Ou En Est L Affaire Du Petit Emile – Une décision motivée par “la complexité de l’affaire”. Suite à leur “enquête sur les personnes disparues”, les autorités de Digne-les-Bains ont annoncé l’ouverture d’une enquête pénale à l’occasion du dixième anniversaire de la disparition d’Émile, 2 ans, dans le Vernet.
Dans un communiqué, le procureur de la République de Digne-les-Bains, Rémy Avon, a déclaré : “Toutes les pistes restent à l’étude ; aucune n’est exclue ou privilégiée”. Cela signifiait que deux juges d’instruction du pôle d’Aix-en-Provence s’étaient saisis de l’affaire.
Consulté précédemment le 8 juillet à 17h15.
Deux voisins marchant seuls dans une rue du petit hameau du Haut-Vernet, commune d’environ 25 personnes au pied de la montagne des Trois-Évêchés, ont vu le garçon pour la dernière fois dimanche à 17h15. Il a récemment quitté la maison de ses grands-parents maternels après y avoir passé l’été.
Après une semaine d’enquête sur le terrain, les 30 maisons du hameau ont été vérifiées, 25 habitants ont été interrogés, chaque voiture de la communauté a été inspectée et 97 acres de champs et de bois ont été passés au peigne fin à la recherche d’indices. Pour l’instant, en vain.
Par ailleurs, les enquêteurs de la gendarmerie nationale travaillent toujours à l’élaboration du dossier et au traitement de l’énorme quantité de données qu’ils ont recueillies au cours de la semaine écoulée. Le procureur a déclaré mardi que 1 600 lignes téléphoniques traversaient la zone au moment de la disparition.
Considérant “la complexité de l’affaire” entourant la disparition du petit Émile d’un hameau des Alpes-de-Haute-Provence depuis 10 jours, le parquet a annoncé l’ouverture mardi d’un centre d’information judiciaire pour poursuivre les recherches pour savoir où se trouve le garçon.
Dans un communiqué, le procureur de la République de Digne-les-Bains, Rémy Avon, a indiqué que l’affaire avait été confiée à deux juges d’instruction du pôle d’Aix-en-Provence, et que “toutes les pistes restent envisagées, aucune n’est exclue ou privilégiée”.
Il y a des opérations de recherche depuis la disparition du petit Émile il y a neuf jours, et une nouvelle méthode d’enquête utilisant l’application informatique AnaCrim est sur le point d’être mise à l’épreuve. De nombreux points lumineux brillent sur ce rayon d’optimisme.
Jour 9. L’enquête touche à sa fin. Neuf jours après la disparition du petit Émile, le 17 juillet, les autorités ne l’avaient toujours pas retrouvé. Depuis le samedi 8 juillet, cette personne est portée disparue du minuscule hameau du Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) après avoir échappé au regard vigilant de ses grands-parents. hectares de terrain ont été défrichés et reboisés.
Et tandis que les opérations de ratissage sont en cours, Le Figaro rapporte que les autorités se sont penchées sur un nouveau logiciel appelé AnaCrim. Ce système le plus récent et le plus apprécié a vu le jour dans les années 1970 et a été mis en œuvre à l’échelle nationale en France depuis les années 1990.
Le programme dispose d’un moteur de recherche robuste qui peut passer au crible des millions d’enregistrements (noms, lieux, heures, dates, horoscopes, détails des véhicules, numéros de téléphone, etc.) pour identifier les connexions possibles entre les principaux acteurs de l’entreprise.
Les données physiques (lieu, procédure, indicateur) et humaines (sujet, témoin oculaire) sont toutes faciles à traiter pour lui. Selon 01net, il existe de nombreuses autres façons d’explorer les données, notamment via les réseaux sociaux, les chronologies et les cartes géographiques.
Malheureusement, la collecte de données par le logiciel peut prendre un certain temps (des semaines à des mois, selon la taille de l’ensemble de données). Une lueur d’espoir qui vous conduira peut-être au T-shirt du groupe des garçons… Le logiciel a relancé l’activité de Little Gregory.
Ce n’est pas la première fois que la disparition d’une personne fait l’objet d’une enquête à l’aide du programme AnaCrim. Retour sur 2017, 32 ans après les faits, quand AnaCrim s’est fait un nom en permettant de nouveaux développements dans l’enquête sur la mort du petit Grégory Villemin.
Des incohérences de témoins ont été révélées et les enquêteurs ont ainsi acquis de nouvelles connaissances sur les suspects possibles Marcel Jacob et sa femme Jacqueline. Une enquête sur la disparition d’un enfant de deux ans originaire des Alpes-de-Haute-Provence est toujours en cours dans le cadre de la procédure d’enquête préliminaire.
Où est passé le petit Emilio ? L’enfant de deux ans a disparu de la maison de ses grands-parents à Haut-Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence, depuis huit jours. Depuis sa disparition, d’autres théories ont fait surface, mais les enquêteurs ne semblent pas se concentrer sur une piste en particulier.
En matière d’enquêtes, Le Figaro a toujours une longueur d’avance. Au milieu d’une réunion de famille, quelqu’un disparaît mystérieusement. Dimanche vers 17h15, deux voisins du hameau de 25 habitants au sommet de la montagne des Trois Evêchés ont vu Emilio quitter la maison de ses grands-parents maternels.
Ce petit garçon de La Bouilladisse, dans les Bouches-du-Rhône, vient de disparaître. Bien qu’aucun des parents ne soit là, “plusieurs autres membres de la famille sont également présents”, comme l’indique le parquet. Après de premières vérifications effectuées par la famille, les amis et les voisins, “le premier appel à la gendarmerie intervient vers 18 heures”, comme l’a précisé Rémy Avon, le procureur de la République à Digne-les-Bains.
Le lendemain, un appel à témoins est lancé pour tenter d’identifier et de localiser le garçon “de deux ans et demi”. Imbéciles, les gars. La couleur des cheveux est blonde. La jupe mesure quatre-vingt-dix pouces de longueur. Vous pouvez obtenir une ligne téléphonique spéciale en composant le (049)236-73.00. Elle avait environ 1200 signaux un mardi soir.
Victimes d’abus de procédure judiciaire
L’aménagement paysager est de type “l’escargot”, se resserrant d’abord sur le hameau puis s’étendant à l’extérieur. Pendant deux jours, des centaines de coureurs et de chasseurs sont venus aider la police. Rien du tout n’a été gagné. Lundi soir, le maire des Alpes-de-Haute-Provence a mis fin aux soulèvements citoyens.
Deux jours se sont écoulés sans interruption dans les opérations justiciables. Trente bâtiments et douze véhicules ont été fouillés, et vingt-cinq habitants ont été interrogés. Au moins 97 ha ont été complètement abattus.
La brigade de recherche à Digne-les-Bains et la division de recherche à Marseille sont équipées de moyens de pointe comme un hélicoptère, des équipes de cybernétique et des drones à imagerie thermique. Ils bénéficient également de l’assistance de sapeurs de la Légion d’honneur, experts dans la découverte de reliques perdues depuis longtemps.
Pour trouver des “matières ferreuses” comme un bouton d’enfant ou une fermeture d’éclair, ceux qui ont des détecteurs de métaux hypersensibles peuvent “sonder à travers” des bobines de papier en aluminium.
Accident? Homicide? Enlèvement ? Le procureur de Digne a réitéré jeudi soir sa position selon laquelle “aucune théorie n’est privilégiée, aucune théorie n’est exclue”. Que le petit Émile soit vivant ou non est une source constante d’agonie pour sa famille.
La « masse considérable » de documents obtenus par le biais d’entretiens, d’inspections de sites, d’examens technologiques et scientifiques et d’enregistrements téléphoniques est un facteur majeur dans la décision de la police de poursuivre cette enquête. Peut-être avons-nous, involontairement, amassé une métrique critique.
Grâce à AnaCrim
Nous sommes actuellement dans ce qu’on pourrait appeler « un deuxième temps » où les enquêtes sont menées, avec « plus d’analyses et moins de terrain ». Depuis lundi dernier, l’enquête préliminaire légalement mandatée sur l’enquête de flagrant délit ouverte “pour rechercher les causes de la disparition” a commencé. En particulier, elle est obsédée par l’idée de “rechercher les causes inquiétantes de disparition”.
La police utilise le puissant programme AnaCrim pour les aider à résoudre l’affaire. Son développement a commencé dans les années 1970 et le gouvernement français l’a utilisé pour la première fois en 1994. Il utilise un moteur de recherche robuste capable de passer au crible des millions de points de données (noms, adresses, heures, dates, lieux, modes de transport, numéros de téléphone, etc. .) pour trouver des liens entre les personnages principaux de l’affaire qui pourraient ne pas être évidents à première vue.
Il s’agissait de “révéler l’indice pertinent, l’incohérence, voire le propos fantaisiste” parmi la mer de données, comme le disait à l’époque le lieutenant Léa Jandot, responsable de la branche criminalistique du Figaro. Cette procédure d’élagage des données peut prendre plusieurs mois, selon les circonstances.
Depuis le samedi 8 juillet 2023, Emile, 2 ans, du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) est porté disparu. Lundi 17 juillet, malgré une importante mobilisation de moyens, il restait invincible. Alors que l’enquête a pris une nouvelle voie, une stratégie qui aurait pu faire échouer les choses a été abandonnée.
