Antoine Dupont Père Malade – Le chef de l’équipe de France, le Père Antoine Dupont III, a manqué une journée d’entraînement à Capbreton. Le demi de mêlée du Stade Toulousain sera absent jusqu’à dimanche pour régler quelques affaires personnelles. Il est vrai que le commandant du XV de France a abandonné Capbreton pour la France à la recherche des siens.
Le premier match du Tournoi des Six Nations des Bleus aura lieu le 5 février en Italie et Dupont (25 ans et 43 sélections) sera disponible pour jouer. Son oncle Jean-Luc Gales, qui l’a présenté pour la première fois à Castelnau-Magnoac, a vanté ses capacités innées d’autodéfense, affirmant que les utiliser lorsqu’il est en fuite est pour lui une seconde nature.
Après qu’il ait marqué trois ou quatre essais tout seul, nous étions sur le point de le supplier de continuer à marquer. Sa nature charismatique incluait un comportement porcin occasionnel. Cette chose a un moteur. Son genou droit a été grièvement blessé lors des Six Nations 2018, mais il a fait un retour à l’automne.
Baptiste Couilloud, Lyonnais de 25 ans et 11 sélections, a été exclu de la liste initiale de 42 joueurs de l’entraîneur Fabien Galthié pour le Tournoi des Six Nations en raison d’une maladie au cou qu’il a contractée début janvier. Galthié comptait néanmoins sur lui pour les deux entraînements de vendredi.
Léo Coly (0 sel, 23 ans), jeune natif de Montpellier, est absent depuis au moins un mois pour une maladie ischiatique, mais il revient samedi à Montpellier pour faire le plein. Baptiste a consulté un médecin parce qu’il soupçonnait une hernie cervicale ; le médecin lui a dit que ce n’était pas lui qui avait causé cette maladie et qu’il devait éviter de le faire.
Après seulement deux semaines de repos, nous l’avons emmené pour qu’il puisse jouer ce week-end avec son club, a déclaré l’entraîneur des trois-quarts français Laurent Labit. Le capitaine de l’équipe de France de rugby, Antoine Dupont, a dû manquer le match de jeudi pour pouvoir retrouver sa famille.
Le Lyonnais Baptiste Couilloud change inopinément d’équipe et rejoint les Bleus. Antoine Dupont est libéré des Capbreton Blues alors qu’ils se préparent à jouer contre l’Italie. Le skipper a manqué les entraînements de cette semaine car il est rentré chez lui pour passer du temps avec sa famille ce week-end.
Dimanche soir, lorsque les joueurs auront congé, il sera de retour. Son poste est occupé par le Lyonnais Baptiste Couilloud. Lors du Grand Chelem, Couilloud (25 ans, 11 sélections) était classé troisième meilleur demi de mêlée dans la hiérarchie, après Dupont et Lucu. Il reprendra l’entraînement demain.
Un récent mal au cou pourrait cependant permettre à Léo Coly de prolonger son séjour dans les Landes. Une déchirure du ligament croisé antérieur est survenue mardi lors de l’entraînement du Montpelliérain. Son retour sera retardé jusqu’à six semaines. Dès lors, Couilloud est devenu le meilleur choix disponible.
Fabien Galthié et son équipe ont autorisé quatorze joueurs à disputer le Top 14 ce week-end. Léo Coly, blessé, est inclus ici aux côtés de notables tels que Bécognée, Boudehent, Camara, Chalureau, Cretin, Cros, Jolmes, Priso, Barassi, Bielle-Biarrey, Gailleton, Hastoy et Lebel. La nouvelle tentative d’humour pseudonyme de Toto.
Le remplacement de l’Italie à la 43e minute le 30 août lors de son dernier match de préparation à la Coupe du monde ne s’étant pas bien passé, Antoine Dupont doit prendre le risque de jouer seul contre un adversaire faible. Crochet intérieur, accélération, et on vient d’écraser l’adversaire sont trois mots qui définissent le mieux cette phrase.
Après avoir rejoint l’équipe d’entraîneurs des Bleus, le champion de France en titre et demi de mêlée finisseur exceptionnel Fabien Galthié a enchaîné trois essais après avoir rejoint l’équipe. Le Stade Toulousain, équipe française, l’a utilisé 21 fois la saison précédente, et il a répondu avec 10 essais et.
Au moment où le club star du XV de France reviendra au Japon pour se présenter aux élections, il aura 22 ans. Si sa mère, une « Mapé » qui travaille comme infirmière psychiatrique à l’hôpital de Lannemezan, réussit, il poursuivra ses études. Avec un Bac S et une certification en management du sport à son actif, il affronte le maître avec férocité.
Cette critique venait d’un adversaire, et elle était difficile à repérer dans ses commentaires polis en raison de sa jeunesse agitée. Pour se remémorer le passé, il faut se rendre à Castelnau-Magnoac, petite ville de la périphérie du Gers qui compte 789 habitants au dernier recensement. Pour Antoine et ses proches, l’Hôtel Dupont s’apparente davantage à une résidence permanente.
Son frère aîné Clément avait trois ans d’avance sur lui, et le bâtiment emblématique de la famille fait désormais office de bureau de poste et de point de repère dans la communauté. L’hôtel deux étoiles compte une trentaine de chambres. Le gérant actuel de la Place de l’Estelette est le grand-père d’Antoine, Pierre Dupont.
Depuis son décès en 2011, notre entreprise a connu une croissance fulgurante et notre patriarche a commencé à acheter un terrain à côté de la ville et une ferme en périphérie. Jean, un de ses fils, travaille comme chef au restaurant. Les Magnoacais le considéraient comme un personnage fascinant.
Après la naissance de leur fils Antoine, Jean et son beau-frère Jean-Luc Gales a décidé de réaliser le potentiel inexploité de la ferme. Deux des hommes ont identifié les porcs comme étant gascons. Il y a quinze ans, en 2015, la race était en danger d’extinction, mais grâce aux efforts de conservation, elle a été restaurée avec succès.
Peu après la disparition du grand-père en 2012, l’hôtel Dupont tombe brutalement, au moment où naissait le porc noir AOC de Bigorre. Selon Clément Dupont, la maison était devenue trop chère à entretenir. Le gouvernement local a finalement décidé de racheter l’entreprise pour des raisons encore inconnues.
Prêtre blessé, Antoine Dupont Le demi de mêlée de l’équipe de France, qui vient d’être désigné joueur le plus utile du tournoi, nous a invités à dîner. Il nous donne un aperçu de son parcours et de ses objectifs pour le rugby. Il est clair que cet endroit est coincé dans le passé.
Un dimanche, Antoine Dupont, 24 ans, nous accueille chez son frère Clément, qui exploite l’exploitation porcine d’origine familiale dans la commune pyrénéenne française de Castelnau-Magnoac.
Le jeune est catégorique : il faut que ses coéquipiers gagnent, comme au rugby. Nous en faisons désormais la promotion à travers un collectif appelé Collectif Padouen, qui signifie « le pré-communal » en patois.
L’aménagement ouvert de la maison est le résultat de l’utilisation de bois de cerisier, de châtaignier, d’orme et d’acacia. Lorsque le joueur le peut, il revient jouer à nouveau. Mais juste avant l’église dont le clocher surplombe la canopée des arbres se trouve le terrain d’entraînement de l’équipe de France de rugby.
Après que l’équipe française de 15 joueurs ait dominé les Six Nations (4 victoires en 5 matches), tout le monde attendait l’explosif Antoine Dupont, qui brise les tacles et décroche le titre de joueur du tournoi. Un jeune homme, calme et maîtrisé, passe la soirée avec les siens avant de repartir le matin vers Marcoussis.
Grâce à la jeune exubérance du « surdoué » Antoine Dupont et à sa volonté de transgresser les règles, les citoyens de Castelnau-Magnoac, dans les Pyrénées françaises, ont été les premiers à encourager le XV de France lors de la Coupe du monde au Japon.
On se souvient tous de ce blond au visage rond et de son ballon”, a rappelé feu Bernard Verdier, maire de Magnoac et co-gérant du Magnoac FC (MFC) avec le défunt oncle du joueur, l’abbé Laguillony.
Jo Do Carmo, gérant de la taverne qui se trouvait autrefois là où se trouve aujourd’hui le célèbre hôtel-restaurant du grand-père du rugbyman Pierre Dupont, se souvient avoir vu le petit Pierre Dupont et son frère aîné Clément jouer dans les environs.
A l’entrée, une immense affiche “Bravo Antoine” est accrochée à côté d’une banderole annonçant la finale du Top 14 (Toulouse-Clermont), et derrière une vitre sont encadrées des photos des adversaires européens du Stade toulousain, le club du fils prodigue du pays.
On rit à l’idée que son frère Clément « fixe les règles » et « soit en concurrence constante » avec lui. En l’honneur de l’affection d’Antoine et de sa conviction que son succès était dû aux « duels », « trois contre deux » et « trois contre trois » auxquels il participait. En d’autres termes, l’opprimé était toujours du côté des perdants. le score parce qu’il « jouait contre les plus gros » ou qu’il était souvent surclassé.
Sa mère, Marie-Pierre Dupont, lui a chargé d’assumer la responsabilité de son frère de trois ans. Elle se souvient que tous les mercredis, il l’emmenait au stade pour faire des blagues aux professeurs. Les elfes continuent : “Après cela, il est devenu membre du groupe.
Le 13 septembre 2019, Clément Dupont a rejoint ses frères et sœurs Antoine et Marie-Pierre en tant que plus jeune enfant de Marie-Pierre et Clément à Castelnau-Magnoac (Hautes-Pyrénées), France. Crédit image : Laurent DARD/AFP/Archives.
La “passion de toute la famille pour le rugby” des enfants de Mme Dupont est encore présente dans son esprit, puisqu’elle se souvient qu'”une centaine d’entre eux se rendaient chaque jour au stade à vélo”. “. Les lapins prennent le bus jusqu’à Lannemezan (à environ 25 kilomètres) pour s’entraîner.
Antoine Dupont était désormais officiellement respecté de tous les membres de l’équipe. Kevin Guerrero, ami, voisin et coéquipier de Kevin depuis qu’ils étaient enfants, se souvient qu’à l’époque, “il était +gaz+ (rapide) avec une longueur d’avance dans la vision du jeu”.
L’entraîneur du MFC, Laurent Laruez, dit d’Antoine, malgré son attitude initiale de “patron”: “Il avait déjà une bonne technique de passe”. De plus, note Laruez, “avec les petits, il n’y a pas de positions prédéterminées”.
Racontez-moi, Clément, comment il a « aiguisé et affiné » des qualités naturelles comme la vitesse, les appuis bas rendus possibles par son gabarit et la compréhension tactique. Jean-Philippe Guerrero, premier entraîneur d’Antoine, le décrit comme “doué, précoce avec une certaine fluidité”.
Il était bien décidé à faire le voyage à Toulouse. Vers l’âge de cinq ou six ans, il demanda à son oncle des maillots de Frédéric Michalak et Clément Poitrenaud pour qu’il puisse jouer au football comme l’un de ses entraîneurs actuels.
Mme Dupont a préféré le centre d’entraînement d’Auch (42,1 milles) au stade de Toulouse (97 km) en 2011. “Une ambiance favorable s’est créée. Le sibLing était là. Cela ressemblait plus à une réunion de famille qu’à une fête toulousaine, si cela peut avoir un sens.
L’ancien propriétaire d’Auch et actuel entraîneur de Colomiers (Pro D2) Julien Sarraute se souvient du “gamin discret qui “n’a jamais raté une séance d’entraînement en quatre ans”.