Épouse De Florent Dabadie – Il a une attitude tout-terrain, tout-train. Elle a conservé une acuité psychologique inhabituelle due en grande partie à son éducation marquée par le silence et le secret. Sous le choc des révélations, c’était comme si son moi d’adolescente s’était juré de ne plus jamais se laisser berner par les apparences extérieures.
Si elle n’avait rien vu avant, elle pourrait maintenant tout voir. Elle est plus intelligente que le reste d’entre nous. Elle n’est pas influencée par la renommée ou la notoriété d’une personne. On dirait qu’elle sort tout droit du César et Rosalie de Claude Sautet.
Consultation psychiatrique qui change la vie
Les hommes de sa vie. Jean-François Deniau, écrivain décédé en 2007, a passé ses dernières années avec elle. Avant qu’elle ne puisse abandonner, il a fait de son cœur sa maison. Elle se souvient qu’il l’attendait devant l’Odéon à minuit, vêtu d’un anorak et d’un pyjama, après l’avoir réveillé au téléphone au milieu de la nuit; elle se souvient de l’avoir accueilli chez elle avec un “une nouvelle vie commence!” lorsqu’il a récupéré les clés de son appartement auprès du gardien.
Ils ont passé de merveilleux moments ensemble dans une maison isolée à Tadjourah, Djibouti, loin de tout confort matériel. Mais elle entretient toujours une relation secrète à long terme avec un homme célèbre qu’elle considère comme son plus grand amour. Ils sont restés des amis proches au fil des ans.
Les parents de Marie Dabadie lui ont donné le don de l’indépendance, de la force morale et du courage. J’ai toujours cru que les femmes devraient avoir la liberté de choisir le genre de vie qu’elles mènent. Mes deux fils m’ont vu au travail, et ils ont traîné avec des femmes vraiment puissantes. Marie Dabadie n’est pas une femme craintive. Je n’ai pas peur de mourir ou d’être malade.
Elle a rendu visite à François Nourissier, à qui l’auteur a confié les clés du Goncourt en 1998, jusqu’à la fin de sa vie. Tout sauf l’ordre des événements est correct lorsqu’elle les rappelle. Lorsqu’elle est en mer, elle perd la notion du temps et lorsqu’elle repense à ses voyages, elle ne se souvient pas des dates exactes. Elle ressent toute une gamme d’émotions en ce moment.
Il a écrit : « Éliminer tous les risques, c’est réduire la vie elle-même à néant. Le psychiatre et généraliste Norbert Bensad aura un impact profond sur son avenir. En 1990, Marie Dabadie entame quatre années de psychothérapie avec lui.
J’y suis arrivé les larmes aux yeux, mais elles se sont taries dès que je l’ai vu. Ils se regardent de haut. Et il écoute. Norbert Bensad demande la cause du décès de sa grand-mère sous la menace d’une arme un jour alors qu’elle parle de quelque chose de complètement différent.
Elle ne l’a jamais rencontrée et ne s’est jamais posé la question. Elle reçoit sa mère à déjeuner et lui dit que Jeanne vient de s’engager. Comment l’a-t-il compris ? Marie Dabadie se rend compte que si certaines personnes ont le don de bavarder, d’autres ont le don d’entendre.
La secrétaire apprend que Norbert Bensad est atteint d’un cancer et a décidé de ne pas se faire soigner en septembre 1994, alors qu’elle veut reprendre sa rencontre après son départ en juin. Elle a gardé une feuille de papier vierge avec un mot écrit dessus et une armature en souvenir de lui.
L’année est 2020, et le mois était mai quand Jean-Loup Dabadie est parti. Florent est l’un des trois enfants laissés par Le parolier. Il tient de son père linguiste et étudie diverses langues. Quelque chose qu’il espère améliorer au Japon.
Le numéro actuel d’Héritages, magazine de NRJ 12, est sorti le 10 mars et se concentre sur le conflit qui a éclaté après la mort de l’écrivain. La famille de l’universitaire a pleuré sa mort en se consacrant à la poursuite de son travail. Il y aura de la place au paradis pour tout le monde.
Selon le même La Dépêche dont Gala avait paraphrasé les propos, cette personne peut parler couramment le japonais, l’anglais, l’italien et le portugais ainsi qu'”un peu” le coréen. Diplômé de l’Institut des Langues Orientales de Paris avec une licence de japonais, Florent Dabadie enseigne dans des institutions à la fois à Shizuoka et à Tokyo.
Entre les années 1998 et 2002, alors que Philippe Troussier entraînait l’équipe nationale de football du Japon, son fils servait d’interprète à l’équipe. Après cela, il a décidé de devenir journaliste et a depuis écrit pour divers médias japonais.
Jean-Loup Dabadie est un homme marié avec trois épouses.
Florent et Clément Dabadie sont des jumeaux identiques, nés de Jean-Loup et Marie Dabadie. Le couple prévoyait d’être ensemble pendant les deux prochaines décennies. Clémentine est la fille du parolier issue d’un précédent mariage avec Geneviève Dormann. Ce mariage a lieu avant les événements du roman. En 1997, Jean-Loup Dabadie prend un nouveau départ avec son troisième mariage avec Véronique Bachet.
Marie Dabadie est accablée par ses secrets.
La subtile mais déterminée secrétaire générale du prix Goncourt sera aux avant-postes de la renaissance amoureuse. C’est vrai ce qu’on dit sur le fait qu’elle ne râle jamais. Elle porte une élégante robe noire appropriée au cadre élégant lorsqu’elle accueille les invités. Les membres de sa famille nous ont assuré qu’elle serait en parfaite forme bien qu’elle lui ait été retirée à trois heures du matin dans une jungle tropicale.
Les cinq éditions de poche du Poids of Secrets d’Aki Shimazaki étaient alignées sur la table basse. Nous voulions mieux la connaître, et qui sait quels secrets, le Japon ou son poids pourraient éventuellement émerger comme intrigues majeures. On craint que sa compréhension raffinée des bonnes choses de la vie ne serve à obscurcir ses idéaux. Cela conduira à absolument rien.
Marie Dabadie et moi sommes complètement opposés. Elle n’est certainement pas votre femme moyenne. Dans une industrie de l’édition qui ressemble parfois à un club de gentlemen anglais machos, son honnêteté est étonnante. Le secrétaire général de l’Académie Goncourt jouera un rôle essentiel dans la relance de la rentrée littéraire.
Marie Dabadie estime qu’elle n’est qu’un administrateur et non un membre à part entière du jury car elle n’a pas le droit de vote. C’est toute la vérité. Mais elle fait partie de ces femmes invisibles dont la contribution est aussi vitale pour le jeu d’échecs littéraire que n’importe quel homme. Elle fait aussi totalement écho au look de la femme ambassadrice. Fermoir en acier, poignets en velours.
une “intelligence panachée”
Marie Dabadie était issue d’un foyer français de classe moyenne inhabituellement conventionnel. La jeune fille passe la plupart de son temps (du lundi au vendredi) avec son père, un industriel. Nos vagues explications répondent parfaitement à ses besoins. Elle n’a découvert que bien plus tard que sa famille avait passé Noël dans la crasse. A la fin de sa première journée de collège, le jeune homme retourne dans la chambre de sa mère.
Par coïncidence, elle trouve le passeport de son père et apprend que sa mère n’est pas mariée avec lui. À son retour, sa mère est interrogée. La vérité est que ses deux parents avaient des sentiments irrationnels l’un pour l’autre.
Je me suis dit : « Je ne peux pas établir au-delà de tout doute raisonnable que mon père est mon parent biologique. J’ai trébuché et je suis tombé dans une calebasse, et maintenant je suis coincé entre deux murs. éducation.
Un jour, à table, elle annonce qu’elle veut être journaliste et ne jamais avoir d’enfants ni se marier. Un remue-ménage dans le monde bourgeois du mariage, de la maternité et du non-emploi des femmes. Marie Dabadie ne portera pas de carte.
Elle travaillera comme journaliste pour Women’s Wear Daily et Architectural Digest (son travail de rêve), restera mariée au légendaire acteur de théâtre et de cinéma français Jean-Loup Dabadie pendant les dix prochaines années et élèvera ses deux fils, Clément (maintenant adulte) et Florent (encore adolescent) (ses plus grandes réalisations). Le mariage lui-même lui semble inutile à cause des répercussions. Elle trouve le bonheur à la dernière seconde possible, et ses mots d’adieu incluent un avertissement pour éviter la pitié à tout prix.