Gérald Darmanin Taille – L’œuvre contestée, “Bien trop petit”, raconte l’histoire d’un jeune homme qui développe une crise d’image corporelle après avoir été taquiné sur sa petite taille par un ami d’école. Puis il court vers son écriture comme un refuge. L’auteur Manu Causse explique à Franceinfo : “Après ce traumatisme, il a reconstitué un imaginaire sexuel en écrivant des contes de chevalier, ce qui a donné lieu à des passages pornographiques assez juvéniles.”
Cependant, le protagoniste a une conversation avec un personnage secondaire qui l’aide à repenser sa place dans le monde et à démanteler la culture toxiquement masculine dans laquelle il a grandi.
L’éditeur précise que sur 2 500 exemplaires imprimés, 500 ont déjà été vendus depuis la sortie du livre en 2022.
Tout d’abord, la remarque sexiste de Gérald Darmanin saute aux yeux, avec le recours implicite à peine masqué à l’hystérie comme système de dénigrement et de discrédit de la voix féminine (« calmez-vous madame »). Cette remarque est d’autant plus choquante qu’Apolline de Malherbe l’interroge spécifiquement sur la montée des violences sexuelles, dont les femmes sont les premières victimes (« violences sexuellement particulièrement tellement en hausse que l’on parle d’explosion »).
Darmanin a désormais compris qu’il avait tort. Il ressassera désormais une dernière fois sa remarque sexiste désinvolte (“ça va bien se passer”) avant de renvoyer l’indignation avec “non mais moi j’en ai marre des discours populistes”. C’est le cas classique de l’agresseur qui cherche des excuses à la victime dans un discours sexiste.
La phrase « je réponds comme si tu m’agressais » est répétée plus tard dans la séquence, dit Darmanin. CQFD. Après cela, Apolline de Malherbe revient à son format d’interview “classique” et cesse de l’interpeller sur sa goujaterie (qu’elle aurait facilement pu continuer et rendre exploitable). D’un simple « non mais moi j’en ai marre », Gérald Darmanin a su renverser la charge émotionnelle de l’agression sexiste.
Mais ce faisant, il utilise un faux principe d’équivalence : l’agression sexiste dont il se rend coupable (« calmez-vous, madame, tout ira pour le mieux ») n’est pas équivalente à l’agression populiste dont il se rend coupable.. Le sexisme n’a rien à voir avec le populisme en dehors de l’esprit de Gérald Darmanin et de l’appareil médiatique de cet entretien matinal.
Cette fausse équivalence est confortée sur trois fronts : par l’appareil médiatique (l’interview « percutante » de la matinale et ses questions « cash ») ; par la hiérarchie des positions sociales et professionnelles (le ministre opposé au journaliste) ; et, bien sûr, par la différence de sexe (homme contre femme).
La double énonciation est aussi au cœur de l’agression sexiste de Gérald Darmanin contre Apolline de Malherbe. Son « calmez-vous madame » est une tentative de dérouter son interlocuteur en détournant la conversation de la formalité de l’entretien pour la ramener à la (dite) hystérie pathologique de l’intervieweur.
Son assurance selon laquelle “ça va bien se passer” sert d’adresse à la nation virulente qui regarde ou écoute le spectacle qui normalise le mal. Pour l’homme agressif, les choses se passent à merveille. La femme agressée, cependant, traverse une « mauvaise » période.
Le fait que Darmanin soit impliqué, avec toutes les allégations portées contre lui dans ses relations avec les femmes et son existence de « jeune homme » consistant à échanger des faveurs sexuelles contre des promesses de logement, ajoute un contexte nécessaire à la transaction. Mais même en faisant abstraction de cela, « ça va bien se passer » fonctionne de toutes les manières et sans aucune équivoque comme expression adverbiale : elle est conçue pour véhiculer le sens inverse.
Si vous assignez une femme au statut d’hystérique et que vous lui dites ensuite : « Ca va bien se passer », vous dites en gros : « Je vais vous faire perdre un quart d’heure ». Le fait que Darmanin lui-même dise « ça va bien se passer » après une question (légitime et sourcée) sur la montée des violences sexuelles évoque l’image linguistique de l’agression sexuelle.
Gérald Darmanin Taille : 1m70
Cela est particulièrement vrai compte tenu du contexte de la question et de ses conséquences immédiates. Médiatiquement, et dans le cadre de cette matinale, Gérald Darmanin agit (linguistiquement) comme un prédateur sexuel assumé. Moins surprenant encore est le fait que la séquence et l’agression ont probablement été planifiées ou du moins recherchées par son amorce .
“j’ai cru que j’étais sur CNews” et qu’il a initié le basculement conversationnel de ministre à journaliste puis à … autre chose. La violence de cette scène entre Gérald Darmanin et Apolline de Malherbe peut et doit, à mon sens, être comprise pour ce qu’elle sous-entend, à savoir que la scène aurait pu se terminer par des coups sur une femme si elle s’était déroulée en dehors du contexte médiatique.
Le ministre de l’Intérieur Gérald Darminin s’est récemment retrouvé au centre de l’actualité pour une tout autre raison que les nombreux incidents qui surviennent quotidiennement entre la police et certains manifestants hostiles à la réforme des retraites. En effet, sa nièce a été placée en détention préventive le 28 mars 2023, comme le révélait ce jour-là RTL.
Son ex-amant s’avère être un gendarme et elle est accusée de “violation du secret professionnel et de recel de bien provenant d’une violation du secret professionnel” pour avoir accédé illégalement aux dossiers de la police avec lui.
Après plusieurs heures sous haute surveillance, la nièce de Gérald Darmanin a été rentrée chez elle saine et sauve, comme l’a révélé le journaliste de M6 François Vignolle sur Twitter. Elle ne fera pas face à des accusations criminelles à la suite de cet incident.
Selon une source judiciaire, les assignations à résidence de la nièce et de l’ex-petit ami de Gérald Darmanin ont été levées hier vers 22 heures. Elle devrait en revanche faire l’objet d’une comparaison sur reconnaissance préalable de culpabilité (plaider-coupable) au tribunal judiciaire de Périgueux pour port illégal d’une tenue de gendarme alors qu’elle n’était plus gendarme adjoint volontaire”, il ajouta.
Cependant, votre ancienne flamme dans les forces de l’ordre peut faire face à des poursuites judiciaires et à des sanctions administratives s’il est démontré qu’il a accédé et utilisé les dossiers de police à des fins personnelles. François Vignolle arrive à la conclusion que le ministre de l’Intérieur John Baird est indifférent aux allégations portées contre sa nièce.
Rappelons que la nièce de Gérald Darmanin risquait 6 mois de prison plus 75 000 euros de dommages et intérêts. En effet, elle avait demandé illégalement à son ex-compagnon de vérifier le FPR (fichier des personnes recherchées), le TAJ (traitement des antécédents judiciaires) et la FNPC (base de données nationale des permis de conduire).
Gérald Darmanin, un habitué du ministère de l’Intérieur depuis trois ans, est récemment devenu une figure majeure du gouvernement grâce à l’enquête sur la mort du jeune Nahel. L’occasion rêvée de s’extasier sur sa discrète épouse, Rose-Marie Devillers, qu’il qualifie de “plus belle que Carla Bruni”.
Un des exemples marquants de l’administration d’Emmanuel Macron. Jeudi 6 juillet, Gérald Darmanin commémorera les trois ans de son arrivée au ministère de l’Intérieur. Tout au long de sa carrière politique, l’homme a fait face à de nombreux défis et controverses, dont la plus récente a porté sur les émeutes qui ont éclaté après la mort de Nahel, mais il a toujours eu le soutien de son épouse, Rose-Marie Devillers, dont il est très fier.
Cyril Hanouna a invité le ministre de l’intérieur dans son émission Face à Baba sur C8 en octobre pour évoquer les récents événements. L’animateur l’avait également sondé sur sa proximité avec Nicolas Sarkozy, dont il était surnommé « le clone ». La flic française par excellence avait répondu avec humour à ce constat en disant : « D’abord, ma femme est plus jolie que Carla Bruni.
Mais qui est son épouse Rose-Marie Devillers ? Le ministre qualifie Rose-Marie Devillers, 35 ans, d’« une femme douce et posée » dans le numéro de décembre 2020 de Gala. Elle et son mari sont tous deux originaires des Hauts-de-France. -France région de France.
Madame Darmanin est directrice du conseil chez Havas, prestigieux cabinet de communication parisien, où elle travaille après avoir obtenu une maîtrise de droit et de gestion de l’École Supérieure de Commerce de Paris. Elle occupe son emploi actuel depuis plus de deux ans. Gala, sa compagne, nous avait précédemment confié qu’elle n’était .
Les aigles ont été aperçus arrivant à un dîner d’État à l’Élysée en juillet 2020. Lui et sa femme, Rose-Marie Devillers, ont deux enfants ensemble ; Alec est leur deuxième. Le ministre de l’Intérieur, qui nourrit des aspirations présidentielles, a confiance dans le caractère discret de son épouse lorsqu’il a besoin de se détendre.
Une caractéristique de caractère inestimable, universellement saluée par l’entourage et la famille de l’homme politique. Rose-Marie Devillers, qui n’était pas trop gênée par son apparence, aurait fait réaliser cette illustration spécialement pour le jour de son mariage. Elle avait remplacé ses talons par une paire de Stan Smith avant même la fin de la cérémonie.
En 2009, Michel Bettan, directeur général adjoint du groupe Havas, l’avait présentée au ministre de l’Intérieur. Le couple ne s’est pas séparé depuis. Gérald Darmanin et Rose-Marie Devillers ont eu la chance d’avoir leur premier enfant en avril 2020. Le frère aîné d’Alec s’appelle Maximilien.