissions se sont réunies pour répondre à un réel besoin de nos téléspectateurs en proposant une grande variété de nouvelles formes de divertissement. De nouveaux endroits où aller, de nouveaux noms de marques et, surtout, de nouvelles œuvres.
Nous avons commencé avec “Les enfants de la musique”, et nous continuerons avec “La course des champions”, “La boîte à secrets”, et “Boyard Land” et “La Lettre” lorsqu’ils sortiront tous en salles.
Vous souhaitez « continuer à faire du grand spectacle.
Il a incarné pendant des années le grand spectacle des réseaux de radiodiffusion du service public. Nous n’oublierons pas une si belle histoire. La direction a dû continuer à actualiser les options de divertissement disponibles.
Nous allons continuer à faire du beau spectacle et à attirer de plus en plus de monde. Avec une mise en garde : vous devez le surprendre. Nous souhaitons y répondre avec une variété encore plus grande d’activités adaptées aux familles.
Auteur : Alexandra Redde-Amiel
Le 12 octobre, France 2 diffusera en prime time “La course des champions”. Avez-vous l’impression que France Télévisions passe à côté d’un jeu de plateforme majeur Nous ne pensons généralement pas de cette façon. Nous avons souhaité construire l’événement autour d’une activité ludique avec une composante sportive importante.
Les Jeux Olympiques, dont les prochains Jeux de Paris 2024, seront diffusés par France Télévisions. Notre objectif est de diffuser des sports dans une variété de formats sur tous nos appareils. Tous les groupes devraient considérer le sport comme un bien public. Il a le potentiel d’être un agent extrêmement divertissant.
Le format de « The Race of Champions » est basé sur celui américain. Warner, le producteur, a été retravaillé pour intégrer nos valeurs fondamentales. On voit Teddy Riner, l’un des athlètes préférés des Français, incarner ces qualités dans un documentaire réalisé par le service des sports de France Télévisions qui le suit jusqu’aux Jeux Olympiques.
Un grand divertissement familial retravaillé pour un média étranger… Que pensez-vous de l’approche de TF1 (The Voice, Ninja Warrior, Danse avec les stars, Mask Singer, etc.) ?
L’achat de formats différents n’est pas le coup fatal de France Télévisions dans sa guerre contre la concurrence.
France Télévisions a une véritable stratégie de diffusion de la création à grande échelle. C’est ce qui, à mon avis, est d’une importance cruciale. Même si ce n’est pas dans l’ADN du secteur public d’acquérir de nouvelles formes, les gens le font néanmoins si le contenu semble correspondre à leurs convictions.
Nous ne réfléchissons pas à la manière dont les offres des autres sociétés se comparent aux nôtres. Nous espérons mettre en lumière et donner une voix aux idéaux du service public. Bien sûr, les audiences sont cruciales, mais sans les restrictions des réseaux privés, nous pouvons faire plus.
Aujourd’hui, « The Champions’ Race » fait partie de la stratégie à long terme d’un portefeuille complet de divertissement. A ma connaissance, “La course des champions” ne sera pas la première finale jouée. Ce sera un indicateur utile.
Notre plan est de proposer à nos téléspectateurs de nouvelles destinations passionnantes à découvrir. La disponibilité de nouvelles plateformes augmente l’intensité de la concurrence mais encourage également l’innovation.Il est sain et bon pour nous tous d’offrir aux téléspectateurs une variété d’options ambitieuses et divertissantes, et “Danse avec les stars” est un beau programme qui continue d’être populaire même s’il diminue un peu.
Faire ne vous sentez-vous pas concerné par l’échec du “Million Dollar Mile”, le modèle original dont “La course des champions” a été adaptée, aux Etats-Unis ?
Non, le format n’est pas l’objectif final pour nous. Cet article a un contenu qui nous motive. Il y a un suspense formidable dans le format original avec une adrénaline permanente quand on regarde le parcours.
Nous avons voulu raconter cette histoire en France afin d’insuffler nos valeurs dans ce pays. Nous avons donc « francisé » le format. C’est une métamorphose totale ; nous nous sommes libérés de la bible des programmes aux États-Unis.