Adolf Hitler Fils – Major, je suis le fils d’Hitler !” Veuillez diriger mes actions. Il regarde un homme plutôt grand qui parle couramment le français et qui n’est pas inhabituel par ailleurs.Les soldats ont bison de temps à l’arrière pour se reposer, récupérer et même s’amuser un peu de temps en temps. À l’ouest de Lille, dans la petite ville de Fournes-en-Weppe, Hitler rencontre une jeune femme nommée Charlotte Lobjoie. Elle n’avait que 16 ans à l’époque.
Des années plus tard, elle raconte à son fils Un jour, je falsas le foin, avec daughters femmes, et nous avons observé un soldat allemande, posted de later côté de la rue. Il semblait dessiner sur une sorte de carton. les femmes ont trouvé ce soldat intrigant et se sont demandé ce qu”il dessinait. J”ai été chargé d”établir un premier contact avec lui. L”étrange homme traite la jeune paysanne avec respect, genitalless, et chaleur.
Votre père, peu disponible, “aimait bien m’emmener faire des promenades à la campagne, quand il était disponible”. Cependant, les résultats de ces promenades étaient souvent tragiques. Votre père, ému par la beauté du monde qui l’entourait, prononçait souvent de longs discours, dont la plupart me dépassaient. Même si je parlais allemand, ses histoires sur la Prusse, l’Autriche et la Bavière me seraient complètement étrangères. Mon indifférence à son style persuasif a exaspéré ton père. Le trou du petit caporal dans la tribune éclairée avait déjà été creusé par le bas.
En juin 1917, après s’être un peu éméché avec un ami, il devient très entreprenant avec Charlotte. “Fils de Boche” aux yeux des gamins du village, le petit Jean-Marie est un incontournable de la communauté. Pour effacer cette honte, lui et ses compagnons se livrent fréquemment au coup de poing. En 1934, cette « nouvelle famille » adoptera l’enfant. Son “vrai père” ne sait pas qui il est et refuse de le rencontrer, mais il reste occasionnellement en contact avec sa mère.
Parce qu’au milieu des années 70, Loret, devenu adulte et père, s’est senti obligé d’officialiser sa lugubre histoire familiale. Il engage un historien, retourne sur les lieux où il a passé ses années de formation, interroge un groupe restreint de témoins oculaires et effectue une batterie de tests.
Au final, ils sont tous d’accord.Il y a un “air de famille” entre les deux gars sur les photos, ce qui plaide davantage pour ce concept.
Les historiens ont longtemps été en désaccord sur cette thèse fondamentale. S’il n’a jamais été vraiment débattu en France, il est déjà de notoriété publique en Allemagne et au Japon. Cependant, des détails alarmants supplémentaires émergent, comme le fait que les commandants de la Wehrmacht ont livré des enveloppes pleines d’argent à Charlotte pendant l’Occupation. Jean-Marie Loret a trouvé des peintures “Adolf Hitler” dans le grenier après le décès de sa mère, et en Allemagne, ils ont obtenu un portrait qui ressemblait étonnamment au sien.
Maître Gibault témoigne : « Lorsqu’il est venu me rendre visite en 1979, j’avais en face de moi un type plutôt paumé qui ne savait pas s’il devait être reconnu comme le fils d’Adolf Hitler ou s’il devait effacer tout ce qui d’un coup de un stylo. Comme beaucoup d’enfants nés hors mariage, il a des sentiments mitigés à l’idée de creuser le passé : il veut en savoir plus sur ses racines mais a peur de déranger la saleté.
Psychologue plutôt qu’avocat, j’ai eu de nombreuses conversations avec lui A 60 ans, était-il raisonnable pour lui d’exiger une partie des droits d’auteur de Mein Kampf et, pourquoi pas, des comptes bancaires que le Führer aurait pu ouvrir en Suisse ? Il a choisi de ne parler à personne de son état civil sulfureux après avoir consulté avec moi et ses enfants. Jean-Marie Loret a publié un livre inédit quelques mois plus tard.
Le ministre du Budget, Maurice Papon, a occupé ce poste pour la France de 1978 à 1981, et le président nouvellement élu, François Mitterrand, a accueilli René Bousquet en mai 1981. Ce personnage mystérieux , qui sera dépeint comme le fils du souverain nazi, sera accueilli dans les studios de la télévision publique japonaise.
Jean-Marie Loret, ironie du sort, s’enrôle dans les Freikorps en 1939 et sert d’avant-garde de la Ligne Maginot. Cette unité combattit férocement les forces allemandes dans les Ardennes l’année suivante, en 1940. Il était connu sous le nom de “Clément” au sein du réseau de la Résistance OCM (Organisation Civile et Militaire) et en reçut des communications pendant l’Occupation. Parce qu’il ne connaissait pas son histoire familiale, il est devenu un ennemi naturel des forces d’Hitler. Un sacré bon mensonge.
En 1977, “Paris Match” a publié une notion proposant que le dirigeant nazi aurait conçu un enfant en France pendant la Première Guerre mondiale, clôturant une longue et malsaine préoccupation pour la vie sexuelle d’Hitler. Son soi-disant fils était un croyant convaincu, mais les preuves ne s’accumulent pas.
Toute notre saison été 2022 de “Une histoire peut en cacher une autre” est à retrouver ici.
La raison pour laquelle Hitler est si doué pour garder les secrets, c’est qu’il représente tout ce que nous préférerions ne pas considérer dans la psyché humaine. Il y a la fiancée ridicule de Frankenstein, et il y a les filles impossibles de Dracula ; il y aura la fiancée d’Adolf Hitler, Eva Braun (qu’elle appelait “Alfi”); et il y aura les fils d’Hitler. Il lui est théoriquement impossible d’aimer ou d’être aimé, encore moins de se reproduire. C’est que la question du monstre, du contre-nature, est aussi celle de la copie unique, du non-reproductible.
Le futur dictateur allemand aurait rencontré la mère de Jean-Marie lors d’une permission à Fournes-en-Weppe, dans le Nord, pendant la Première Guerre mondiale, comme le rapporte Le Point. Le fils de Charlotte Lobjoie raconte l’histoire dans un livre de 1981 intitulé “Ton père s’appelait Hitler”, dans lequel elle raconte : “Un jour, je faisais le foin, avec d’autres femmes, quand on a vu un soldat allemand, installé de l’autre côté de la rue.” Il semblait dessiner sur une sorte de carton. Toutes les dames étaient intriguées par ce soldat et ses talents de dessinateur. Je suis censé lui parler, au fait. Bientôt, la jeune fille de 16 ans et le caporal allemand vivaient heureux pour toujours.