Inass Touloub Mère – La mère de l’enfant martyr A10 a été libérée de prison pour des raisons de santé. Le 11 août 1987, le corps du petit Inass est découvert. Au bout de 31 ans, des preuves ADN ont permis aux enquêteurs d’identifier avec certitude la jeune fille disparue et de retrouver ses parents pour les interroger.
Selon Frédéric Chevallier, le procureur de la République de Blois, “Halima El Bakhti, la mère du petit Inass – surnommé “l’enfant martyre de l’A10″ – a été libérée de prison en juin de l’année dernière”. «
Le juge insiste sur le fait qu’il ne s’agit pas d’une libération mais plutôt d’une assignation à résidence sous surveillance électronique (ARSE), basée sur l’état de santé du détenu et la capacité d’un de ses enfants à le garder à domicile. L’Union rapporte qu’une décision d’un juge sur les questions de liberté et de détention est intervenue peu après la fin de la quarantaine pour la pandémie de CovD19.
Halima El Bakhti, 66 ans, et son ex-mari Ahmed Touloub ont été placés en garde à vue à Villers-Cotterêts (Aisne) en juin 2018 et mis en examen pour meurtre, violences régulières sur mineur de moins de 15 ans, et disposition de corps. Les médecins légistes ont constaté de nombreuses blessures, dont certaines semblaient assez anciennes : brûlures, plaies profondes à la poitrine et aux jouets, résultat de “violences régulières et anciennes”, selon les experts de l’époque.
Après 31 ans, l’ADN parle enfin.
Le corps d’Inass, 4 ans, a été découvert dans un tunnel de l’A10 à Suèvres (Loir-et-Cher) le 11 août par des ouvriers sur l’autoroute. Le corps de l’enfant connu depuis 31 ans sous le nom de “l’enfant martyre de l’A10” a été retrouvé dans la matinée après y avoir été laissé par les parents de l’enfant. La fille aux cheveux noirs hérissés a clairement été choquée lorsque son corps a été retrouvé.
Pendant 31 ans, la petite Inass n’a eu aucun sens de soi jusqu’à ce que son ADN commence à lui parler. À l’aide d’échantillons d’ADN prélevés sur le frère de la jeune fille, qui a été arrêté dans le cadre d’une autre affaire, les enquêteurs ont pu identifier avec certitude les parents jusque-là inconnus de la jeune fille. Les deux ex répudient leur culpabilité. Une mère avouera avoir frappé sa fille, “mais pas à ce point-là”, rappelant des gifles de temps de “crises”.
Les sœurs aînées d’Inass, âgées de 8 et 6 ans, ont dit à leur père, qui rentrait chez lui, que leur mère avait poussé Inass dans les escaliers. Depuis l’année 2018, Halima croit toujours fermement que l’Inass continue de donner des coups de pied dans le BX qui l’emmènera avec sa famille au Maroc ce soir. Elle affirme que l’enfant était encore en vie lorsqu’ils sont partis, mais qu’elle est décédée en chemin : « Elle a dit maman et après elle n parle plus, elle respirait plus ».
Le père a nié toute violence et a été libéré en juin de cette année. Le poids de garder ce secret a été trop lourd pour les deux maris et le reste de la famille. Selon Ahmed, c’est Halima qui a jeté le corps dans le puits. Ses ex prétendent le contraire.
La mère de l’Inass victime de l’enlèvement A10 a été libérée de prison après avoir été interpellée à Villers-Cotterêts. Le procureur de Blois, en France, a confirmé les informations du journal. Actuellement en France, la mère de l’enfant martyr A10 sera libérée de prison en juin 2020 pour raisons de santé et confiée à une télésurveillance à domicile.
La maman du petit Inass, surnommée “l’enfant martyre de l’A10”, Halima El Bakhti, est sortie de prison en juin, selon Frédéric Chevallier, procureur de la République de Blois. “Il ne s’agit pas de libération”, a souligné le juge, “mais d’une assignation à résidence sous surveillance électronique” (ARSE), en fonction de son état de santé et de la capacité d’un de ses enfants à s’occuper de lui à domicile. Après la fin de la quarantaine pour l’épidémie de CovD19, le juge des libertés et de la détention a rendu une décision.
La cour d’appel d’Orléans a rejeté la requête en libération initiale d’Halima El Bakhti de juin 2018, qu’elle avait déposée à Villers-Cotterêts (Aisne). Cette requête a été déposée le 11 juillet 2019. Le père de l’Inass, Ahmed Touloub, a été libéré en juin de cette année.
Interrogés pour meurtre, voies de fait régulières sur mineur de moins de 15 ans et récupération de cadavre, les ex-époux nient toute responsabilité dans la mort de leur enfant depuis leurs interrogatoires de juin 2018.
Après 31 ans, l’ADN a une voix.
Le corps d’une jeune fille maltraitée a été retrouvé dans un fossé le long d’une autoroute à Suèvres, Loir et Cher, France, en août 1987. Pendant des années, les détectives tenteront, en vain, de déterminer l’identité de l’enfant martyr. Les enquêtes sur le frère de la jeune fille, qui a été arrêté dans le cadre d’une autre affaire, ont conduit à l’identification des parents jusque-là inconnus de la jeune fille 31 ans plus tard.
Le nom de la fille se révèle alors être Inass, et il est révélé qu’elle n’avait que quatre ans lorsqu’elle est décédée, après avoir enduré la violence tout au long de sa brève vie. La famille Touloub-El Bakhti a déménagé de Puteaux dans les Hauts-de-Seine à Villers-Cotterêts dans l’Aisne dans les années 1980.
Avant de se séparer en 2010, ils dirigeaient ensemble une entreprise prospère et élevaient quatre enfants. Ahmed Touloub était revenu à Puteaux pour s’installer tandis que son ex-femme restait dans l’Aisne.
L’instruction se poursuit dans l’affaire de l’enfant martyr A10, le procureur de la République de Blois réclamant qu’un verdict soit rendu avant la fin de l’année. Le Parisien a révélé que de nouvelles preuves ont jeté le doute sur le récit de la mère sur la façon dont Inass en est venu à avoir les blessures qui ont été retrouvées sur son corps fin août.
Selon nos confrères parisiens, les deux professeurs de médecine de Tours et de Toulouse qui ont été nommés par le tribunal “ont jugé que les déclarations [de la mère de l’Inass] ne permettent pas… d’expliquer les lésions traumatiques constatées sur le corps de l’enfant, ni la survenance de son décès”.
Le 11 août 1987, deux ouvriers de l’autoroute le long de l’A10 près de Blois dans le Loir-et-Cher découvrent le corps enveloppé d’une jeune femme. Des os ont été brisés, le crâne a été brisé avec des dents et il y avait de graves brûlures et des éclats de fer à déceler dans les résultats de l’autopsie.
Le XXe siècle reste positivement identifié
La petite fille dont on se souvient depuis plus de trois décennies comme la “petite martyre de l’A10” a finalement été identifiée fin 2017 grâce à une extraction ADN pratiquée sur l’un de ses frères dans le cadre d’une autre affaire ; elle s’appelait Inass et vivait à Puteaux (Hauts-de-Seine) avec sa famille.
Quelques mois plus tard, Ahmed T. et Halima E. sont interpellés et placés en détention provisoire. Dans les années 1990, la famille d’Inass s’installe à Villers-Cotterêts dans l’Aisne, où résident toujours sa mère et plusieurs de ses frères et sœurs. Le père était revenu à Puteaux après le divorce du couple en 2010.
Les accusations parentales vont et viennent.
La famille Inass a nié toute responsabilité dans la mort de leur fille pendant trois ans. En juin 2018, alors qu’il était assigné à résidence, Ahmed T. a affirmé que sa femme était agressive contre lui et ses trois filles. Le procureur de Blois de l’époque rapporte : « Il prétend avoir vécu l’enfer ». Il lui était complètement soumis. À l’été 1987, il est rentré chez lui pour voir le corps sans vie d’Inass. Halima E. a contesté ce récit.
Le père d’Inass a obtenu une libération surveillée en juin 2019. La mère n’a été libérée qu’en juin 2020 et a ensuite été envoyée vivre avec un bracelet de surveillance électronique.
Ils risquent l’incarcération permanente en raison de leurs condamnations pour meurtre, enlèvement de cadavre et violence de routine contre des mineurs de moins de 15 ans.
La mère de la jeune fille “disparue” sur l’A10 a été renvoyée vendredi devant une cour d’assises de Blois, mise en examen pour aggravation volontaire d’homicide, et le père a été inculpé de complicité. Le juge du procès doit maintenant rendre un verdict. L’affaire remonte à 1987, lorsque le corps d’un enfant mutilé a été retrouvé par l’A10.
Le parquet de Blois a indiqué que l’instruction est complète et demande que les parents de “la petite disparue de l’A10” soient inculpés d’homicide volontaire aggravé pour la mère et de complicité pour le père, marquant une étape significative vers la tenue d’un procès devant une cour d’ânes dans une vieille affaire qui agite la France depuis trente-cinq ans.
En 1987, le petit Inass est découvert au bord de l’autoroute A10 à Suèvres, Loir-et-Cher. Le corps de leur enfant avait été horriblement mutilé, et il n’y avait aucun moyen de déterminer à qui il appartenait à l’époque.
Cela fait 30 ans de recherche.
Plus de trois décennies plus tard, en 2018, l’arrestation de ses parents lui a permis de se voir attribuer un nom et un acte de naissance. Inass Touloub n’avait que quatre ans lorsqu’elle est décédée. Elle était la plus probable souffrante-douleur de sa mère, qui a donné naissance à ses six frères et sœurs. L’ex-mari de cette femme se trouvait dans la région des Hauts-de-Seine en France, alors qu’elle vivait à Villers-Cotterts, Aisne (où elle a également été arrêtée).
De nouvelles techniques d’analyse ADN ont permis aux détectives d’identifier l’un des frères de la victime après plus de 30 ans d’enquête. Puis on remonte jusqu’au papa et à la maman d’Inass Touloub. Les parents de la jeune fille ont nié toute responsabilité dans sa mort en 2018, selon un gardien sur les lieux.
Vers un banc d’essai?
Tous deux ont été remis en liberté provisoire, et si les exigences définitives du procureur de Blois Frédéric Chevallier sont remplies, ils seront jugés par la cour d’appel du Loir-et-Cher. Après que les avocats des deux parties ont présenté leurs arguments, le juge présidant l’affaire doit maintenant trancher. L’éventuel procès devant les juges pourrait avoir lieu en 2023. La mère, aujourd’hui âgée de 68 ans, risque l’incarcération définitive si elle est reconnue coupable d’homicide volontaire aggravé.