Franck Neuhart Mort – Les habitants de l’Oise, en France, ont été en proie à la peur et à l’anxiété pendant des mois en 1978 et 1979 alors qu’un tueur en série s’attaquait à de jeunes femmes. Après avoir tenté de faire marche arrière plusieurs fois au volant, il a fini par blesser et tuer des auto-stoppeuses au hasard. L’homme ne peut être trouvé nulle part en particulier, évitant la capture par les enquêteurs et les pièges.
La prochaine fois, je viserai le cœur : de la comédie noire au suspense palpitant
Une flopée de meurtres a semé la terreur dans l’Oise dans les années 1970. Le coupable est un policier… Étude de caractère intrigante et sombre d’un sociopathe. Il n’y avait aucune psychologie impliquée ; seulement le constat d’un comportement désagréable.Synopsis du film : Clôture des années 70. Franck Neuhart est un policier normal.
Apprécié de ses pairs, il n’a plus besoin de prouver le professionnalisme dont il est capable, et pourtant… derrière la façade d’un homme de loi sans histoire se cache un tueur en série dépressif, voire dérangé. En fait, il prend plaisir à toutes les déceptions de sa vie personnelle et sociale en piochant des jeunes femmes au hasard et en les abusant sans remords. Franck est tellement concentré sur l’affaire du “tueur de l’Oise” qu’il n’hésitera pas à interpeller ses collègues. Mais où ira sa colère ?
Opinion : Avec cette prémisse, je m’attendais à un film sombre, intense et sanglant. En effet, c’est le cas. Il ne manquera pas de nous rappeler le film fantastique de Nicole Garcia, “L’adversaire”. Même ambiance, même génie narratif… on se crispe et on attend en suspens que le scénario se dénoue. Cédric Anger (“Le Petit Lieutenant”, “L’avocat”) réussit l’exploit audacieux de nous présenter un long métrage plus captivant que n’importe quel épisode de “Faites-les entrer, accusé !”
Il présente un excellent jeu d’acteur, une musique engageante et une production méticuleuse. Tirés d’une histoire vraie, les événements dépeints sont choquants et dérangeants, laissant les téléspectateurs désireux d’en savoir plus sur le procès d’Alain Lamare (le vrai nom du tueur a été changé pour le film).
Le long métrage phare du film est sans aucun doute Guillaume Canet. Son interprétation est sans faille; il est glacial et insensible et manipulateur et perdu et nous rions et le détestons encore pendant près de deux heures. La patte de Philippe Neuville du superbe film de 2001 “Ne le dis à personne” (qu’il a réalisé) est plus en vue maintenant qu’il a quitté le rôle du beau potin.
La sortie de “La prochaine fois, je viserai le cur” sur DVD fin mars de l’année dernière était aussi discrète que les débuts en salles du film l’avaient été. C’est pourquoi nous avons essayé d’ajouter le dernier film d’Anger à notre collection, et nous espérons qu’il fera son chemin dans les collections de cinéphiles du monde entier. Une chose est sûre : il avait besoin de reconnaissance, et il serait injuste de le qualifier d’ingrat. Son film préféré est “I Was Once a Legionnaire”, sur un groupe de soldats qui partent en mission pour sauver des vies à l’étranger. Il a vendu sa Renault 5ts au beau frère d’un supérieur.
Il vit dans un appartement de trois chambres que la gendarmerie lui a confisqué à Chantilly, et ses journées consistent à rechercher des véhicules volés lors d’une patrouille de nuit, à manger au même restaurant tous les jours à la même heure, et à s’inquiéter de savoir si oui ou non il sera condamné à une amende pour avoir omis de produire ses impôts.
Il avait emballé sa tente militaire et les conteneurs de stockage pour sa collection d’armes et de cartes à jouer en vue de son départ, mais son refus l’a convaincu de régler ses dettes avec les gendarmes à la place. Il n’a pas de parents vivants – ses parents sont décédés, et il ne reste que son frère dans les environs de Senlecques – les neuroleptiques pourraient donc avoir raison de dire qu’il veut aller dans un autre pays pour y enseigner des langues.
Contrairement aux rumeurs, la ville de Chantilly ne paie pas le fonctionnement interne de la Gendarmerie.
Le protagoniste du film évoque la sympathie en raison de son sort et de son incapacité à surmonter ses difficultés, ce qui m’a incité à me pencher sur son passé. Cependant, à mon avis, le protagoniste n’est pas malade ; plutôt, à l’âge de 23 ans, je crois qu’il s’attendait à autre chose. Peut-être ne se serait-il pas senti aussi fort contre la Gendarmerie si celle-ci lui avait expliqué son refus de témoigner de l’affection à un étranger. Lundi 29 mai 2023, l’un des acheteurs d'”Affaire conclue” s’est fait remarquer. L’homme en cause a fait des aveux sur son Instagram. L’occasion d’apprendre qu’il n’a rien en commun avec Guillaume Canet.
C’est l’un des repreneurs d’entreprise qui est arrivé à cette conclusion (France 2). En novembre 2020, Clément Anger sera de retour dans l’émission Sophie Davant. Et depuis, il n’a pas bougé de son fauteuil, préférant retrouver ses amis et collègues en cas d’envie soudaine d’acquérir quelque chose. Alors que beaucoup de ses followers pensent probablement qu’il leur est aussi familier que le bout des doigts, certains ont peut-être raté le fait qu’il partageait quelque chose en commun avec Guillaume Canet.
Le 29 mai 2023, Clément Anger a publié une publication en ligne qui n’est pas passée inaperçue. La fringante brune a partagé une photo d’un film réservé aux 12 ans et plus, dont l’acteur Guillaume Canet. Le film en question est La prochaine fois, ja viserai le coeur, sorti en 2014. Il s’agit d’un drame policier se déroulant dans les années 1978 et 1979. Un homme tue plusieurs auto-stoppeuses dans l’Oise avant d’échapper à la capture. Des choses qui inquiètent les locaux. Celui qu’on surnomme “le tueur de l’Oise” est en réalité un gendarme qui enquête sur ses propres meurtres jusqu’à ce qu’il en perde le contrôle.
Un maniaque terrorise les habitants de l’Oise en 1978 et 1979, tuant plusieurs auto-stoppeuses avant d’échapper à la capture. Celui qu’on surnomme “le tueur de l’Oise” est en réalité un jeune gendarme timide qui va enquêter sur ses propres meurtres jusqu’à ce qu’il perde complètement son sang-froid.
Le préfet de police de l’Oise a été qualifié de “héros négatif”.
Rencontre avec Cédric Anger, co-réalisateur du film avec Guillaume Canet sur le gendarme Lamare, condamné à la prison à vie pour cinq meurtres commis dans l’Oise entre 1969 et 1976. Le film de Cédric Anger La prochaine fois je viserai le coeur, avec Guillaume Canet, est une réussite fracassante. Le scénario a été adapté du livre d’Ivan Stefanovitch sur l’affaire du meurtre d’Alain Lamare dans l’Oise.
Vous rappelez-vous avoir entendu parler du cas du gendarme Lamare il y a quelque temps ?
J’avais trois ans lorsque ces événements se sont produits. On a eu une petite conversation sympa, tu sais ? Du coup, j’ai écouté l’épisode de Faites entrer l’accusé qui venait de passer à la télévision. La façon dont il peut sembler à la fois stoïque et émotionnellement vulnérable, comme lorsqu’il avertit ses victimes : “Attention, je vais vous faire vous sentir mal.” Je me suis dit : “Whoa, c’est un personnage.”
L’approche d’un tueur en série pour le film n’aurait pas été couronnée de succès. Lamare est en colère maintenant. Il s’est présenté comme un militaire fort et héroïque. Les conflits d’Indochine et d’Algérie l’avaient captivé. Son tarif habituel était les voitures volées, ou “PV”, comme il les appelait.Il va donc partir en croisade négative et idiote, essayant d’être un héros négatif comme Marcel Barbeault,
Une personne a été tuée et d’autres ont été blessées, notamment d’une blessure grave dont elle ne s’est jamais remise. Il n’a pas été impressionné par les performances de ses collègues et a mis en doute la capacité de la gendarmerie à faire son travail. Alors il les roula dans la farine. Il leur a prouvé qu’il était encore plus méchant qu’eux en se livrant à un jeu du chat et de la souris. Il s’est dit : « Puisque l’aristocratie m’avait refusé les postes les plus élevés, je me moquerais plutôt d’eux. Je vais démontrer tout le fonctionnement fautif de la police. Ce sont les raisons qu’il a données au juge. les couleurs de la gendarmerie.
Sur quelles sources comptez-vous ?
Le livre de Stefanovitch était assez complet; il a mené une enquête approfondie.A l’époque, il était correspondant de l’AFP envoyé pour couvrir les violences dans l’Oise.C’était sur sa radio, et il l’a entendu.Il a proclamé: “Nous allons avoir ce salaud.” Il a tout vécu à l’intérieur.Le livre de Stefanovitch était dix fois plus pertinent dans cette situation. Il a dit la vérité. Qu’est-ce qui vous a inspiré à donner à votre protagoniste le nom de Lamare, Franck Neuhart ? Comme Neuhart dans le roman d’Emmanuel Bove. C’est vrai que votre film partage une certaine ambiance avec les romans de Bove.
Pour lui, la vie à Bové représente l’incarnation mentale et fantasmatique de la réalité quotidienne. Un élément sociétal fantastique qui a piqué mon intérêt pour le protagoniste en colère et rageur, qui voit le monde à travers la grille d’un cauchemard. Parce que j’avais besoin de renommer les choses, je me suis souvenu de mon auteur préféré, Bové. Ce nom Neuhart est fantastique.
Quels sont les meilleurs livres d’Emmanuel Bové que vous avez lus ?
Connu du grand public sous le nom de “tueur de l’Oise” ou “tueur fou de l’Oise”, l’assassin français Alain Lamare est né le 10 juillet 1956 (à l’âge de 64 ans) à Fruges (Pas-de-Calais) . Il a commis de multiples crimes dans l’Oise entre mai 1978 et avril 1979, et son implication dans l’enquête l’a considérablement ralentie. Le 8 avril 1979, l’inspecteur de la PJ de Creil Daniel Neveu et l’ancien supérieur de Lamare, le maréchal des logis-chef Claude Morel, se soupçonnent mutuellement d’être impliqués dans le meurtre de Marcel Barbeault. Leurs soupçons étaient étayés par des preuves, notamment une analyse médico-légale des similitudes d’écriture entre les lettres anonymes et les transcriptions judiciaires de Lamare et une demande manuscrite pour rejoindre la gendarmerie.
Pineau remarque également que Lamare se reposait ou dormait régulièrement pendant les jours de meurtres ou de vols de voitures. Le capitaine de la compagnie de gendarmerie de Clermont Jean Pineau et la brigade de gendarmerie de Chantilly et l’adjudant du groupe spécial d’enquêtes de police (PSIG) Henri Cavalier arrêtent le gendarme Lamare. En opération, il est rappelé au siège de la compagnie pour participer à une enquête sur un vol commis par des passagers.