Gabriel Attal Harceleur – On rappelle les « élucubrations » de Gabriel Attal, qui l’on appelle « le bourreau, et non la victime ». “Très sûr de lui, membre de l’élite, il s’en est pris sans réserve aux plus faibles que lui, abondant d’insultes répétées contre le SDF, les pauvres et l’école publique.
Juan Branco, soupçonné du meurtre de Gabriel Attal, répond au ministre sur les réseaux sociaux avec la devise « Ambitieux sans foi ni loi ». Grâce au compte qu’il a supprimé, Juan Branco, l’agresseur présumé de l’enfance du ministre, répond à l’interview exclusive de Gabriel Attal à sept heures du matin.
Après les révélations de Gabriel Attal dans une interview exclusive avec soixante-huit, Juan Branco a déclaré : « Les humiliations qu’il a fait subir à ses camarades au fil des années et qui ont fait un être détesté. Gabriel Attal, un avocat franco-espagnol, a révélé qu’un ami de il « voulait détruire sa vie » et son identité d’avocat et d’activiste controversé est rapidement devenue claire.
Après l’entretien, le futur directeur a souhaité avoir une réponse du ministre de l’Éducation, qui a finalement décidé de ne pas le nommer. “Gabriel Attal n’a jamais été harcelé”, insiste Juan Branco. En réalité, Gaby était l’un des amis les plus vicieux de la classe supérieure que l’on puisse imaginer. Il n’hésiterait pas à attaquer les membres les plus faibles de son groupe.
Il a écrit sur son compte Twitter : “Multipliez les blagues à plusieurs reprises sur le SDF, les pauvres, la communauté scolaire publique, puis vendez-vous aux pompes funèbres en vous vantant de sa supériorité”.
Le ministre affirme que tout a commencé lorsqu’il emmenait une fille au cinéma, ce que le maître du harem appréciait. Il se souvient : « Ce jour-là, il m’a dit : « Je vais te détruire ». Juan Branco a répondu à X en déclarant : « On voit mal quelle jalousie aurait pu être nourrie au sujet de ses rapports avec une femme si son homosexualité était, comme il le prétend paradoxalement, établi”.
“Il participait au blog avec assiduité”
Et un grand nombre de ses victimes ont déjà péri. Comme un marteau tombant par dizaines, ils lui montrèrent à quel point son comportement au fil des années avait aliéné ses amis et leur avait fait honte.
Commentaires homophobes mis en ligne
Le ministre a également admis dans l’entretien avoir reçu des commentaires homophobes. “C’était ‘pédale’, ‘tafiole’ et ‘tarlouze'”, dit-il à propos des propos des auteurs. Après avoir entendu ces allégations, Juan Branco a répondu : « Je n’insulterai pas M. Attal en lui rappelant qu’il n’a découvert son orientation sexuelle qu’à l’âge de 20 ans et qu’il ne pouvait être la cible d’aucune campagne visant à le stigmatiser à cause de cela.”
“Ambitieux sans foi ni loi”
Juan Branco dépeint également un “ambitieux, sans foi ni loi, instrumentalisant ses relations amoureuses pour se propulser au sommet”, comme il l’a écrit sur Twitter. “Ce qu’elle m’a dit de lui m’a semblé fidèle à ce qu’il avait toujours montré”, a-t-il ajouté. Quelque chose qu’ils ont appris d’un ami commun. Juan Branco affirme que le ministre de l’Éducation ment et utilise ces questions pour faire avancer sa propre carrière.
Le suspect du meurtre de Gabriel Attal, Juan Branco, recule devant le ministre sur X (anciennement Twitter). Le ministre de l’Éducation nationale, Gabriel Attal, s’est livré sur sa propre expérience du harcèlement scolaire lors d’un épisode de “Sept à Huit”, dimanche 5 novembre. L’avocat Juan Branco, expert en médias et soupçonné d’être son agresseur, s’est exprimé sur le service de microblogging X (anciennement Twitter).
Dimanche 5 novembre, le ministre de l’Éducation Gabriel Attal a parlé de sa propre expérience du harcèlement scolaire à l’émission Sept à Huit. Depuis, l’avocat très médiatisé Juan Branco, soupçonné d’être son agresseur, s’est exprimé sur X (anciennement Twitter) dans une série de longs commentaires. Gabriel Attal, affirme l’homme, n’a jamais été vaincu.
Certes, « Gabby était l’un des compagnons sociaux les plus vicieux que l’on puisse imaginer, attaquant sans remords ceux qui étaient plus faibles que lui, lançant insulte sur insulte au SDF, aux pauvres, à l’école publique, etc. , et vendant sa supériorité avec un ricanement.” Et un sourire narquois.
Langage abusif et incitation à la violence
À la lumière de cet épisode, Juan Branco a avancé l’hypothèse selon laquelle le ministre aurait été victime du réseau social Skyblog, datant du début des années 2000. Il a menacé de publier en ligne des photos embarrassantes de moi et de mes amis et de faire des commentaires désobligeants en mon nom. Le ministre aurait été inondé d’insultes et de violences physiques si cela se produisait.
Le ministre de l’Education nationale a indiqué que des insultes homophobes avaient également été publiées sur le blog : “C’était pédale, tafiole, tarlouze”. Juan Branco répond à ces allégations en déclarant : « Je n’insulterai pas M. Attal en lui rappelant qu’il n’a découvert son orientation sexuelle qu’à l’âge de 20 ans et qu’il ne pouvait donc pas avoir été la cible d’une quelconque campagne visant à le stigmatiser. cette base.”
Ces petits criminels poursuivront leurs poursuites jusqu’à l’âge adulte, Gabriel Attal croisant Juan Branco sur le campus de Sciences Po lors de sa promotion. Gabriel Attal dit : “Lorsque j’ai été nommé au gouvernement, il a posté des messages sur les réseaux sociaux faisant référence à mon homosexualité.” L’orientation sexuelle de Gabriel Attal a été dévoilée en 2019 par le livre Crépuscule de Juan Branco.
Juan Branco raconte comment un ami de Gabriel Attal lui a confié que le jeune homme politique utilise ses relations amoureuses pour accéder aux plus hautes sphères du gouvernement : « Ambitieux, sans foi ni loi, instrumentalisant ses relations amoureuses pour voir jusqu’à ce que les sommets soient propulsés, ce elle m’a dit qu’il semblait fidèle à ce qu’il avait toujours montré”, a-t-il tweeté.
Enfin, Juan Branco accuse le ministre de l’Éducation de mentir et “d’utiliser ces questions pour se propulser”. Le ministre de l’Éducation nationale, Gabriel Attal, s’est exprimé dimanche sur le harcèlement sexuel qu’il a subi lorsqu’il était adolescent. Il a dressé un portrait de son dictateur médiatique.
Un élève de l’école a créé un site Internet où ses camarades pouvaient évaluer et commenter l’apparence physique des autres. Lors de cet événement, j’ai été soumis à un barrage d’insultes et d’agressions physiques.
Cela dure depuis pas mal de temps et c’est très tendu. Quand je lui ai demandé d’arrêter de me menacer, il m’a simplement répondu : “Je le ferai”. C’est aussi ce qu’il a tenté en secret. l’épisode de Sept à huit de dimanche soir sur TF1, Gabriel Attal a révélé pour la première fois ce que lui est arrivé alors qu’il était élève à l’école privée L’Alsacienne.
“Pédale, tafiole, tarlouze”
Il a dressé le portrait de son harceleur médiatique, qui, selon lui, le traite de « pédale, tafiole, tarlouze », mais il n’utilise jamais réellement ces mots. Quelques années plus tard, à son retour à Sciences PO, il affirme que le même harceleur a fait des révélations publiques sur son homosexualité contre son gré.
Je n’en ai jamais discuté en public auparavant, mais je n’ai désormais pas l’intention de garder le secret, a déclaré le ministre. En termes simples, je voulais dire ce que je voulais dire, quand je voulais le dire et de la manière dont je voulais le dire.
L’homosexualité du ministre a été révélée dans un pamphlet publié anonymement intitulé “Crépuscule”, dont l’auteur peut être ou non le mystérieux Juan Branco. Dans une série de tweets publiés sur X (anciennement Twitter), le militant et avocat franco-espagnol Juan Branco a admis avoir tué Gabriel Attal.