Alice Dufour Taille – Le 22 février 1987, Alice Dufour est née à Saint-Lô. À sept ans, elle a déjà atteint un niveau professionnel en gymnastique rythmique. Quelques années plus tard, elle est localisée et retourne au commissariat d’Orléans. Alice Dufour a remporté trois fois le titre de Championne de France de National B Senior : en 2008, 2009 et 2010. Parallèlement, elle se décide à débuter sa carrière de mannequin. Entre 2008 et 2010, elle danse également avec le Crazy Horse.
C’est dans le film Beauté Fatale de TF1 en 2009 qu’elle fait sa première apparition à la télévision. Elle a également un petit rôle dans la série de fin de soirée de Canal+ Pigalle. Cependant, Alice Dufour poursuit sa carrière sur scène. En 2011, elle est devenue une partie de la production de Los Angeles d’Iris par le Cirque du Soleil.
Elle revient une fois de plus sur les petits écrans, après avoir été castée dans la saison 3 de la série Hard de Canal+. En 2015, elle s’est fait un ami sur le plateau en la personne de François Vincentelli. L’année suivante, on la retrouve dans le film Alibi.com de Philippe Lacheau. En 2021, elle reprendra son rôle de super-héroïne dans un autre film réalisé par Philippe Lacheau.
En plus de son travail sur Faisons un rêve et Le Canard à l’Orange, Alice Dufour est apparue dans plusieurs autres œuvres théâtrales. Elle a reçu le Prix Molière du Nouveau Talent Féminin en 2019. Elle se produira dans le rôle principal de Mademoiselle Else au Théâtre de Poche Montparnasse de septembre 2020 à janvier 2021.
En ce jour de 2023, François Vincentelli aura 49 ans. En l’honneur de l’événement, revenons sur la vie de l’acteur, en nous concentrant sur sa relation avec Alice Dufour et leur adorable fille. François Vincentelli et sa bien-aimée Alice Dufour ont accueilli une fille, qu’ils ont prénommée Colette, le 28 décembre 2021. Depuis la naissance de leur bébé tant attendu, les deux tourteres ont élu domicile dans un petit nuage. Ils aiment tellement leur fille qu’ils publient constamment des photos et des vidéos d’elle en ligne. Elle a beaucoup grandi l’année dernière.
Colette s’est débarrassée de sa bouille d’allaitement et s’est épanouie en une douce petite fille au cours des derniers mois. Elle fait fondre le cœur de ses parents et de tous ceux qu’elle rencontre avec ses petits cheveux rebondissants et ses grands yeux bleus. Le 25 décembre, la petite amie de l’acteur a partagé deux nouvelles images de leur fille en l’honneur de la fête. Dans les bras de sa maman, la petite fille porte une belle robe noire aux manches bouffantes et un large sourire aux lèvres. La deuxième photo montre Colette portant un foulard renné tandis que la première a des motifs d’étoiles et de lune tissés dans le tissu.
Colette n’avait que 4 mois lorsqu’Alice Dufour a publié de tendres clichés sur sa beauté en avril 2022. La petite fille n’arrivait plus à rire alors qu’elle se blottissait contre la poitrine de son père. Elle était complètement chauve et bien potelée à l’époque. Selon la légende, sa mère aurait vu une ressemblance avec son père, notamment au niveau des pieds. Nous avons rencontré Alice Dufour, mieux connue par sa scène sous le nom d’Alice Parisy et en tant que membre du casting de Mugler Follies. La jeune femme nous a parlé de devenir actrice et de son quotidien avec le casting.
Maison Schweppes ou Villa Schweppes : Qui êtes-vous, et pourriez-vous vous présenter comme Alice ?
Auteur Alice Dufour : Dans la vraie vie, je m’appelle Alice Dufour et j’ai 27 ans. Je suis employée aux Mugler Follies depuis leur ouverture en septembre 2013. Pour l’instant je ne suis qu’une petite Parisienne qui s’appelle Alice Parisy, mais dans peu de temps je serai connue sous le nom de La Patronne. La saison 3 de la revue est sur le point de commencer, ce qui implique des changements de casting. AD : Oui, en fait c’est l’histoire d’une jeune danseuse qui est recrutée pour l’émission. Par conséquent, l’intrigue tourne entièrement autour d’elle et de sa quête.
AD : Oui ! Comme le Lido ou le Crazy, Manfred (ndlr : le créateur a repris son prénom pour cette production) voit les fourmis comme un clin d’œil et un clin d’œil aux conventions de la revue. Le personnage connu sous le nom de Morphose (à cause des grandes plumes sur sa tête) dit “oh mais tu es ennuyeux, tu es tous pareils et tu es tout noir”, d’une manière très discrète. Nous organisons donc simultanément nos vêtements et choisissons d’adopter une nouvelle personnalité.
AD : Je fais de la gymnastique rythmique depuis 16 ans. Moi aussi, j’ai passé trois ans à jouer le Crazy Horse. Après cela, j’ai décroché un emploi au Cirque du Soleil à Los Angeles, où j’ai joué dans leur spectacle Iris. Je peux jouer de façon comique aussi. Mon plus récent concert d’acteur était sur Canal +’s Hard.
Comment se déroule le casting ?
Publicité : “Manfred aime les flashs !” Il va développer un béguin pour certains traits physiques, comme la longueur de son cou. Alotta est le membre le plus rond et le plus petit de la distribution, et elle est vraiment magnifique. Il y a 25 artistes sur scène, il a donc recherché 25 individus très différents. Nous, les danseurs, sommes tous assez semblables les uns aux autres, mais tous les autres ont des personnalités tellement uniques !
Le casting est très traditionnel. Bien sûr, les gens évalueront vos talents de danseur, mais vous aurez également besoin d’une chose ou deux. Par exemple, je fais des acrobaties aériennes et je chante. L’un file le fil, l’autre grésille… Aujourd’hui, il faut un Pole Dancer. En fait, j’appelle (rires).
Une fois que vous y êtes, un personnage est créé à votre image, n’est-ce pas ?
AD : Oui, les grandes lignes sont fournies par Manfred. Instantanément, ses yeux captent tout ce qui se passe. Rien n’est laissé au hasard lors d’une conversation avec lui. Ici vous pouvez voir où j’ai obtenu mon maquillage “chrome”. Il n’arrêtait pas de me répéter que j’avais des yeux “acier, acier”. L’observateur détermine la personnalité et le développement de l’artiste en observant le travail de l’artiste.
AD : Là, nous allons entrer dans une nouvelle phase créative en rafraîchissant le spectacle. Il va prendre une semaine de repos. On travaillera donc 10 à 19 heures par jour pour s’entraîner. Les textes, les chiffres, la gestion, la technologie et l’éclairage seront revérifiés. Nous veillerons à ce que chaque détail soit précis au millimètre près. Pendant les heures typiques, nous arrivons dans l’après-midi et répétons le processus entre 15 et 16 heures. Ensuite, le spectacle commence à 19h30. et se termine à 2 h 45. Nous mettons en place un maximum de six ou sept jours par semaine, selon l’occupation du bureau. Habituellement, les gens le découvrent une semaine à l’avance.
Alice Dufour, plus connue sous son nom de scène Joujou, est la reine de la pole dance dans la troisième saison de l’émission Hard de Canal+. Elle entretient actuellement une relation engagée avec François Vincentelli, plus connu sous le nom de Roy La Poutre. Alice Dufour campe Joujou, la mascotte féminine de Soph’X, dans la saison 3 de Hard sur Canal+. Quelqu’un qui a échoué à l’école mais qui est vraiment bon en pole dance. Cependant, l’intrigue dans la vraie vie est très différente. La jeune actrice a beaucoup accompli au cours de ses 27 ans. C’est aussi une danseuse talentueuse qui a fait le bonheur de l’équipe nationale de gymnastique.
Triple championne de France de gymnastique rythmique
La petite normande, née à Saint-Lô, commence la gymnastique rythmique alors qu’elle n’a que sept ans. Son enfance est dominée par le ballon et le cerceau. Ce n’est qu’en 2007 qu’elle remporte le championnat de France de national B. Il est impossible d’ignorer ses prouesses en gymnastique et sa plasticité. Le 6 décembre 2008, elle fait ses débuts sur scène en tant que Jad’or. Pour elle, une vie nouvelle et différente commence aujourd’hui.
Wild Horse, le Sun Show et les extravagances de Mugler
Douze heures de pratique de gymnastique rythmique par semaine, plus deux représentations en soirée chaque semaine… Pendant les trois prochaines années, Alice Dufour jonglera entre sa carrière de danseuse au Crazy Horse et son appartenance à l’équipe nationale de gymnastique. Rien ne peut l’empêcher de reconquérir ses deux titres de champion de France.
Entre 2011 et 2012, Alice a incarné Scarlett dans la production d’Iris à Los Angeles par la célèbre compagnie de théâtre québécoise Cirque du Soleil. Après sa tournée mondiale, la danseuse rejoindra le casting de Mugler Follies à la Comédia de Paris en 2013. Elle fait partie des 25 acrobates, magiciens et ventriloques qui se produisent tous les soirs dans un théâtre art déco récemment rénové pour transporter le public dans un monde surréaliste et burlesque.
Le making of du documentaire sur le tristement célèbre cabaret parisien est rediffusé sur France 3 Ce soir, France 3 diffuse un documentaire de Mireille Dumas explorant la face cachée du Crazy Horse. Le célèbre cabaret est un temple de la précision, dédié à l’art nu, et les danseurs sont triés sur le volet avec une rigueur absolue. La plus convoitée de toutes, Jade Or, nous présente les vrais critères de sélection.
Personne ne croit qu’une chaloupe lascive, une perruque fluo et un string en cristal peuvent transformer une jeune femme en danseuse du Crazy Horse. Dans le processus de casting, il existe des critères esthétiques qui excluent immédiatement les candidats. Avant tout, les femmes doivent mesurer entre 1,66 et 1,72 mètre. J’étais gavé jusqu’aux branchies (1,66 m) !
Jade Or, alias Alice Dufour, 23 ans, est championne de France en titre de gymnastique rythmique et travaille professionnellement depuis deux ans. Les filles portent des talons sur mesure sur scène pour donner l’impression que leurs pieds ont la même taille. Quant à la poitrine, elle doit être galbée mais pas trop volumineuse. Pas de têtes refaites parce que “ça bouge mal”, comme le dit Jade Or.
C’est clair comme le jour une fois que les lumières s’allument. Personne ne peut tromper les gens maintenant que nous sommes si proches d’eux. Seules les rhinoplasties sont autorisées par la direction. Il n’est pas rare de faire refaire le nez des danseurs pour que leurs traits captent plus de lumière. Le jeune Normand ajoute : « Les danseuses doivent avoir une beauté particulière, pas forcément un visage parfait. Il y a une “beauté folle”, et surtout, nous sommes tous différents.