David Hotyat Femme – Selon les accusations, David Hotyat est un vrai dur à cuire, tandis que son ex-compagne, Alexandra Lefèvre, est une fausse doudou. L’accusation est que David Hotyat est un vrai dur et que son ex-petite amie, Alexandra Lefèvre, est une fausse molle, et elle se lève pour présenter sa version des faits devant la cour d’appel de Haute-Savoie. Enceinte de six mois, elle tient à peine le coup lorsqu’elle se lève pour présenter sa version de l’histoire au tribunal des ânes de Haute-Savoie. Le président autorise une augmentation.
Elle prétend que M. Hotyat a conçu le plan d’élimination de la famille Flactif après avoir vu un reportage sur Alfredo Stranieri, qui purge une peine d’emprisonnement à perpétuité pour avoir assassiné de nombreuses personnes afin de ruiner leurs entreprises. Elle et les Haremzas ne s’attendaient pas à ce que le mécanicien, habitué aux pires rodomontades, en réalise une. Sur un ton sarcastique, elle se moque d’une femme âgée qui finit par paraître crédible en disant : “J’y croyais pas”.
Le matin du 12 mai 2003, David Hotyat la réveille et lui dit : « J’ai tué tout le monde : les trois enfants, Graziella et Xavier ». Même si elle s’est réveillée avec “une très mauvaise odeur de brûlé” sur ses vêtements (les cinq corps avaient été incinérés), elle affirme toujours refuser d’accepter la vérité.
Mme Lefèvre fait l’objet d’une enquête non pas pour un mais pour cinq infractions (appelées « délits » en français). L’un de ses deux avocats, le très efficace Grégoire Lafarge, a jusqu’ici réussi à repousser les accusations portées contre son client.
Mais maintenant, nous voyons les extraits d’un reportage de TF1 tourné dans la colonie de Hotyat début mai 2003, alors que les Flactif avaient pratiquement disparu. Devant la caméra, Alexandra est au premier plan, tandis que David est bien en retrait.
A l’heure de libérer Xavier Flactif, le chien du boxeur ressemble soudain à une odieuse pin-up de village : juste un poil trop loin, beaucoup trop bavard, et complètement incontrôlable dans sa vulgarité. Son ami a admis l’avoir tué il y a 15 jours, mais son nom revient sans cesse comme pour renforcer la théorie de la « fuite ». Florilège :
Le peuple est ses esclaves ; c’est une fraude. Toute la crasse qu’il a faite, s’il était tombé sur un Corse il flotterait dans l’océan avec un caillou sur la tête. comme on dit. Cet élan de haine a submergé les passifs. Me Lafarge tente de sauver le plus important, sa cliente demande pardon et prétend qu’elle n’était pas “dans son état normal”, mais signe révélateur, le procureur général Philippe Drouet, qui d’habitude ne recule devant aucune audience et au contraire, il cède souvent à l’afféterie, ne pose aucune question approfondie.
Si Alexandra Lefèvre dit vrai, son ami pense que tout est un décor de série télé. Le piège cyclique l’a rattrapée cette fois, et elle succombera inévitablement à ses effets dévastateurs sur les poussées du “Sept à huit”. Pourtant, est-il possible de se relever après un tel coup de grâce ? Après elle, Stéphane Haremza brise le statu quo en admettant son rôle dans un assassinat et en étant reconnu coupable du crime, un peu comme David Hotyat, l’éternel.
Ses jouets rouges, son français approximatif et son esprit touchant ont tous fait mouche. Son intelligence est bien trop élevée pour qu’on le soupçonne de machiavélisme. Pour justifier de ne pas savoir où l’on va lorsqu’on accompagne David Hotyat, qui a apparemment abandonné le 4×4 du Flactif, inventez-vous des excuses du genre : “Je ne savais pas qu’il y avait un aéroport à Genève” ?
D’ailleurs, M. Haremza s’adresse directement aux parties civiles à de nombreuses reprises : tenant dans sa main gauche un mouchoir en papier, ruisselant de sang, il s’écrie presque : « Je regrette de ne pas avoir dénoncé tout cela, j’avais peur qu’on m’accuse de ce drame.” Je suis l’homme le plus gentil du monde. Si j’avais su quelque chose le 11 avril, j’aurais agi différemment.
Je comprends pourquoi les familles sont si en colère contre nous ; c’est une blessure qui ne guérit pas. Mais je peux les regarder dans les yeux et être sincère : s’il vous plaît, pardonnez-moi. Sur le banc des parties civiles, la même voix qui il y a à peine une heure traitait Alexandra Lefèvre de « salope » relève la tête : « Vous êtes vos enfants !
(1) Dissimuler une activité criminelle, ne pas empêcher de nouvelles activités criminelles, détruire des preuves et établir de faux contrats de caution afin de saisir le domicile de l’une des victimes sont autant d’exemples de (1).
Mercredi 14 juin, la cour d’appel de Haute-Savoie a entendu les témoignages d’Alexandra Lefèvre, complice présumée de David Hotyat dans les meurtres en avril 2003 de cinq membres de la famille Flactif, et de Stéphane Haremza, complice présumé du mari de Hotyat.
David Hotyat Femme : Alexandra Lefèvre
Le rôle d’Alexandra dans le meurtre présumé, par David Hotyat, âgé de 33 ans, de cinq membres de la famille Flactif dans leur chalet du Grand-Bornand, en Haute-Savoie, le 11 avril 2003, n’est pas clair. Elle risque jusqu’à dix ans de prison pour « association de malfaiteur ». Les proches des victimes pensent qu’Alexandra est un diable déguisé qui a aidé David Hotyat à commettre ses crimes. De son point de vue, elle se comporte comme une victime de la violence de son partenaire.
À 17 ans, elle rencontre David.
Alexandra, fille unique d’une famille bourgeoise du Nord, est dotée d’une intelligence moyenne. Un BEP en secret suit sa multiplication par quatre de sa classe de cinquième. Alors qu’elle n’avait que 17 ans, elle épousa un homme nommé David Hotyat. Ils ont eu deux enfants ensemble, nés tous deux en 1998 et 2000.
Elle nous a dit qu’elle ne pouvait pas s’arrêter parce qu’elle ne savait pas comment le faire. Si elle avait dit « stop », le processus menant au meurtre se serait arrêté. Viviane, la mère d’Alexandra, se souvient d’une enfant “jamais malheureuse” qui a grandi pour devenir “une bonne mère” en racontant l’histoire au bar. Il semble que David Hotyat, “un impulsif qu’Alexandra craignait”, soit à l’origine du problème.
Je vais tuer le grand méchant loup.
Viviane donne également une explication au racisme de David envers son voisin afro-américain Xavier Flactif : “Il était toujours en colère contre Flaccid et menaçait de tuer le grand Noir” Alex subit une transformation complète après le drame. La mère se souvient encore que sa fille « se met à fumer, à boire et à sortir tous les soirs à la boîte », qu’elle prend des petits amis et que c’est « David Hotyat qui garde les enfants ».
Le 16 septembre 2003, Alexandra sera interrogée par la police et David avouera avoir tué les cinq personnes par jalousie. Stéphane Haremza, mécanicien de 30 ans, risque d’être incarcéré à vie pour comportement délictueux, tout comme David Hotyat. Il est recherché pour « complicité d’assassinats ».
Il crie au juge : “David Hotyat avait une influence sur moi ; j’étais un bon cochon ; il m’a manipulé.” Les experts l’ont décrit comme “immature, doté d’une personnalité influente”. Les accusés doivent être interrogés sur les événements de jeudi et vendredi.
Le personnage le plus compliqué de ce procès est Alexandra Lefèvre, 26 ans. On ignore quel rôle il a joué dans le meurtre, le 11 avril 2003, des cinq membres de la famille Flactif dans leur chalet du Grand-Bornand (Haute-Savoie), par David Hotyat, 33 ans. Elle risque jusqu’à dix ans de prison pour « association de malfaiteur ».
Les familles des victimes considèrent Alexandra, qui se présente comme une victime de son compagnon violent, comme une figure diabolique ayant instrumentalisé Hotyat. Elle joue dos au terrain. Elle ressemble à une femme enceinte car elle porte une tenue moulante et un maquillage minimal. Selon le psychiatre, elle n’est pas dangereuse. Alexandra, fille unique d’une famille bourgeoise du Nord, est dotée d’une intelligence moyenne.
Elle multiplie son cinquième par quatre puis passe et réussit un BEP secrétariat. Elle épouse David Hotyat alors qu’elle n’a que 17 ans après l’avoir rencontré lors d’une fête. Ils ont eu deux enfants ensemble, nés tous deux en 1998 et 2000. Selon le célèbre psychiatre Pierre Lamothe, “sa relation avec son compagnon est un mélange de soumission névrotique et de dissimulation ; envers Hotyat, elle affiche un air enfantin attachant”.
Elle nous a dit qu’elle ne pouvait pas s’arrêter parce qu’elle ne savait pas comment le faire. Expert : “L’avenir permet d’espérer pour Alexandra, il y a peu de chance que quelqu’un puisse la considérer comme dangereuse.” Si elle avait dit “stop”, le processus jusqu’au meurtre aurait été interrompu, estime l’expert.
Altération de personnalitéViviane, la mère d’Alexandra, parle au bar de sa fille “jamais malheureuse” et “bonne mère”. Il semble que Hotyat – « un impulsif qu’Alexandra craignait » – soit à l’origine du problème. Il a dit un jour à Alexandra : “Tu dois choisir entre ta mère et moi.”
Les interactions dans les couples peuvent parfois devenir plutôt passionnées. Quant à l’animosité de David contre son voisin afro-américain Xavier Flactif, Viviane a une théorie. La version française de l’histoire dit : “Il était souvent en colère contre Flaccid et menaçait de tuer le grand homme noir.
Alex subit une transformation complète après la tragédie. La mère évoque encore le fait que sa fille « commence à fumer, à boire et à sortir dans la boîte tous les soirs », a des petits amis, et que « David Hotyat » est chargé de surveiller les enfants. Le 16 septembre 2003, Alexandra sera interrogée par la police et David avouera avoir tué ses cinq victimes par jalousie. L’interrogatoire des accusés aura lieu jeudi et vendredi et portera sur les faits.