Bruno Fellous Origine

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Bruno Fellous Origine
Bruno Fellous Origine

Bruno Fellous Origine – “Je suis une île”, déclare l’auteur de cette autobiographie. Et même une seule île entourée d’une mer vide. Car Tamsin vit seul sur une île isolée des Hébrides, au large des côtes écossaises. Ce n’était pas comme ça qu’elle et son mari s’imaginaient quitter Londres.

Ils partaient rénover une ferme heureuse où ils pourraient élever des enfants entourés de leurs proches. Le processus de procréation s’est révélé impossible, même avec de l’aide. À la suite de la rupture, Tamsin se retrouve avec « [s]on cheval, [s]es moutons, [s]on dog, [s]es poules, et [s]es avian friends » comme seuls compagnons.

Mais d’autres formes de vie, d’autres langages : c’est ainsi que l’absence des humains et de leurs paroles, et donc de leurs incompréhensions, devient rédemptrice. Selon les publicités de biocosmétiques, dame nature prend soin de vous. Tamsin Calidas parvient à illustrer ce cliché sans jamais prononcer les mots, le tout dans une prose lucide et d’une grande simplicité.

Avant tout, elle dépeint avec sensibilité et précision la progressive métamorphose de cette femme. Sa lutte à la fois avec et contre le monde naturel. Jusqu’à ce qu’il atteigne « l’endroit au-delà de ses peurs ». Un paradis caché sur l’île de son esprit. Fl. N.

S’il y a quelque chose d’intéressant dans tout Perec, c’est bien le cabinet de son psychiatre. L’auteur a parcouru la rue parisienne de la rue de Babylone pendant quatre ans, de mai 1971 à juin 1975, pour poursuivre son analyse avec feu Jean-Bertrand Pontalis (1924-2013).

L’une des évocations les plus justes et les plus belles de ce qui se passe dans l’espace et le temps de l’analyse se trouve dans sa pièce « Les lieux d’une ruse » (1977 ; in Penser/Classer, Hachette, 1985), dans laquelle il raconte cette expérience sans jamais dévoiler le contenu de ses séances. Une interprétation possible de cette déclaration est qu’il s’agit d’une façon pour un vieil analyste de rendre hommage et de remercier son ancien analyste pour toute l’aide qu’il lui a apportée au fil des années.

Colette Fellous a toujours remis en question ses liens avec le pays où elle est née et a grandi, la Tunisie. Malgré cela, dans les années 1950, sa famille juive était confrontée à de sévères restrictions. phrase par phrase, elle a reconstitué son enfance et sa jeunesse, son histoire familiale et son retour constant au pays qui lui a causé tant de souffrance. Depuis le 26 juin 2015, un pays est sous le choc d’une attaque meurtrière sur une plage de la région de Sousse.

En clair, le théâtre que je crée a pour objectif de s’inscrire dans l’histoire sociétale. Et si ma situation sur ce vaste terrain où se jouent les querelles du monde est misérable, c’est ici et ici seulement que je tiens bon.

Selon le directeur du Festival d’Avignon, Olivier Py, la 74e édition a été écourtée à cause d’une épidémie de coyotes. Le directeur du Festival exprime le désir de revenir aux racines artistiques du Festival en relançant l’événement d’une semaine qui s’est tenu au milieu de l’automne 1947.

Cette semaine de l’art est l’idée du poète René Char, du collectionneur d’art Christian Zervos et du scénographe Jean Vilar, selon Bruno Tackels. Parce que tout a commencé avec une exposition d’art contemporain à Avignon, qui présentait des œuvres de sommités telles que Chagall, Picasso, Klee, Kandinsky, Léger et Matisse, ainsi qu’une soirée d’ouverture provocante.

Jean Vilar a proposé trois créations réalisables en quelques jours pour répondre à la demande de Zervos d’accompagner cette exposition d’une reprise d’un spectaculaire. C’est ainsi qu’est né le rêve d’Avignon dans l’esprit de Jean Vilar, surnommé “le mécène” après avoir convaincu les élus de lui céder la cour de la résidence officielle du pape, dotée de chaises pour l’audience et d’une scène pour le artistes interprètes ou exécutants.

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Une jeune femme le confronte en pleine rue : “Monsieur, vous n’auriez pas fait L’Île par hasard ? Le pharmacien de Levallois-Perret, 45 ans, est revenu de son expérience “hors du commun” en décembre, après avoir perdu neuf kilos.

Les 22 espoirs, moitié hommes et moitié femmes, n’ont suivi que deux jours d’entraînement à la survie avant d’être largués au milieu de l’océan Pacifique sur une île déserte. Ils ont un mois et demi pour s’en sortir seuls, sans aide extérieure. Contrairement à Koh Lanta, il n’y a pas de compétition ni de prix à la fin. Il s’agit avant tout de faire ses preuves et de repousser ses limites, comme le dit Bruno. C’est une reconnexion entre l’homme et la nature.

“Nous avons bouclé la boucle là où nous avons commencé : un animal.”

Mais Bruno le Pharmacien, comme on l’appelait dans l’émission, ne connaissait rien au métier d’aventurier avant de partir au milieu du Pacifique. Parce qu’il « déteste » la nature, il n’a jamais fait de camping ni dormi à la belle étoile. Plus urbain que moi ? Rien de tel n’existe, vous moquez-vous.

Dormir dehors a été la partie la plus difficile de toute l’aventure. Certains de ses amis lui ont conseillé de passer “trois jours” dans l’aventure avant d’être “bluffés et super fougueux” après avoir visionné l’épisode pilote le lundi précédent. Bruno, qui n’avait jamais fait quelque chose de pareil auparavant, était tellement convaincu par le spectacle qu’il voulait voir jusqu’où il pouvait aller après l’avoir vu pour la première fois.

Ce qui m’a attiré vers lui, c’est sa capacité à se dépasser, dit-il. J’ai toujours espéré vivre quelque chose de vraiment remarquable. Dans The Island, nous recevons de précieuses leçons de vie. Une fois de plus, cela nous rappelle notre vraie nature : celle d’un animal.

Bruno profite de sa nouvelle renommée : « Cela fait dix ans que ma pharmacie est à Levallois et je suis connu dans toute la ville. Et c’est ce qui me fait le plus rire quand je suis reconnu par des inconnus. Après seulement un mois et Demi dans le groupe de survie, Bruno est prêt à partir car il a “apporté son analyse et son bon sens” aux dix autres membres.

Parlez-moi de la fois où vous y êtes allé en vous promettant de ne pas y retourner. Mais maintenant que je suis là, je suis prêt à tout recommencer ! Après avoir vécu cela, je me sens complètement inaccessible. Cela vous endurcira, promet-il. Désormais, chaque fois que quelque chose de désagréable m’arrive, je me dis : “Je m’en fous, j’ai fait The Island”.

Laissons les pharmaciens faire leur travail, lance-t-il avec colère, avant de dévoiler quelques détails inquiétants sur les masques. Focus sur ces révélations « choc ». Dans sa dernière édition sur CNews et Non Stop People, consacrée uniquement à la pandémie, Jean-Marc Morandini a accordé des interviews au pharmacien Bruno Fellous et au docteur Martine Perez.

Le pharmacien est devenu tellement indigné qu’il a évoqué le sujet des masques, et la conversation a rapidement tourné au chaos. Laissons les pharmaciens faire leur travail, c’est ce que je dirais à Emmanuel Macron si j’étais devant lui en ce moment. Exaspéré par la tournure inattendue des événements, ce pharmacien dévoué est arrivé pour porter un coup à la réalité : les pharmaciens n’ont pas l’autorisation de vendre des masques.

Nous avons été mis de côté pour le moment. Nul ne peut se lancer dans la vente de masques. Je peux m’approvisionner en masques indépendamment du gouvernement. La plupart des pharmaciens y parviennent parce que la profession est fortement réseautée et hiérarchisée. Cependant, de nos jours, un pharmacien ne peut ni vendre ni acheter de masques. Je n’ai pas le droit de compter sur moi-même comme source de soutien.

Comme l’a dit le pharmacien.

Comment cela pourrait être possible? Comment se fait-il que les pharmaciens, dont le métier est d’aider le public, ne puissent plus vendre de masques ? Selon Bruno Fellous : Le gouvernement a voté une loi interdisant la vente de masques. Nous, les pharmaciens, pouvons les obtenir ; nous avons des lignes d’approvisionnement et tout.

Toute la journée, on nous propose des masques au prix standard du marché. Aujourd’hui, je reçois des SMS m’informant que je peux acheter des masques, que les fabricants répondent aux normes européennes et que tout le monde sait d’où viennent les fuites. Depuis l’apparition de cette maladie, je pense que cette controverse sur le masquage est la chose la plus choquante qui soit arrivée.

La politique gouvernementale en matière de masques est chaotique. Pire encore, Christophe Castaner voulait protéger les maires de l’emprisonnement pour avoir pris des ordonnances obligeant tout le monde à porter un masque en public. L’explication de Madame Sibeth NDiaye selon laquelle les Français ne peuvent pas les porter est déprimante, voire criminelle.

L’argent, arme de guerre ?

Outré par ces révélations, Jean-Marc Morandini presse ses deux interlocuteurs d’obtenir des explications complémentaires. Comment diable allons-nous y arriver ? Il semble que Bruno Fellous ait la réponse : le prix pourrait-il être juste ? Les Français sont-ils prêts à payer le prix plus élevé qui est en vigueur depuis un moment ?

La Chine est l’un des rares pays à réaliser une telle chose. En raison de la forte demande actuelle, les prix ont augmenté. Je voudrais demander au ministre français de la Santé Olivier Véran et au directeur de la santé Jérôme Salomon : “Pourquoi êtes-vous si contre le fait que les pharmaciens vendent des masques ?”

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