Nathalie Rozborski Cause Deces – Elle fait pression pour un déménagement à l’échelle de l’entreprise qui, selon elle, s’avère particulièrement utile en termes de structure de l’entreprise. Nous avons trouvé un appartement calme au 9ème étage, ouvert sur le monde et parfait pour organiser des réunions et permettre les échanges. L’idée ? Permettre aux proches de l’agence de communiquer, plaisanter, partager des idées en temps réel avec les équipes NellyRodi car « car c’est aussi ça, « flairer l’époque » ». Il est possible que l’avenir existe déjà avec Nathalie Rozborski.
Nathalie Rozborski aspirait à tout avoir : une vie professionnelle épanouie, un cercle social proche et acceptant, un rôle de mère moderne et actif, et une assise financière sécurisée. Et elle a tout pour elle Nathalie a toujours eu la ferme conviction qu’une femme n’est pas devez choisir entre être un leader ambitieux, un individu libre et prospère, une mère nourricière ou une femme pleinement réalisée.
Elle explique comment d’autres femmes peuvent réussir sans compromettre leur moralité ou leurs idéaux en suivant sa propre voie ; tout ce qu’il faut, c’est une préparation minutieuse, le courage de se lever et d’agir, et un apport constant d’inspiration.
Avant tout, je pense qu’il faut savoir que je suis une franco-polonaise qui a toujours vécu entre deux cultures bien distinctes, dit Nathalie Rozborski. Mon identité se reflète profondément dans cet antagonisme. Mon éducation est comparable à celle de n’importe quelle autre personne. J’ai une formation en danse hip-hop et une formation en marketing commercial international. Par conséquent, être multilingue est devenu une composante essentielle de mon identité et de ma carrière.
Quand vous étiez enfant, quel métier rêviez-vous d’exercer ?
L’artiste! Avant de commencer mon premier semestre à l’université, j’ai appelé Dijon chez moi. J’ai déraciné ma vie et je me suis dirigé vers la ville des lumières avec l’intention de me faire un nom dans le monde compétitif de la danse urbaine.
À Gare de Lyon, Châtelet, etc., où j’étais un habitué, j’ai vu beaucoup d’aspirants mais très peu de véritables gagnants sur les pistes de danse. Alors, suivant les conseils de mon père en tant qu’ancien joueur professionnel qui a vu sa carrière écourtée à 30 ans, j’ai décidé de poursuivre mes études à la prestigieuse Sorbonne.
Après cela, j’ai suivi une formation en gestion des industries du luxe et de l’habillement. Sur le trajet de la crèche, Zacharie, deux ans et demi, et j’aime lire des magazines et regarder la publicité. Il a des normes esthétiques élevées et une opinion solide sur la question. En fait, je pense que les entreprises devraient utiliser les enfants comme cobayes pour les campagnes publicitaires et les parfums sous forme de groupes de discussion et de tests préliminaires.
Il est intéressant de voir comment les enfants interprètent les images avant qu’elles ne soient filtrées par les filtres de décodage sociétaux que les adultes utilisent. Sinon, il demande “c’est quoi des clients?” après lui avoir dit que sa mère a des clients qu’elle conseille, mais je n’insiste pas. Il lui faut un certain temps pour s’acclimater à ce nouveau décor.
En quoi avez-vous changé en tant que personne et dans votre travail depuis que vous êtes devenue mère ? Je pense qu’être mère réorganise complètement les priorités d’une femme. Votre temps libre est maintenant d’autant plus précieux qu’il est limité. Les contraintes de temps m’ont rendu plus apte à déléguer des tâches que je considérais autrefois comme difficiles. Lorsque vous avez moins de temps pour tout faire, vous devez choisir.
Être mère, c’est comme être en charge d’une entreprise de grande envergure. Tout gérer et organiser est essentiel. Il est essentiel de respecter mon plan quotidien si je veux faire quelque chose. Bien que j’apprécie la spontanéité, je pense aussi que les enfants bénéficient de routines et que les équipes que je dirige seraient mieux avec une sorte de rituels pour aider à garder tout le monde centré. Puis je suis devenue mère et j’ai dû lâcher prise…
Le 8 novembre dernier, à l’âge de 38 ans, le monde perdait une personne visionnaire, passionnée et activement impliquée en la personne de Nathalie Rozborski. Il y a un an, elle a été embauchée en tant que toute première directrice de marque et RSE de l’entreprise, avec l’objectif de placer Maisons du Monde sur une trajectoire de croissance durable. Nathalie Rozborski a pris sa retraite de directrice générale adjointe après 14 ans au sein du cabinet de conseil en innovation et créativité NellyRodi.
Lorsque Nathalie Rozborski a commencé à travailler chez Camaeu, elle était directrice de magasin. Finalement, elle a gravi les échelons jusqu’à un poste dans le merchandising visuel. Après avoir débuté sa carrière comme mannequin pour NellyRodi en 2005, elle est devenue la créatrice principale de l’entreprise après avoir travaillé pour Gaspard Yurkievich et Céline et obtenu. C’est quatre ans plus tard, lors de son année de censure, qu’elle offre à Etam Lingerie ses nombreux conseils.
Nathalie Rozborski revient chez NellyRodi en 2011, où elle gravit rapidement les échelons.
De nombreuses entreprises ont fait appel à Nathalie Rozborski pour se (ré-)inventer ou se relancer face à l’évolution des attentes des consommateurs induite par l’avènement des technologies numériques.
Nathalie Rozborski est une experte des industries de la mode, de la beauté et du style de vie qui a figuré dans les pages de FashionNetwork à plusieurs reprises. En janvier 2021, les Éditions Marabout ont sorti le best-seller de développement personnel Je Veux Tout, écrit par Nathalie Rozborski, mère de deux enfants.
Avant de rejoindre l’équipe de Maisons du Monde en tant que Directrice de la Marque et de la RSE, Nathalie a travaillé pour le cabinet de conseil NellyRodi pendant 14 ans. En 2020, nous avons eu le plaisir de collaborer avec Nathalie sur son livre révolutionnaire, Je veux tout, qui a été publié au premier mois de 2021.
Pour aider les femmes à vivre une vie « alignée » avec qui elles sont en tant que personnes et ne nécessitant aucun compromis de leur part, ce livre d’accompagnement va au cœur de leurs problèmes quotidiens et leur insuffle de l’énergie, de l’espoir et de la résolution pour surmonter tous les obstacles sur leur chemin. Comme son auteur, il est une source d’inspiration.
Nathalie Rozborski, la nouvelle directrice de NellyRodi, est connue pour son « flair-play ».
Se rebaptisant première agence de publicité “prospective” de France, NellyRodi était autrefois connue comme un “bureau de style” et un “grand oracle des tendances” dans les années 1990. Et elle y a contribué en obtenant un sosie de Nathalie Rozborski. L’agent de sécurité de l’avenue Saint-Ouen est connu pour ses coups de gueule, qui commencent souvent par « Au fond du court, en haut le petit escalier !
Les visiteurs du bureau NellyRodi se promènent souvent dans l’allée privée de l’agence, qui est devenue envahie par la flore malgré les meilleurs efforts du personnel. L’un des noms les plus reconnaissables de l’industrie de la mode et des médias s’aventure de manière inattendue dans un domaine jusqu’alors inexploré. Première “dénicheuse de tendances” pour les industries de la beauté et de la mode, la française Nelly Rodi a créé une agence “cabinet” en 1985.
Depuis que son fils Pierre-François Le Lout a pris la présidence en 2003, il est devenu consultant pour des projets plus expérimentaux et imaginatifs. L’embauche de Nathalie Rozborski, 34 ans, en tant que nouveau PDG de l’entreprise illustre ce nouveau modernisme spectaculaire.
Une “néo-Nelly”
« Holà ! Suivez-moi !” La “néo-Nelly” d’aujourd’hui, c’est Nathalie Rozborski. Après avoir passé plus de 30 ans à anticiper les matières, les couleurs et les visages du futur, l’agence a fait volte-face. Elle va droit au but en disant que “l’agence de style” que les marques consultaient pour avoir un aperçu de l’avenir de la mode n’est “pas notre cœur de métier” pour le moment. Oubliez les lourds cahiers de tendances que les entreprises du monde entier utilisaient pour échanger des pièces d’or jusqu’en l’an 2000. Les conseils, le plus précieux des produits gris, nécessitent plus d’espace.
« Arrêtez les bêtises, déjà ! »
Un obstacle important pour les entreprises de longue date qui ont été réticentes à répondre aux préférences des millénaires natifs d’Internet. Comme le souligne Nathalie Rozborski, « il y a cinq ou dix ans, une marque qui voulait émerger n’avait qu’à proposer une soirée organisée par les rois de la nuit parisienne, les fondateurs du Baron Lionel Bensemoun et André Saraiva », mais aujourd’hui, « ces événements ne suffisent plus.”
Les marques avec plus d’histoire ont du mal à rivaliser avec les nouveaux actes que les consommateurs trouvent sur les réseaux sociaux et les sites de partage de vidéos comme Instagram, KissKissBankBank et YouTube.
Les références sont gonflées
Le discours de rôde sans faute que Nathalie Rozborski peut réciter de mémoire. C’est parce qu’elle est arrivée pour trouver les vis déjà serrées. Elle retourne à l’agence où Pierre-François Le Lout l’a découverte lors d’un stage après avoir obtenu un diplôme en Management des Industries du Luxe à la Sorbonne.
Tout le monde a hâte de choisir son cerveau depuis son arrivée. Le nouveau PDG gère avec expertise les finances de l’entreprise avec l’aide de 37 collaborateurs, répartis entre les départements “Business” et “Inspiration”. Elle a organisé des “séances de réflexion” avec la société de cosmétiques Clarins afin de les convaincre de créer une ligne de produits destinée spécifiquement aux athlètes, qu’elle appelle “LE nouveau challenge de l’industrie cosmétique”.
