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Jean Bouise Mort
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Jean Bouise Mort – Bien que Jean Bouise soit surtout connu pour son travail au cinéma et à la télévision, il a fait ses débuts sur scène. Il était tellement engagé sur scène qu’il refusait régulièrement des rôles bien rémunérés au cinéma et à la télévision. Il n’a jamais évoqué son travail ou son métier. Personne ne l’a jamais préparé à cela.

L’étude du cinéma et du théâtre contemporains pour une analyse critique. Il est né le 3 juin 1929 au Havre, en France, dans une famille pauvre. Il s’installe ensuite à Rouen, où il travaille comme surveillant d’école avant d’intégrer une école de chimie. Au printemps 1950, alors qu’il décide de s’inscrire à des cours de théâtre, il rencontre enfin Roger Planchon.

Ces deux hommes, avec Robert Gilbert, Claude Lochy, Alain Mottet et Isabelle Sadoyan (que l’actrice Jean Bouise épousera plus tard), fondent le Théâtre de la Comédie à Lyon, qui deviendra par la suite le Théâtre de la Cité et le Théâtre National Populaire. Villeurbanne (tous deux hérités de Jean Vilar).

Des spectacles burlesques populaires des années 1950 comme le défilé Boots and Cols Mounted basé sur des écrits de Courteline et Labiche, la compagnie a évolué vers des pièces « sérieuses » basées sur les œuvres de Shakespeare, Marlowe, Calderon et d’auteurs contemporains.

Jean Bouise effectue des petits boulots le jour tandis qu’il construit son nouveau théâtre la nuit. Ce fut une époque de répétitions générales prudentes et de préparations de spectacles qui ne purent être présentés au public faute de moyens et de place, mais aussi une époque de pillage héroïque sur la Croix-Rousse des restes de tissus et de décors.

À Lyon, il s’est éteint le 6 juillet 1989. Il a joué dans de nombreux films, généralement dans des petits rôles, du milieu des années 60 jusqu’à sa mort en 1989. Jean Bouise, scientifique de formation et étudiant à l’école de chimie à Rouen, commence sa formation théâtrale en 1950.

Sa rencontre fortuite avec Roger Planchon le conduit à s’impliquer dans la création du Théâtre de la Comédie de Lyon. Il participera également à la rénovation spectaculaire du Théâtre municipal de Villeurbanne en TNP en 1972. Ses rôles d’acteur seront dans des productions dirigées par.

Roger Planchon, et dans d’autres œuvres canoniques comme le Tartuffe de Georges Dandin et Le Brave Soldat de Schweick. Sa première apparition au cinéma fut dans L’Autre Cristobal d’Armand Gatti en 1962. Ce n’est que lors du Festival de Cannes de 1963 que quelqu’un a vu ce film. Jean Bouise a progressivement gravi les échelons jusqu’à la première place.

peut-être le second rôle le plus emblématique du cinéma français. Citons par exemple Les Choses de la vie de Claude Sautet, Monsieur Klein de Joseph Losey ou encore Z et L’Aveu de Costa-Gavras. Après sa performance dans Le Vieux Fusil de Robert Enrico, il accède rapidement à la célébrité.

Luc Besson a joué des rôles dans plusieurs films, dont Le Dernier Combat et Subway. Il a également joué l’oncle Louis dans Le Grand Bleu et l’attaché soviétique en France dans Nikita. L’homme à la longue moustache, à la voix grave et aux yeux myopes dissimulés.

Il a été choisi dans de nombreux rôles effrayants par Lunettes, mais aussi dans des rôles avec beaucoup d’humanité, où brille vraiment son jeu contrôlé et délicat. En conséquence, il a été placé dans certains des meilleurs « seconds rôles » de l’histoire du cinéma français.

disparu sans laisser de trace”, écrit Luc Besson dans son autobiographie. Nikita sera un hommage à Luc Besson, le réalisateur du film final (et le seul qu’il ne verra malheureusement jamais terminé). Dans le quartier de Saint-Hilaire-de-Brens Cimetière de l’Isère, une dalle en grande partie anonyme lui sert de mémorial.

Jean Bouise, acteur français, est né le 3 juin 1929 au Havre et est décédé le 6 juillet 1989 à Lyon, huitième ville de France. Il était un habitué des films du milieu des années 1960 jusqu’à sa mort prématurée, et il n’était pas étranger aux seconds rôles. En 1950, Jean Bouise, chimiste et ancien élève de, fait cette découverte.

l’Ecole de Chimie de Rouen pour suivre sa passion du théâtre. Il rencontre ensuite Roger Planchon et tous deux fondent finalement le Théâtre de la Comédie de Lyon. Avec les autres comédiens, il explique comment est né le TNP en 1972, alors connu sous le nom de Théâtre de la Cité de Villeurbanne.

Il apparaît à la fois dans des pièces originales du metteur en scène et dans des incontournables du répertoire (comme Georges Dandin, Tartuffe, Le Brave Soldat Schweick, etc.). Jean Bouise, un acteur français, est typique de ces acteurs de soutien réguliers.

Il était également un acteur de théâtre très populaire tout au long de sa vie. Il a réalisé plusieurs performances entre 1962 et sa mort en 1989. Parmi les réalisateurs avec lesquels il a collaboré figurent Alain Resnais, Costa-Gavras, René Allio, André Cayatte et Yves Boisset.

Robert Enrico et Luc Besson. Sa filmographie comprend Z (Costa-Gavras, 1969), Les Choses de la vie (Sautet, 1970), Mourir d’amour (Cayatte, 1971), Le Vieux Fusil (Enrico, 1975), La Mort d’Unotten (Lautner, 1977), In le nom de tout à moi (Enrico, 1983), L’été sur une pente douce (Krawczyk, 1987) et Le Grand Bleu (Besson, 1988).

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Jean Bouise, dans le film “Coup de tête” (Annaud, 1979), Il dresse un portrait vivant du Français à travers plusieurs seconds rôles majeurs, jusqu’aux tables basses en Formica et aux imperméables aux couleurs vives.

Un film pour le héros timide, l’acolyte aimable et l’idiot obtus, Mastic a ce qu’il vous faut. favorise encore plus que M. les figures méconnues et les huiles douteuses de province. Un large échantillon de la société réuni par.

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Le cinéma et la télévision ont fait la renommée de Jean Bouise, mais il a fait ses débuts au théâtre, un art qu’il aimait tellement qu’il refusait souvent les opportunités qui auraient garanti son succès. Rien, il faut le dire, ne l’obligeait à s’intéresser à l’avant-garde de la production théâtrale et cinématographique. Le 3 juin 1929, il naît dans une famille pauvre du Havre.

Il travaille comme surveillant d’école à Rouen pour poursuivre ses études en chimie. Il s’inscrit à un cours d’art dramatique au printemps 1950 et c’est là qu’il rencontre Roger Planchon pour la première fois.

Ils fondent le Théâtre de la Comédie à Lyon avec Robert Gilbert, Claude Lochy, Alain Mottet et Isabelle Sadoyan (actrice que Jean Bouise épousera plus tard), puis reprennent le Théâtre National Populaire de Villeurbanne, hérité de Jean Bouise. Vilar.

La troupe s’est d’abord fait connaître grâce à ses productions burlesques à succès, comme Bottines et collets monters des années 1950, défilé sur des textes de Courteline et Labiche ; plus tard, il diversifia son répertoire pour inclure des productions « sérieuses » basées sur les œuvres de Shakespeare.

Marlowe, Calderon et d’auteurs contemporains. Jean Bouise fait des petits boulots le jour et construit son théâtre au clair de lune. Les répétitions dans la neige et les représentations qui n’étaient jamais destinées au public étaient monnaie courante en cette période de pillage héroïque à la Croix-Rousse pour les restes de tissus et de décorations.

Le public lyonnais et les critiques parisiens ont remarqué Jean Bouise et l’ensemble Comédie avant ses 30 ans. Ils furent les précurseurs de ce que l’on appelle aujourd’hui la « décentralisation théâtrale » lorsqu’en 1957 ils s’installèrent tous au Théâtre de la Cité de Villeurbanne.

Leur popularité leur a valu des invitations dans les plus grands théâtres parisiens et finalement dans des festivals à travers la France et au-delà. Jean Bouise, présent à chaque moment marquant de la vie de Planchon, restera dans la ville de Vilar jusqu’à la fin des années 1970, marquant le début d’une nouvelle ère qui sera marquée par la relocalisation du TNP.

Malgré cela, il commet ses premiers actes de déloyauté envers le groupe, sur lequel il avait concentré la quasi-totalité de son attention, au milieu des années 1960. En 1964, René Allio le sollicite spécifiquement pour La Vieille Dame indigne.

Après avoir travaillé avec Alain Resnais sur le film La Guerre est finie l’année suivante, il réalise des films avec Claude Sautet (Les Choses de la vie), Yves Boisset Daniel Schmidt (Hécate et Jenatsch) et André Delvaux (L’Œuvre en noir).

Isabelle Sadoyan est née à Lyon, en France, en 1928. Elle a fréquenté le Conservatoire de Lyon et a ensuite contribué à la fondation du Théâtre de la Comédie à Paris, en France, en 1950, aux côtés de Roger Planchon et de son futur mari, l’acteur Jean Bouise. .

Isabelle Sadoyan revient sur ses débuts à Planchon (INA / janvier 2000). En 1972, le Théâtre de la Comédie devient Théâtre de la Cité et s’installe à Villeurbanne, sous la direction de Patrice Chéreau. Après avoir rejoint la société Planchon, Isabelle Sadoyan la quitte en 1976 pour s’établir dans la Ville Lumière.

Sautet, Bunuel, Jeanne Moreau, Chabrol, Besson, Lelouch et Godard ont tous eu un impact cinématographique significatif. En 2011, elle reprendra son rôle dans “Ruy Blas” pour la cérémonie d’ouverture de la salle principale du TNP.

De Claude Sautet et Luis Bunuel à Jeanne Moreau et Claude Chabrol en passant par Luc Besson et Claude Lelouch et Jean-Luc Godard, Isabelle Sadoyan a travaillé avec certains des meilleurs réalisateurs du secteur pendant son séjour à Paris.

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