Matthieu Dessertine Age – L’acteur, réalisateur et auteur français Matthieu Dessertine est connu pour des films comme Godard Mon Amour, Ma Sacrée Jeunesse et Testostérone : Volume Trois. Au revoir, et merci pour tous les mèmes. En 2023, Matthieu Dessertine aura 1 an.
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La ville natale du Français Matthieu Dessertine est Paris.Matthieu Dessertine et Matthieu Dessertine sont des prénoms qu’il porte depuis sa naissance.Il suit les cours préparatoires du Cours Florent de 2003 à 2005, puis la classe ouverte du Cours Florent de 2005 à 2007. Les années 2007-2010 le voient s’inscrire et se perfectionner au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique.
La carrière de Matthieu dans le show business a débuté avec un petit rôle de Un copain de Rachel dans le court métrage du même nom de 2006.Ses talents d’acteur, de réalisateur et d’écrivain transparaissent dans des œuvres comme “Testostérone : Volume Trois”, “Godard Mon Amour”, “Ma Sacrée Jeunesse” et “Quoi on Joue”.
Les crédits d’acteur de Matthieu incluent “Les rivières pourpres”, dans lequel il incarne Bastien. avec Vojslav dans “The Whistle”, montrant l’étendue de ses capacités d’acteur.
Sa filmographie comprend des classiques tels que La Divine Comédie de Dante, Ma Sacrée Jeunesse et L’Enfer de Dante.?? Quelle sur Joue ? est un court métrage que Matthieu a écrit et réalisé en 2020.
La résidence de création, qui a débuté le 1er août et se terminera le 30, sera à mi-parcours lorsque nous appellerons Matthieu Dessertine. Lors des répétitions à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, tout le monde participe à l’aménagement de la salle, à la construction des décors et à l’aménagement des espaces.
Le collectif Pampa, composé de douze artistes, présentera cette année trois nouvelles œuvres. la littérature de Sophocle aux frères Grimm en passant par Dennis Kelly. Par ailleurs, deux compagnies invitées (Guten Tag, Madame Merkel d’Anna Fournier et Je m’en vais mais l’État reste d’Hugues Duchêne) présenteront des œuvres, ainsi qu’une reprise de la production à succès de l’année dernière, L’Ours de Tchekhov.
Diplômé du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) en 2015, le jeune artiste révélé par Olivier Py, notamment dans Orlando ou l’impatience, et ses partenaires créatifs ont planté Pampa sur ce théâtre de terre vierge en 2015. Le groupe voit désormais les résultats de leurs efforts après sept ans et peuvent anticiper les changements futurs.
Je me demandais d’où venait l’idée du festival et quelles étaient vos premières réflexions.
Matthieu Dessertine : A notre sortie du conservatoire, nous étions trois. J’ai écrit des pièces de théâtre collaboratives que nous pouvons jouer. Nous avons débuté notre tournée dans la Gironde, la région natale d’Anthony Boullonnois. Au début, nous étions un groupe nomade qui jouait dans les bars et les restaurants.
Puis, sans avoir la notion de festival en tête, nous avons souhaité présenter nos spectacles et chercher des lieux pouvant nous accueillir. De nombreux artistes du Conservatoire National mais aussi de l’ESAD, de l’ENSATT et du TNS nous ont rejoint au fil des années.
Il nous a fallu quelques années d’errance pour trouver cet endroit, et maintenant nous faisons de notre mieux pour en faire une tradition annuelle. Nous nous sommes vite rendu compte qu’il n’y avait pas beaucoup de spectacles live dans la région. En remettant en question ce que nous avions appris depuis la sortie des écoles nationales et en revenant à une forme non pas de précarité mais de simplicité, nous avons pu convaincre les locaux et les aider à se sentir suffisamment à l’aise pour participer à la création du festival.
Tout dans nos productions, des scénarios que nous choisissons aux décors et costumes que nous créons, est le produit de nos propres mains. Quel que soit le nombre de réalisateurs d’un projet, il s’agit toujours d’un effort de groupe.
Vous promeuvez « faire du théâtre autrement » comme thème du festival dans la littérature.
Matthieu Dessertine : Cela dépasse le cadre du temps de représentation conventionnel. Nous avons atteint notre objectif de créer un espace accueillant où des personnes d’horizons différents peuvent profiter des mêmes spectacles et avoir des conversations significatives à leur sujet.
Nous avons des spectateurs qui, s’ils le souhaitent, peuvent donner un coup de main pour remorquer ou monter des animations. Ce type de battage de groupe s’étend bien au-delà des murs qui enferment habituellement nous, les artistes. Le festival a lieu l’été, mais nos relations avec les locaux se poursuivent tout au long de l’année.
Les décisions artistiques sont définies par ces paramètres et processus. Lorsque les gens viennent, à quoi ressemblent vos spectacles ?
Matthieu Dessertine : Nous visons un maximum d’éclectisme. Toutes les limites, nous disions-nous, étaient à notre portée. Des performances techniquement exigeantes et purement scéniques font partie de notre répertoire.
Nous n’avons jamais cherché à nous imposer un ensemble de règles rigides, et c’est un facteur de motivation majeur. L’apport du public et les besoins des équipes créatives peuvent ainsi êtrepris en compte.
En plus de ma pièce de Sophocle cette année, je mettrai également en scène une pièce de Dennis Kelly. L’envie de revenir à l’essentiel, de mettre en scène l’écriture, est forte aujourd’hui. Nous espérons continuer à interpréter les œuvres de ces maîtres, mais plus de temps en résidence nous permettrait de mieux développer et peaufiner nos productions.
Nous avons beaucoup de chance d’avoir le soutien de la DRAC, de la région et du département. Notre objectif principal pour les prochaines années est de sécuriser un emplacement « permanent » et d’y construire un théâtre pouvant être utilisé pour des répétitions toute l’année, pour accueillir des compagnies de théâtre en visite et pour accueillir des ateliers et des résidences d’auteurs.
Nous avons également récemment conclu l’étape Valras de notre tournée pour La Vie de Galilée aux Nuits de l’Enclave. Gilbert Barba, l’un des codirecteurs du festival, y a implanté un « centre dramatique villageois » qui sert de hub à près d’une trentaine de communautés.
Par rapport à lui, nous espérons en établir un à cet endroit. Avoir un théâtre accessible comme celui-ci permettrait aux compagnies de différentes villes de se réunir au même endroit.
Le festival se présente comme ayant une composante « pépinière ». Comment avez-vous mis cela ensemble ?
Les bénévoles ont eu la chance de produire leur propre spectacle depuis trois éditions, grâce à Matthieu Dessertine. Nous mettons gratuitement à leur disposition un emplacement, des techniciens, des stands et tout le matériel nécessaire.
Ces enfants sont scolarisés et ont à peu près le même âge que nous lorsque nous avons commencé le festival. Cette année, nous accueillons également un petit groupe d’étudiants de l’ESTBA qui nous donneront un aperçu de leur présentation de voyage scolaire.
Que retenez-vous d’un pari qui n’a pas été immédiatement réussi à l’heure où vous vous préparez à lancer la huitième édition du festival ? Y a-t-il une place à notre époque pour des idées comme la vôtre ?
M. Matthieu Dessertine: Les deux, car nous aurions dû abandonner après les sept premières années si nous n’avions pas accepté le risque inhérent à notre démarche. Il est important que les gens sachent d’emblée que nous ne gagnons pas d’argent pendant les cinq ou six premières années de ce festival.
Ce n’est qu’à partir des deux derniers numéros que nous avons commencé à rémunérer nos artistes et techniciens. Nous sommes satisfaits de ce que nous avons accompli, mais nous sommes conscients que tout cela pourrait être mis en péril en un instant si certaines subventions étaient supprimées.
La procédure a été longue et éprouvante, et nous n’avons pas encore gagné un salaire respectable ; mais il est vrai que les institutions nous suivent et que la fréquentation augmente. La communauté a été transformée grâce à nos efforts. Cela suffit à nous convaincre de revenir.
Un renard français si délicieusement adorable qu’on aura envie de lécher l’écran après l’avoir contemplé : Matthieu Dessertine… Ça devrait être Matthieu “Dessert-Time !!!” Matthieu a débuté sa carrière au cinéma avec une série de courts métrages peu après avoir obtenu son diplôme du Conservatoire national supérieur d’art dramatique (CNSAD) en 2006.
Ce petit Français aux joues de bubble-gum est devenu un nom connu après avoir été choisi comme personnage principal du 13 -épisode de Diane – Crime Fighter. Avec son physique instruit, mince et bronzé, on comprend pourquoi il attire autant au box-office, mais il est également assez accompli dans le monde du théâtre, étant un incontournable de la scène dans toute la France depuis le début des années 2000.
Sa carrière d’acteur décolle en 2016, lorsqu’il décroche des rôles dans des films comme Godard Mon Amour (2017), un biopic de Jean-Luc Godard, et Ma sacr?e jeunesse (2016), un film indépendant en noir et blanc. Cet étalon a connu une année sexuelle record en 2016
il nous a montré pour la première fois sa queue ridiculement épaisse et magnifique dans le court métrage 1992, faisant de nous des fans de cet artiste marqué par la beauté, aux fesses bombées et “doué” sous la ceinture. L’avoir juste pour “Dessert-Time” serait dommage, alors espérons qu’il s’impliquera dans davantage de projets de ce côté-ci de l’étang. En tant qu’Américains, nous avons un dessert à chaque repas, et Matthieu répond parfaitement à cette attente.