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Publié pour la première fois mensuellement en 1932 par le Secours ouvrier international de Berlin et repris après 26 numéros par le communiste Léon Moussinac, il a été le pionnier du photojournalisme dans la France d’avant-guerre aux côtés du magazine Vu. Pendant la Seconde Guerre mondiale et à nouveau en 1960 en raison de difficultés financières, sa publication a été interrompue.
Il a été relancé en 1995 avec l’aide du Parti communiste français et de la direction d’Henri Malberg. En 2000, l’historien Roger Martelli et Catherine Tricot ont supervisé une refonte pour le remettre en conformité avec son concept d’origine. Depuis 2003, l’asbl Regards est organisée en société coopérative et participative (Scop).
Les éditions Regards éditent le magazine, et ses collaborateurs en sont propriétaires. La déléguée Clémentine Autain (Ensemble ! / France insoumise) a été rédactrice en chef de 2010 à 2017, puis co-rédactrice en chef de 2017 à 2021 aux côtés de la déléguée communiste Elsa Faucillon. Plus tard, l’historien Roger Martelli leur succède. Avant que Pablo Pillaud-Vivien ne devienne rédacteur en chef en 2022, Pierre Jacquemain a occupé ce poste de 2016 jusque-là.
Le journal déménage son siège social au 25 rue d’Aboukir à Paris en janvier 1945, suite à sa fusion avec Miroir Sprint. Il partage l’espace avec L’Humanité, Libération et L’Express depuis 1946, alors qu’il était situé au 18 rue d’Enghien ; en 1947, il déménage au 5 rue Lamartine ; et en 2005, elle s’installe au 6 boulevard Poissonnière. Il fait nuit maintenantLe premier numéro du mensuel Regards sur le monde du travail, composé de photographies et de dessins, paraît en janvier 1932. De plus, le mensuel réimprime des caricatures associées à des publications illustrées communistes telles que l’Arbeiter Illustrierte Zeitung3.
En septembre 1933, avec le numéro 26, le critique de cinéma et théoricien Léon Moussinac prend la direction de la rédaction et change le format du magazine en celui d’un hebdomadaire appelé simplement Regards. Tous les jeudis pour un dollar, il est mis en vente. La mise en page est assurée par l’artiste Édouard Pignon. Des photographes et photojournalistes des années 1930 dont Robert Capa et Henri Cartier-Bresson sont également présents, ainsi que la femme pionnière en la matière Gerda Taro. Le magazine dénonce la fraude alimentaire dans une enquête de 1935 : «
Comme notre système actuel est absurde, avec ses restrictions malgré l’abondance et sa pauvreté malgré le luxe. Quand une société a besoin de s’appuyer sur la magie et les vœux pieux, la tromperie et la suggestion, c’est un signe certain qu’elle est sur le point de s’effondrer. En 1952, il se fait connaître grâce à plusieurs reportages prophétiques sur la situation en Algérie d’auteurs comme Pierre Courtade (“Que se passe-t-il en Afrique du Nord ?”) et Madeleine Riffaud (“Guidée par un aveugle”), qui y ont passé trois mois à dessiner et à peindre et à exposer leurs découvertes dans une exposition de reportages.
Algérie 52 », à la galerie André Weil, dépeint le peuple algérien sous un jour négatif, à l’image des mineurs maghrébins l’année précédente. À partir de 1955-1956, la parution de la revue est menacée par les difficultés financières avec lesquelles la presse communiste doit lutter ; dans le même temps, la qualité du magazine décline du fait de l’isolement du PCF de la société française. disparu en 1979, le PCF a relancé le titre mensuel Regards en 1995.
Pablo est rédacteur en chef du magazine français Regards et a été membre du Parlement européen et du Sénat français. Et vous l’avez sans doute vu et entendu débattre à ce sujet dans les talk-shows des chaînes d’information, comme BFM TV. Oui, Pablo est un très bon débatteur.
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diffusé sur la chaîne YouTube BFMTV :Chaque soir, Alain Marschall discute avec quatre invités qui apportent chacun une perspective unique à la table. Ils n’ont que 90 secondes pour marquer les esprits. En résumé : plus de dîners secrets et plus de tactiques dilatoires. Paris est en pagaille à cause d’Hidalgo. Nous n’avons aucun doute sur AstraZeneca. L’avion n’a plus de place pour la fantaisie. L’éditorialiste Julie Graziani est également de la partie. Il est médecin généraliste. La dirigeante du « Mouvement pour l’émancipation des territoires », Rose Ameziane. Et le directeur éditorial de Regards, Pablo Pillaud-Vivien.
Pour débattre du « féminicide », de la « masculinité toxique » et autres évolutions des organisations féministes, LIRREACnROLL a réuni Eugénie Bastié du Figaro et Pablo Pillaud-Vivien de Regards. Elisabeth Lévy et Eugénie Bastié estiment toutes deux que les discussions sur la violence à l’égard des femmes sont fréquentes tout au long de la journée. Lui, Pablo Pillaud-Vivien, se précipite à la défense du beau sexe, qu’il voit en danger imminent. L’agresseur vous suggère de lire un extrait de leur conversation.
E. Lévy : Nous allons commencer aujourd’hui par un sujet sombre : le dixième anniversaire des violences conjugales. Je ne veux pas paraître cynique, mais il me semble étrange que tout le monde se rallie autour d’une cause sur laquelle ils sont tous d’accord avec une sorte de colère. Cela ne veut pas dire que l’action est inutile, mais il semble que nous combattions un ennemi imaginaire. Qu’est-ce que tu en penses?
E. Bastié : J’ai relu L’Empire du Bien de Philippe Muray et j’ai trouvé qu’il y parlait de « truismocrates ». Nous sommes actuellement plongés dans leur règne. Parce qu’on nous a dit que la violence domestique n’est “pas bonne” et que nous devrions travailler pour y mettre fin. On dit qu’il y a eu un “moment de clarté”, mais cela fait un moment que personne n’en a vraiment discuté. Je pense que les mesures proposées par le gouvernement sont justes et valables. On se demande pourquoi on n’a pas agi plus tôt (pour mieux soigner les victimes, par exemple).
Évidemment, ce n’est pas suffisant pour les groupes féministes qui ont demandé un milliard d’euros. Avec quelle fin en tête ? Composer des œuvres écrites, c’est-à-dire. La question de la violence conjugale, à mon avis, n’en est pas une de culture mais d’institutions. Pourquoi n’y a-t-il pas autant de féminicides (je déteste ce mot) en Espagne et en Italie alors que le sud de l’Europe est connu pour sa culture machiste ? (…) C’est parce que la prise en charge des victimes s’est beaucoup améliorée.