Mort Vendanges Champagne – L’industrie champenoise a enregistré quatre décès la semaine dernière. Lorsqu’une canicule inhabituelle s’est abattue début septembre, les vendangeurs ont dû travailler dans les champs en plein soleil, à des températures supérieures à 30 degrés Fahrenheit, en plein cœur des vendanges.
La présence de ces quatre meurtres a été signalée pour la première fois par L’Union, qui affirme que les quatre victimes étaient originaires de la Marne. On a émis l’hypothèse que la chaleur extrême était à l’origine de ces décès inattendus.
Le parquet de Châlons-en-Champagne a reconnu auprès de TF1/LCI police-justice que “deux hommes sont morts ces derniers jours alors qu’ils étaient aux vendanges dans notre région”. Deux des quatre cas concernaient des victimes de Châlons-en-Champagne.
Sur la base des résultats de l’examen médical, les autorités n’ont constaté aucune activité criminelle ni ordonné une autopsie. Deux jours après avoir été malade dans les vignes, un homme s’est déclaré malade et est désormais hospitalisé, tandis qu’une dame a été retrouvée morte à son domicile. L’enquête a été close.
Il est possible que la situation empire encore à cause du changement climatique.
À Rilly-la-Montagne, un homme de 19 ans a été la quatrième victime d’une chute d’un enjambeur, une sorte de tracteur agricole. Une autopsie mardi a été indiquée par ce dernier, laissant penser à une enquête plus approfondie.
Selon le procureur de la République de Reims, cela « ne démontre aucun traumatisme lié à la chute de l’enjambeur. Les investigations sur les causes du décès sont actuellement en cours. Des recherches sont en cours pour connaître les conditions de travail du défunt au jour du décès. la tragédie.
Y a-t-il suffisamment de protection dans les vignobles pour éviter que de telles catastrophes ne se produisent ? À cette période de l’année, la Champagne doit faire appel à environ 120 000 saisonniers pour terminer les vendanges, mais certains syndicats s’inquiètent du fait que ces travailleurs ne soient pas suffisamment protégés en cas de canicule.
Le chef de l’Inspection du travail de la CGT, Anthony Smith, a prévenu que la situation pourrait s’aggraver en raison du changement climatique sur RMC. Les inspecteurs du travail français sont impuissants à interrompre les activités extérieures en raison de la chaleur extrême.
La fenêtre de récolte des raisins est généralement raccourcie par la plupart des vignerons pendant les vagues de chaleur. En raison de la chaleur, la récolte se fait à la machine plutôt qu’à la main, ce qui permet des opérations de nuit, car les humains ne peuvent pas récolter dans l’obscurité sans risquer de se blesser en trébuchant sur des épines ou d’autres objets pointus.
Les parcelles du vignoble champenois sont le théâtre d’un événement dramatique. Vendredi 8 septembre, un vendangeur de 19 ans est décédé des suites d’un épuisement dû à la chaleur. Selon les informations fournies par le parquet de Reims à France Bleu, une enquête a été ouverte pour connaître les circonstances de son décès.
Quelques heures plus tard, alors que son mari est allé voir le saisonnier, l’homme lui a répété qu’il allait bien avant de s’évanouir « subitement ». Depuis des décennies, ce vigneron s’appuie sur une équipe de vendangeurs dévouée. Elle ressent un immense chagrin et dit : « Je suis responsable parce que j’ai embauché ce pauvre jeune homme ». J’aurais pu éviter de l’avoir avec moi si je ne l’avais pas embauché.
En septembre, trois personnes ont été tuées alors qu’elles cueillaient du raisin.
Depuis, la perplexité règne : “Je ne sais pas s’il avait chaud, je ne sais pas ce qui s’est passé. Il n’y avait absolument aucune raison pour qu’il tombe”, sanglote-t-elle. Même si les vignes ont été exposées au plein soleil vendredi et que les températures ont été exceptionnellement élevées, son territoire n’était pas sous alerte orange caniculaire. Les employés, dit le propriétaire, sont informés “qu’ils doivent boire” et ont accès gratuitement à “de l’eau, des bouteilles, des jerrycans”.
Le parquet de Reims axe son enquête sur les conditions de travail du jeune homme. Lundi, les autorités ont procédé à une autopsie du vendangeur qui a été retrouvé mort, et elles analysent actuellement les résultats pour déterminer la cause de sa mort. Au moins trois autres vendangeurs sont morts dans le vignoble de la Marne lors de la canicule début septembre, selon la préfecture du département contactée par France Inter.
Il y a actuellement environ 120 000 saisonniers dans les vignobles champenois. Quatre d’entre eux sont décédés des suites d’un arrêt cardiaque depuis les premiers coups de sécateur début septembre. Il existe plusieurs enquêtes actives sur les causes de ces décès. Ils étaient tous dans la quarantaine, ces quatre individus.
Le jeune homme a connu une chute inverse un vendredi après-midi alors que les températures en Champagne atteignaient 34 degrés. Son employeur, le propriétaire du vignoble, affirme qu’il “ne se sentait pas très bien” plus tôt dans la journée. Pour protéger son identité, elle déclare au micro de France Bleu : “Si tu veux, tu peux arrêter”. Il est clair que ce dernier aurait dit non.
Salutations, Actu Justice et Random Data disant : “Cela n’est jamais arrivé auparavant”, les vendanges champenoises ont coûté la vie à quatre intérimaires en raison d’un arrêt cardiaque.
Quatre intérimaires des vendanges champenoises se sont effondrées et sont décédées d’un arrêt cardiaque ; un responsable a déclaré : “Cela n’est jamais arrivé auparavant.”
Quatre personnes apparemment en bonne santé ont péri lors des vendanges champenoises depuis début septembre. Ce bilan effrayant de mortalité semble s’alourdir.A titre d’exemple, en septembre 2017, des saisonniers ont récolté près de Bordeaux.
Il y a actuellement environ 120 000 saisonniers dans les vignobles champenois. Quatre d’entre eux sont décédés des suites d’un arrêt cardiaque depuis les premiers coups de sécateur début septembre. Il existe plusieurs enquêtes actives sur les causes de ces décès. Ils étaient tous dans la quarantaine, ces quatre individus.
Tous les raisins de Reims, Épernay et Vitry-le-François ont été vendangés à la main par ces personnes. Un Polonais de 45 ans et une femme d’une quarantaine d’années figurent parmi les morts ; cette dernière a été découverte par ses collègues, inconsciente, au milieu des vignes le premier jour des vendanges.
Le président du syndicat général des vignerons, Maxime Toubart, s’est dit préoccupé par le nombre récent de décès durant cette période. Il s’agit d’un événement historique ; personne n’a jamais vu quelque chose de pareil auparavant. En effet, c’est le plus chaud qu’il ait jamais été. Ce ne sont pas des températures de récolte auxquelles nous sommes habitués”, a-t-il expliqué.
Que les gens aient accès à l’eau est pour nous une priorité absolue. “On vendange plus tôt et on fait des pauses pour faire le plein”, a expliqué le président du syndicat général des vignerons. Vous n’avez pas besoin d’un certificat médical ni d’une visite pour cueillir des raisins. Un minimum d’outils est nécessaire, que le vigneron est responsable de fournir.
À titre exceptionnel, un vendangeur peut y consacrer jusqu’à 72 heures par semaine. Chaque fois qu’il travaille cinq heures d’affilée, il bénéficie de 15 minutes de congé et d’une heure pour le déjeuner.
Quatre vendangeurs en Champagne ont été tués depuis début septembre. Dans chaque cas, un arrêt cardiaque, probablement provoqué par la canicule, a été à l’origine du décès.
Un désastre survient lors des vendanges début septembre. Depuis le 1er septembre, date du début des vendanges en Champagne (dans les départements de la Marne, de l’Aisne et de l’Aube), quatre salariés sont décédés des suites d’un arrêt cardiaque. Le journal local L’Union émet l’hypothèse que les températures élevées ce jour-là (mardi 6 septembre) (lorsque l’indice de chaleur atteignait plus de 32 degrés Fahrenheit à l’ombre) pourraient avoir joué un rôle dans leur mort.
Il y a eu deux morts dans la région de Châlons-en-Champagne, comme l’a confirmé le parquet local. Ces derniers jours, deux gars ont perdu la vie lors de récoltes dans notre région. Dans un communiqué de presse, il a affirmé que « le personnel médical d’urgence n’a signalé aucune circonstance suspecte et n’a pas ordonné d’autopsie ».
Les syndicats appellent à une vigilance constante
L’ancien inspecteur du travail de la Marne Anthony Smith a protesté sur France 3 en disant : « On verra ce que donneront les enquêtes, mais quatre décès suite à » On dégringole vers les vignes, ” poursuit-il, ” donc c’est dramatique et grave. Personne ne s’exprime non plus. Les accidents du travail, les coups de chaleur, le scénario dramatique sont autant de choses sur lesquelles nous alertons depuis très longtemps.
De même, Maxime Toubart, président de l’organisation générale des vignerons, déplore le nombre de travailleurs “qui ne se rendent pas compte du danger” de ne pas boire suffisamment d’eau par temps chaud. Mais il dit de ne pas s’inquiéter car “les employeurs font ce qu’il faut et fournissent de l’eau”. Il m’a également assuré que le syndicat qu’il représente serait en état d’alerte.
Des crises cardiaques ont coûté la vie à quatre vendangeurs champenois depuis le début de la saison. Un inspecteur de la sécurité des travailleurs tire la sonnette d’alarme après avoir été témoin de cette tragédie. Il souhaite que les experts soient informés des dangers associés aux températures extrêmes.
Depuis début septembre, quatre saisonniers ont perdu la vie lors des vendanges champenoises. Nos confrères syndicaux nous informent que quatre décès sont survenus le long de la Marne la semaine dernière ; deux d’entre eux se trouvaient à Rilly-la-Montagne, près de Reims, et les deux autres à Chavot-Courcourt, non loin d’Epernay. Une autre victime, un homme d’une quarantaine d’années, est tragiquement décédée près de Vitry-le-François. Elle a été découverte morte par ses camarades joueurs. Les températures dans la région auraient atteint plus de 32 degrés, ce qui serait à l’origine de ces décès.
Le responsable syndical au ministère du Travail, Anthony Smith, a quelques réflexions sur ces événements. Pour sonner l’alarme, il a écrit : « Je réagis en tant que responsable syndical » et l’a publié sur Twitter. Il est vrai que nous avons traversé une période de chaleur extrême et que nos activités actuelles comportent de graves dangers.
En raison du changement climatique, la capacité d’arrêter toutes les activités est cruciale. Quatre décès en une semaine dus à des arrêts cardiaques ont donné lieu à des enquêtes, dont les résultats sont encore attendus. C’est une pièce dramatique et lourde.
Rien n’est dit alors que nous nous emmêlons tous dans les vignes. Comme les syndicats, je sers de système d’alerte précoce et de centre d’information. Cela fait longtemps que nous avons commencé à tirer la sonnette d’alarme sur les coups de chaleur et autres dangers sur le lieu de travail. Ce qui se passe ici est assez grave.
Le président du Syndicat général des vignerons, Maxime Toubart, suit également de près cette situation pour tenter d’y donner du sens. Il y a eu quatre arrêts cardiaques mortels sur 120 000 personnes récoltant en Champagne, a-t-il précisé.
C’est trop, mais on ne peut nier que la météo constitue une plus grande menace. Une hydratation insuffisante peut avoir des conséquences désastreuses. Il leur est conseillé de prendre leur temps, mais certains préfèrent faire avancer les choses rapidement.
La nécessité de faire preuve de prudence sera ancrée dans nos esprits, mais en fin de compte, il appartient à chaque individu d’exercer cette prudence. Les personnes en position d’autorité donnent de l’eau potable et agissent de manière éthique.
Il est crucial que les directives soient respectées. Malheureusement, nous avons constaté qu’une minorité importante de personnes n’apprécie pas le risque. Il nous est impossible de toujours les sauvegarder. De plus, les cas présentant ce degré d’intensité thermique sont rares. Dans l’histoire du Champagne, les mois de septembre n’ont jamais été aussi volatiles.
Cependant, Anthony Smith estime que “l’activité doit être arrêtée en cas de chaleur extrême”. Si l’entreprise ne le fait pas, alors l’agence gouvernementale chargée de superviser les droits des travailleurs devrait pouvoir le faire. Il y a une crise majeure ici.