Abbé Pierre Dufour Aujourd’hui – Quinze ans de prison pour l’abbé Dufour L’ancien curé de Saint-Jean-de-Maurienne, Pierre Dufour, 71 ans, a récemment été condamné à 15 ans de prison. Au moins une dizaine de personnes se sont manifestées pour dire qu’il a commis “des violences et des agressions sexuelles” à leur encontre. Cinq d’entre eux avaient été recrutés pour la défense civileNouvelles : En octobre 2020, la Commission indépendante sur les abus sexuels cléricaux a révélé qu’au moins 216 00 victimes avaient été blessées par des membres du clergé sur une période de sept décennies.
La vérité a finalement éclaté sur Pierre Dufour, prêtre de la vallée de la Maurienne, lorsque deux hauts responsables du SDF ont porté plainte contre lui pour voies de fait en 2003. Le vicaire épiscopal a reconnu sa culpabilité pour avoir abusé sexuellement d’enfants dès le 1960. Pierre Dufour est reconnu coupable en 2006 et condamné à quinze ans de prison par la cour d’appel de Chambéry.
En mai 2006, la cour d’assises de Chambéry a condamné l’abbé de Saint Jean de Maurienne et vicaire épiscopal de Savoie, le révérend père Pierre Dufour, à 15 ans de prison pour agression sexuelle et abus de pouvoir. En fait, le prêtre avait attaqué des garçons et des jeunes hommes dont la stabilité émotionnelle avait été affaiblie par des problèmes familiaux. Il n’y a d’abord eu que des rumeurs sur la situation. L’Église avait rejeté sans suite deux enquêtes préliminaires parce qu’elle avait longtemps refusé de croire à de telles actions. Christophe Hondelatte revient sur les événements et s’entretient avec les personnes impliquées, comme la juge en charge du dossier, Hélène Gerhards, et une paroissienne de l’abbé Dufour, Andrée El Hadeuf.
Date : 28 mai 2006, Chambéry (Apic) Vendredi, un tribunal de Chambéry a condamné l’ancien vicaire épiscopal savoyard Pierre Dufour, âgé de 71 ans, à 15 ans de réclusion criminelle. Il a été reconnu coupable de “viols et agressions” contre de jeunes adultes.Lors de son audition, l’abbé de Saint-Jean-de-Maurienne, Pierre Dufour, a déclaré : « Aujourd’hui, je reconnais en toute conscience le mal que j’ai pu causer. Son avocat a déclaré qu’il ne ferait pas appel du verdict.
Au moins une dizaine de jeunes adultes, dont cinq ayant intenté une action en justice, ont accusé l’homme d’Eglise de violences ou d’agressions sexuelles. Le tribunal s’est concentré cette semaine sur l’abbé. Les relations homosexuelles de Dufour à partir de 1993 plutôt que les événements des années 1960 (il est également accusé d’avoir perpétré des attouchements sur des enfants lorsqu’il était jeune prêtre). (apic/ag/bb)
International Catholic News Service (apic), 28 mai 2006
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En fait, le prêtre avait attaqué des garçons et des jeunes hommes dont la stabilité émotionnelle avait été affaiblie par des problèmes familiaux. Il n’y a d’abord eu que des rumeurs sur la situation. L’Église avait rejeté sans suite deux enquêtes préliminaires parce qu’elle avait longtemps refusé de croire à de telles actions. Christophe Hondelatte revient sur les événements et s’entretient avec les personnes impliquées, comme la juge en charge du dossier, Hélène Gerhards, et une paroissienne de l’abbé Dufour, Andrée El Hadeuf.L’abbé Pierre Dufour, 71 ans, vicaire épiscopal de Saint-Jean-de-Maurienne, comparait dès aujourd’hui devant le tribunal des ânes de Savoie pour “viols et agressions sur personnes vulnérables” (agressions sexuelles).
L’abbé Pierre Dufour, 71 ans, vicaire épiscopal de Saint-Jean-de-Maurienne, comparaît aujourd’hui devant le tribunal des ânes de Savoie pour “violes et agressions sexuelles sur personnes vulnérables par des personnes en position d’autorité”. Cinq hommes, dont un jeune prêtre, ont rejoint la fonction publique. Cependant, la leçon a prouvé que Pierre Dufour avait une flopée de victimes à son nom. Certaines personnes ne pourront pas obtenir justice parce que les faits pertinents sont prédéterminés. D’autres, par honte ou par dégoût, ont probablement choisi de se taire.
En effet, l’homme d’église sévit dans la vallée de la Maurienne depuis près de quarante ans, vivant de la confiance de la majorité de sa congrégation grâce à la perception de son charisme et de sa générosité. La communauté catholique savoyarde a été stupéfaite et confuse par son emprisonnement en 2003.
Une face “jour” et une face “nuit”.
Les premiers cas documentés d’agressions sexuelles sur des mineurs remontent à 1963. “A la fin du sermon, il voulait que nous restions pour qu’il puisse nous donner à chacun une médaille. “Il m’a agressée sexuellement”, raconte l’une des victimes. Le curé a aussi maltraité des enfants de choeur Mgr Ulrich, évêque de Chambéry, reconnaît aujourd’hui que l’abbé Pierre Dufour a agi comme “un prédateur se présentant d’un côté le jour et de l’autre la nuit”.
Le prêtre s’était approché de jeunes hommes troublés avant de les interroger. Il proposa de les garder et d’utiliser l’argent pour subvenir à ses besoins. Il a dit à ses victimes qu’il le faisait pour leur propre bien parce qu’il voulait qu’elles « retrouvent la paix intérieure ». Pierre Dufour, craignant d’être démasqué, n’a pas hésité à recourir à la violence : Un jeune homme agressé a révélé : « C’est lui qui a dit : « Je te casse la mâchoire si tu parles.
Les enquêteurs ont confondu Pierre Dufour puisqu’ils ont trouvé des preuves d’ordres adressés à un SDF. Me Cathy Richard, avocate en contentieux civil, déclare : “C’est l’un des pires pervers et manipulateurs que j’aie jamais rencontrés dans ma carrière.” Selon le ravitailleur lui-même, ses victimes ont donné leur permission. Les psychiatres disent que l’accusé est “un homme intelligent, doté d’une personnalité perverse et d’un mécanisme de déni par rapport à la gravité des faits”.
Les parents de Sébastien ont porté plainte contre le curé dès 1995. Leur fils avait dénoncé l’attitude de l’abbé. Entre-temps, Sébastien, étudiant en médecine de 20 ans, a commis suicide. L’événement tragique s’est produit en 1997.Les parents de Sébastien se sont plaints pour la première fois du comportement du prêtre en mars 1992, en écrivant à Mgr Claude Feidt, alors évêque de Chambéry. De plus, il incite les parents de Sébastien à voir le prêtre « pour parler franchement » avec lui, en écrivant : « Depuis votre lettre, j’ai prié spécialement pour votre fils et pour vous ».
Alain Gilodi affirme que « Dufour est la cause du suicide de mon fils », malgré le fait que sa proposition de constitution de participation civile ait été rejetée. Dès l’âge de 14 ans, il l’a détruite psychologiquement. Non seulement cela, mais la hiérarchie de l’Église a fermé les yeux alors qu’elle aurait pu éviter d’innombrables victimes supplémentaires.
C’est le bon moment pour passer en revue les grands scandales de pédophilie qui ont secoué l’Église catholique en France et ailleurs au cours des années 1990. Les principaux prélats de l’Église catholique se sont réunis à Lourdes en 2021 et ont annoncé une série de mesures drastiques pour lutter contre l’épidémie de maltraitance d’enfants au sein de l’Église, tel que détaillé dans le rapport Sauvé. Le genre de choix audacieux qui montrent une toute nouvelle façon de penser.
Après deux ans et demi d’enquête, le 5 octobre 2021, à Paris, en France, la Conférence épiscopale française, les ordres religieux et les congrégations ont reçu les conclusions de la commission sur la maltraitance des enfants au sein de l’Église catholique. Étaient également présents des représentants de groupes de défense des victimes. Depuis 1950, dit-il, au moins 330 000 enfants ont été tués. De plus, pendant cette période en France, entre 3 000 et 4 000 prêtres et autres chefs religieux se sont suicidés alors qu’ils servaient l’Église catholique. Estimations basées sur un total de 115 000 membres du clergé ou religieux vivant au Royaume-Uni dans les années 1960.
Les scandales de pédophilie au sein du clergé ne sont pas exclusifs à la France. Depuis le tournant du millénaire, les victimes d’agressions sexuelles se sont exprimées par dizaines de milliers pour exposer le problème répandu. L’Australie, les États-Unis, l’Irlande, l’Allemagne, le Brésil, etc. ne sont que quelques-uns des pays où les scandales ont fait la une des journaux, souvent des années après les événements eux-mêmes.
L’un des anciens étudiants de Hans Hermman Gror (1919-2003) a publié dans un magazine autrichien des allégations selon lesquelles le défunt professeur s’était livré à des inconduites sexuelles avec des étudiants et en avait fait son amant pendant quatre ans. Le prêtre démissionne immédiatement mais n’offre aucune défense.Alors que des cas de pédophilie à l’intérieur de l’Église étaient jusqu’à présent traités de manière confidentielle, plusieurs ont récemment été révélés. Plusieurs prêtres et chefs religieux sont testés. L’abbé Bissey, exerçant dans la banlieue de Caen, est accusé d’une série d’actes de violence et d’agressions sur mineurs survenus entre 1985 et 1996. Le 6 octobre 2000, il est condamné à 18 ans de prison.