Sophie Goettmann Wikipedia – Ondine est la fille d’un éminent industriel et elle côtoie souvent les belles et les puissantes. C’est un dictateur et un trouble-fête aussi. Il vit nu et fait faire de même à tout le monde, notamment au bord de la piscine de sa maison de vacances, qu’il appelle le « haut lieu du libertinage ».
Sophie Goettmann est une dermatologue et chirurgienne spécialisée dans le traitement des affections liées au pied et à la cheville. Après avoir travaillé comme interne à l’hôpital de Paris et comme enseignante clinique à l’université, elle est aujourd’hui rattachée à l’hôpital Bichat où elle a fondé et dirige la Consultation Unifiée de Pathologie. Elle est vice-présidente du groupe Ongle au sein de la Société Française de Dermatologie.
Elle a contribué à l’Encyclopédie médico-chirurgicale sur les maladies féminines et est l’auteur de nombreux articles scientifiques nationaux et internationaux. Sophie Goettmann est dermatologue et chirurgienne spécialisée dans le traitement des affections liées aux articulations des doigts et des orteils.
Elle est actuellement chef de la consultation de pathologie unguéale à l’hôpital auquel elle est rattachée, l’hôpital Bichat à Paris, où elle a travaillé auparavant comme interne et comme professeur assistant de clinique.
Elle est vice-présidente du Groupe Ongle de la Société Française de Dermatologie. Elle a contribué à l’encyclopédie médicale et chirurgicale, ainsi qu’à de nombreuses conférences en France et à l’étranger, et est l’auteur de nombreux articles scientifiques aux niveaux national et international. Elle a grandi dans un foyer où la liberté et la nudité étaient la norme. Maintenant, elle équilibre son chéquier avec un sourire narquois.
Cette histoire a une intensité particulière, un cri de colère qui engloutit tout dans son sillage. L’histoire éthérée d’une jeune fille des années 1970 nommée Ondine qui se retrouve plongée dans un monde ressemblant à un film porno de Marc Dorcel avec une piscine, du champagne et des partouzes à chaque étage.
Chef d’orchestre de cette farandole sexuelle, Martial, le grand-père, riche industriel doublé d’un brillant intellectuel, toujours à l’affût de chaise fraîche et de nouveautés jouissives, comme ce lit à eau qu’il importe d’Amérique, promesse de un 7e ciel érotique. Tout ce que vous lisez ou entendez est vrai. Mais j’ai changé les noms parce qu’il fallait que ce soit élégant !
Pour ajouter l’insulte à l’injure, les enfants, bien qu’ennuyants, n’ont pas leur place dans ce monde d’adultes où les gens s’appellent et se livrent ouvertement à des activités sexuelles à la vue de jeunes enfants. Ondine ne peut que regarder cette sarabande exhibitionniste et doit se plier à l’exigence de ses parents de ne pas porter de jupe ni de short conformément aux principes « libérés » dictés par Gourou Martial. Sophie Goettmann déclare : «
Ce n’est pas moi qui ai décidé d’écrire ce livre. ; il s’est écrit tout seul.” J’ai récemment fait le lien entre des pièces que j’écrivais depuis des années. Tout ce que vous lisez ou entendez est vrai. mais j’ai changé les noms parce que c’est bien d’être élégant.
Mais les mots sont aussi choquants qu’une clochette. Car Ondine-Sophie, devenue experte en troubles ovariens, use de coups soignés et d’un tempérament bien maîtrisé pour interpeller le papa libidineux en proférant des commentaires cinglants lors d’un dîner en famille et en affichant fièrement les fesses de ses conquêtes de la soirée.
Elle en veut également aux parents qui ont laissé leurs enfants veiller sur la “communauté” échangiste et ont ainsi oublié leurs responsabilités parentales. Oh, quel culot pour le péril !
Ce climat a reçu un nom : l’incestuosité.
Depuis que le psychiatre Paul-Claude Racamier a décrit cette atmosphère en 1995, on lui donne un nom : l’incestuosité. “L’inceste, c’est le grand brassage des individus et des générations, la répétition de comportements errants”, fait écho Sophie Goettmann. C’est notamment un endroit qui rebute les enfants car on ne les trouve nulle part en particulier.
Au mieux, c’est une façon d’honorer ses parents. C’est grave puisque cela conduit à des gamins mentalement bloqués qui n’ont aucun intérêt à grandir. Plus tard, les suicides et les homicides se multiplient parmi les victimes. La force de caractère de la jeune Sophie est renforcée par son amour pour sa mère, Louise, affaiblie par une maladie articulaire débilitante.
Chaque femme prenait soin de l’autre. C’est ainsi qu’elle en est venue à poursuivre une carrière en médecine et à laisser libre cours à sa créativité à travers l’art, l’écriture et même des chansons comme « A petite boîte », qui rendent hommage à sa grand-mère bien-aimée.
S’il n’y a pas de violence, alors pourquoi est-ce que je me plains ? Goettmann est consciente qu’elle s’aventure dans un territoire inconnu et potentiellement offensant avec Waterbed. Même si Vanessa Springora (« Le consentement »), Flavie Flament (« La consolation ») et Camille Kouchner (« La familia grande ») ont fait un bon travail de mise en scène en évoquant les abus sexuels qu’elles ont elles-mêmes vécus, les Le problème avec l’incestuel, c’est que même si la sphère intime de l’enfant est outrageusement piétinée, il n’y a toujours pas moyen de passer à l’acte. Il n’y a donc rien de criminel ici…
Ils m’ont dit qu’il n’y avait pas de violence, alors j’ai dit : “De quoi me plains ?” s’emporte-t-elle. Ou alors, l’inceste est une force destructrice. Extrêmement lourd ! Faute de nom, elle n’est pas reconnue et la douleur endurée par des milliers de victimes est considérée comme injustifiée. Sophie Goettmann libérera sans doute une parole salvatrice lorsqu’elle gravira les abysses avec son livre inversé.
Entretien audio avec Sophie Goettmann à l’occasion de la parution de son deuxième livre, WATERBED, chez PLON. 45 minutes d’échange avec une femme médecin singulière qui a osé aborder le sujet de l’inceste, à la fois hautement traumatisant et largement méconnu.
“Je connais très bien le héros du livre. Je pense qu’il semble plus sophistiqué d’éviter le pronom personnel “je” lors de l’écriture. Mais c’est une histoire vraie basée sur des événements réels. Les yeux sont bleus, mais sont souvent masqués par des cheveux blonds. mèche. A la fois perçant et réconfortant. Il faut enfiler un jean. Et quelques bouddhas dans la pièce pour inspirer le calme tout en évoquant un sujet triste.
Sophie Goettmann a installé son cabinet médical au pied de la Tour Eiffel. La dermatologue n’est pas présente car les ongles ne sont pas son domaine d’expertise. Pourtant, dans son livre Waterbed (aux éditions Plon). Une dénonciation dure écrite comme un roman. Une histoire aux reflets d’humour écrite avec une plume émotionnelle.
Soyez attentif, sujet sensible. Sophie Goettmann est onychologue et entendre parler des opérations chirurgicales qu’elle a pratiquées sur les doigts de patients infectés ou cancéreux a de quoi faire tourner l’estomac. Pourtant, Vos Ongles, tout le monde (Ed. Actes Sud, 2020) ne parle pas tout le temps d’opérations hardcore.
Le médecin français évoque également l’histoire de la cosmétique, le lien entre l’oeil de bœuf et la santé à tous les niveaux (physique et mental), et les mythes et légendes
Tout d’abord, c’est une nouvelle choquante. En comparaison, les ongles des pieds poussent à un rythme de seulement 1 millimètre par mois, tandis que les ongles des mains poussent à un rythme trois fois supérieur. Pour cette raison, l’hémotype déshonorant peut prendre jusqu’à un an après avoir reçu une valise sur le grand orgue.
Autre donnée inattendue : le calcium n’a rien à voir avec la carie dentaire. Même les petites taches blanches en surface, liées à « une anomalie de la kératinisation », ne sont pas préoccupantes. Enfin, selon vous, qui est leur ennemi le plus bizarre ? Pas de peinture, pas de coups de marteau, mais de l’eau.
L’eau, ennemi perfide
Ces “va-et-vient de l’eau à travers l’ongle qui dédoublent les comprimés” sont la pire chose qu’on puisse imaginer, selon l’expert. Les acides et les alcalis modifient l’ampleur des dommages causés au ciment entre les cellules et aux protéines responsables du maintien en place des filaments kératiniques.
Cela explique pourquoi les ongles des nettoyeurs s’améliorent lorsqu’ils sont en vacances. Si vous souffrez d’une vision double ou, pire encore, si vos yeux commencent à tomber, un onychologue peut vous recommander de porter des lunettes.
En cas de décollement, le chirurgien pourra être amené à pratiquer une incision ras, ou au-dessus de la cuticule, dans le comprimé. Là, tu te brûles. D’accord, c’est logique. Parce que la fonction première de l’onglet est de protéger nos doigts et nos organes comme un bouclier miniature, sa disparition nous laisse particulièrement vulnérables. “Retirer l’écharde est la première étape du rétablissement”, assure le médecin aux patients anxieux. Il évite que les comprimés ne soient écrasés et que la sous-couche ne soit écrasée.
La négligence tue les malades
D’accord, mais pourquoi les doigts tombent-ils ? Souvent, nos mauvaises conditions de vie sont à l’origine de maladies inflammatoires comme le psoriasis. Vous faites votre jardinage à mains nues, puis vous frottez chacun de vos ongles à la chaux. Une idée terrible. Si la chaux tombait du lit et heurtait le comprimé, l’eau s’infiltrerait dans les fissures, provoquant le début des dégâts. La transparence d’un oignon tranché est perdue et l’oignon lui-même devient blanc.
L’équivalent est la cuticule, un pli de peau à la base de l’articulation qui agit comme un sceau. Il est d’usage de remettre les cuticules en place avec un bâton en bois. Au lieu de cela, le médecin suggère de les masser pour les remettre en place, car cela les aiderait à maintenir leur étanchéité. Sinon ? “Des lignes diagonales blanches apparaissent”, disent-ils.