Petit Emile Disparu Retrouvé Mort – Depuis lors, mardi, un nouveau système avec des capacités de recherche “plus ciblées” et “sélectives” est entré en vigueur. Lors d’une conférence de presse au Vernet mardi soir, le procureur de la République de Digne a annoncé que les 30 immeubles de ce minuscule hameau des Alpes-de-Haute-Provence avaient été perquisitionnés, ainsi que 12 véhicules, les 25 habitants du ville, et 12 hectares de terrain.
De plus, nous avons analysé près de 1 200 appels de témoins. L’équipe d’enquête passera de 15 à 20 chercheurs afin de bien interpréter ces indicateurs. Cela leur permettra de s’appuyer sur “les moyens régionaux et nationaux, notamment scientifiques et techniques, pour mener à bien toutes les investigations”.
S’il n’est pas encore impossible que le petit garçon ait pu se perdre malgré les battues et ratissages de la gendarmerie, le procureur souligne que la probabilité que cela se produise est “très réduite” plus de trois jours après sa disparition. le bambin Émile reprend le 11 juillet puisqu’il a disparu depuis deux jours. Les autorités veulent restreindre leur champ d’action sans couper aucune piste potentielle. Explications.
Quelque 800 policiers, pompiers et volontaires ont été dépêchés, mais le petit Émile se cache toujours. Le 11 juillet, les autorités des Alpes de Haute-Provence ont mis en place un mécanisme de recherche “plus ciblé” et “sélectif” afin de retrouver un garçon disparu depuis plus de 48 heures.
Lors d’une conférence de presse dans la commune de Vernet, 125 habitants, le préfet du département Marc Chappuis a déclaré “Concrètement, on arrête les battues” de déployer “des moyens spécialisés à la recherche de traces et d’indices”, les recherches précédentes n’ayant pas permis de localiser le garçon dans le rayon initial de recherche de 5 kilomètres entourant le hameau du Haut-Vernet et ses 25 habitants, où l’enfant avait disparu.
Territoire de recherche plus restreint
La police concentrera dorénavant ses efforts sur un territoire beaucoup plus restreint. Cependant, il a souligné que les efforts de recherche se poursuivraient, précisant qu'”au bout de 48 heures, l’enfant aurait dû être retrouvé dans ce périmètre”.
Le procureur de la République de Digne-les-Bains Rémy Avon a conclu lundi que “le site sera fermé à toute personne étrangère dans l’arrondissement”, ajoutant que “toutes les hypothèses restent d’actualité, aucune n’est privilégiée et aucune n’est écartée”.
Nous avions une distance de deux mètres entre nous. Nous sommes passés de champs ouverts à des zones boisées. Chaque vêtement ou paire de chaussures qu’il aurait pu perdre était examiné comme un indice possible.
Roxanne, 19 ans, a quitté volontairement les Bouches-du-Rhône.
Malgré “de nombreuses auditions de témoins”, a précisé le magistrat, “aucun nouvel élément susceptible d’expliquer la disparition du petit Émile n’a émergé”. Il a poursuivi en disant que toutes les maisons du hameau avaient été fouillées, à l’exception de deux qui avaient été abandonnées.
A l’heure actuelle, “rien n’indique une activité criminelle comme cause de la disparition”, a-t-il insisté, ajoutant que les enquêteurs poursuivraient leur travail en se basant en partie sur des témoignages et des relevés téléphoniques.
Un afflux de travail gratuit
Le petit garçon a disparu samedi à 17h00. Le procureur de Digne a insisté sur le fait que l’homme était seul lorsqu’il a été vu pour la dernière fois samedi à 17h15 dans une rue de hameau par deux voisins.
Depuis, des centaines de bénévoles, dont Roxanne, une jeune de 19 ans, et ses deux amis, ont participé à l’enquête. Se présentant comme des “amis de la famille”, les trois voyageurs ont atterri aux premières heures du lundi matin de Bouilladisse, une ville de la région française des Bouches-du-Rhône, où les parents d’Emile sont nés et ont grandi.
A lire aussi Ce que l’on sait de la mystérieuse disparition du petit Émile, aperçu pour la dernière fois près du Vernet : “Nous avons participé à une grosse bagarre ce matin avec une cinquantaine d’autres personnes”, a déclaré la jeune femme. Nous étions séparés par une distance de deux mètres. Nous sommes passés de champs ouverts à des zones boisées. Nous avons cherché le moindre indice, comme une chemise ou une chaussure qu’il aurait pu égarer.
Les habitants de Vernet gardent leur sang-froid alors que les opérations de recherche et de sauvetage du petit Émile se poursuivent. Certains d’entre eux se sont exprimés au micro de BFM DICI, et quelques détails croustillants sur le boys band Jour 4 ont été dévoilés. C’est dans une impasse pour l’enquête.
Le 12 juillet, quatre jours après sa disparition, les autorités n’ont toujours pas localisé le petit Émile. Après avoir échappé aux regards attentifs de ses grands-parents, cet individu est porté disparu du minuscule hameau du Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) depuis le samedi 8 juillet. acres de terrain ont été arpentés.
Et tandis que les opérations de ratissage sont en cours, les habitants du Haut-Vernet ont pris la parole auprès des équipes de BFM DICI. Des habitants du Haut-Vernet, dont Dédé et sa femme, se souviennent avoir vu Émile peu avant sa disparition. C’était tôt le matin, juste avant qu’il ne disparaisse.
Ils se souviennent d'”un petit enfant allongé dans son lit en train de gambader, comme nous l’avons vu tant de fois auparavant”. Interrogé sur la famille du petit Émile, Dédé le rassure : ce sont des “(…) gens bien.
Les touristes écourtent leurs voyages car “c’est trop dur pour nous”.
La zone autour de laquelle le petit Émile a disparu est au point de rupture. Christian et Roselyne Blanc, qui passent habituellement leurs étés dans les Alpes-de-Haute-Provence, ont récemment confié à l’équipe de BFM DICI avoir écourté leurs vacances. Là, nous avons fait nos valises et sommes retournés à Marseille.
En d’autres termes, la police a été prévenue à l’avance. C’est très difficile pour nous”, raconte Christian. Tout le monde se connaît. Tout le monde traîne ensemble. Comment pourrait-on même concevoir qu’une telle chose se produise dans la Haute Vallée ? Les Marseillais sont complètement pris au dépourvu, on l’avoue.
Mardi, le procureur a admis qu’aucune nouvelle piste n’avait été trouvée dans la recherche de l’enfant disparu dans le Haut-Vernet depuis le samedi précédent. Le Haut-Vernet abrite une falaise de plomb. Trois jours après la mystérieuse disparition du petit Emile dans cette commune des Alpes-de-Haute-Provence, le procureur de la République a admis le 11 juillet qu'”aucun indice ne permet de comprendre cette disparition” malgré des investigations approfondies. Plus de raison de s’inquiéter du bien-être du bambin et demi. France 3 Provence-Alpes revient sur les facteurs qui inquiètent les enquêteurs pour la sécurité d’Emilie.
Car, malgré des efforts considérables, les recherches n’ont donné aucun résultat.
Les gendarmes ont rouvert l’enquête sur les attaques de dimanche et lundi sur le hameau du Haut-Vernet, et le magistrat a détaillé leurs démarches : les 30 immeubles qui composent la commune ont été “totalement visités”, 12 véhicules ont été encrassés, les 25 habitants ont été entendus. , et 12 hectares ont été “méticuleusement” ratissés. Pour paraphraser, “Le petit Emile n’a pas été retrouvé”, a-t-il licencié.
Depuis deux jours, des personnes fouillent et pilonnent la zone dans un rayon de cinq kilomètres autour du hameau sans succès. “Au bout de 48 heures, l’enfant devait être retrouvé dans ce périmètre”, a indiqué lundi le préfet des Alpes-de-Haute-Provence, Marc Chappuis. D’autant plus, compte tenu des mesures extraordinaires prises les premiers jours (équipes cynophiles, drones, hélicoptères, bénévoles, etc.).
Parce qu’il est difficile pour un enfant de survivre seul dans ces circonstances.
C’est l’un des facteurs les plus préoccupants. La santé du jeune garçon a fait l’objet de nombreuses spéculations au cours des plus de 72 heures écoulées depuis la disparition d’Emile. L’enfant, qui a 2 ans et demi, n’a peut-être rien mangé ni bu depuis samedi, lorsque des températures extrêmement élevées ont frappé la région.
Le procureur de la République de Digne-les-Bains Rémy Avon a déclaré lors d’une conférence de presse mardi soir : « Médicament, on nous dit qu’au-delà d’un délai de 48 heures, vu l’âge de l’enfant, vu sa constitution et rétrogradant qu’un humain qui serait privé de nourriture et d’eau par les fortes chaleurs actuelles, le pronostic vital est très, très engagé.”
C’est un point de vue partagé par de nombreux pédiatres. Les enfants ont besoin de plus d’eau que les adultes par rapport à leur poids corporel. cet âge s’ils ne mangent pas assez? Le Parisien a contacté un médecin, qui a confirmé que le patient était dans le coma et une hémorragie cérébrale.
La commune du Haut-Vernet connaît des températures dangereusement élevées depuis des jours, avec des maximums diurnes proches de 30 degrés Celsius et la préfecture a émis un avis de chaleur. Même si les proches de l’enfant le qualifient de « débrouillard », c’est-à-dire qu’il peut facilement repérer une source d’eau pour se rafraîchir, le risque de noyade est important du fait de son jeune âge.
Plus de 48 heures après que des citoyens aient cherché en vain le petit Emile, l’enquête a pris mardi une nouvelle tournure. En fait, compte tenu des ressources dépensées, le maire du hameau, Marc Chappuis, a déclaré que le garçon disparu “devait être retrouvé” s’il se trouvait n’importe où dans un rayon de cinq kilomètres de la colonie.