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Ivanne Trippenbach Âge
Ivanne Trippenbach Âge

Ivanne Trippenbach Âge – Après avoir organisé une conférence sur le sujet avec Philippe Brun dans le cadre de ses études à Sciences Po, elle et lui publient ensemble un ouvrage aux éditions Thémis intitulé « Présentation du problème de la qualité du droit ». Cette courte brochure sert de résumé de la conférence. Les auteurs critiquent l’inflation législative et normative galopante en France aujourd’hui.

Les citoyens ne bénéficient pas des avantages de la loi, même s’ils en sont les destinataires prévus ; cela soulève la possibilité que des « laisséspour-compte de l’État de dro » émergent. La complexité des réglementations est parfois dépeinte comme une maladie de la démocratie ; en France, par exemple, elle se manifeste dans pas moins de 120 000 arrêtés.

Ouvrages

Durant son passage au CFJ, elle a collaboré au roman policier Inch’Allah avec d’autres étudiants Célia Mebroukine, Romain Gaspar, Hugo Wintrebert et Charles Delouche ; le livre est sorti en 2018 chez Fayard. L’ouvrage propose une enquête sur l’islamisation dans le 93 par les journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme, avec un focus sur Saint-Denis.

Certains ont qualifié le livre d'”islamophobe” et d'”inutilement alarmiste”, et la controverse qui l’entoure s’est propagée rapidement. Le Journal de Saint Denis lui reproche des informations mensongères et des inexactitudes. Mediapart et le Bondy Blog partagent un article dans lequel ils reprochent au livre de n’être qu’une compilation de contes dépourvus d’analyse. Peu importe leurs efforts, les lecteurs ne pourront jamais donner un sens à cette compilation d’anecdotes.

Aucun historien ou sociologue n’intervient jamais pour donner à ces histoires de renommée éphémère un contexte indispensable. Ce livre a été fortement critiqué pour avoir prétendument nourri les fantasmes anti-immigrés et anti-islamiques de la droite, en partie à cause de sa promotion sur les plateformes de médias sociaux d’extrême droite.

La Plume dans la blessure est un documentaire de LCP sur le travail d’investigation des étudiants journalistes. Le journaliste d’investigation Gérard Davet est connu dans le monde entier pour son travail sur les affaires Clearstream, Karachi et Bygmalion aux côtés de son collègue Fabrice Lhomme.

Les deux reporters ont sorti leur série d’entretiens avec François Hollande en 2016 sous le titre Un Président ne devrait pas dire ça. Après avoir attendu deux ans de plus, ils publient enfin leurs découvertes sur l’islamisation dans un livre intitulé Inch’Allah de l’éditeur français Fayard.

Au cours de ce travail, il rencontre Ivanne Trippenbach, étudiante en journalisme également impliquée dans le projet. Fabrice Lhomme est un journaliste d’investigation international connu pour couvrir les mêmes sujets que son proche collaborateur, Gérard Davet. En 2016, ils sortent ensemble Un Président ne devrait pas dire ça… et en 2018, ils sortent Inch’Allah, auquel Ivanne Trippenbach a contribué en sa qualité d’étudiante.

Avec Gérard Davet, il a écrit des ouvrages fondateurs pour la droite française. Rayan Nezzar est un émissaire d’origine algérienne qui aide à concevoir l’agenda politique d’Emmanuel Macron en consultation avec Marc Ferracci. À partir de 2018, en tant que novice politique, il est propulsé au poste de porte-parole du gouvernement et vit son premier quart d’heure warholien.

Le site d’information aujourd’hui disparu Buzzfeed a déterré certains des tweets les plus mordants du candidat lorsqu’il était étudiant, adressés à des personnalités politiques de droite, et les a utilisés comme levier pour forcer sa démission cinq jours après sa nomination. Deux ans plus tard, il se présente à la mairie du 20e arrondissement de Paris sur la liste “Vivons Paris” de Cédric Villani, mais est battu au premier tour de scrutin.

Ivanne Trippenbach, anciennement de L’Opinion au Monde, a fait de “l’extrême-droite” son cheval de bataille. Comme on le voit dans son approche du sujet du Grand Remplacement dans une enquête pour L’Opinion, la journaliste s’appuie sur des traits larges et même des affabulations pures et simples pour tenter de discréditer son adversaire idéologique.

Formation

La jeune journaliste préserve l’intimité de sa vie personnelle ; on suppose que certains membres de sa famille sont d’Indochine. Elle termine ses études secondaires au lycée Albert Camus dans sa ville natale de Bois-Colombes. Elle complète son diplôme par un stage de quatre mois à Transparency International.

Ivanne Trippenbach étudie les sciences politiques, les relations internationales et la communication pendant un an à la prestigieuse université catholique pontificale du Chili après avoir obtenu un “Très Bien” dans ses études européennes/langue anglaise et Baccalauréat Littéraire.

Elle s’inscrit ensuite à Sciences Po et y obtient un master en administration publique en 2015. Elle participe à la création du Comité de réflexion sur la qualité du droit de l’école. En 2013, la Commission accueillera à l’Assemblée nationale un colloque sur le thème « Agir pour la qualité du droit en France », réunissant des intervenants de renom parmi lesquels des législateurs et des professeurs de droit. Cet effort collaboratif lui donne accès et un pied dans les couloirs du pouvoir.

Un an plus tard, il est répertorié comme l’un des rédacteurs du discours d’introduction de l’ex-vice-président du Conseil d’État Jean-Marc Sauvé pour une série de conférences intitulée “Où va l’État?” Elle réussit exceptionnellement bien dans ses études, obtenir une mention Cum Laude et être accepté aux concours de l’ENA et de l’Assemblée. Elle s’inscrit au CFJ, le Centre de Formation des Journalistes, et en sort diplômée en 2018.

Ivanne Trippenbach Âge

Alors qu’elle fréquentait l’Université pontificale catholique du Chili, la jeune femme a déjà montré un intérêt pour le journalisme à travers ses activités parascolaires, en faisant des reportages sur les manifestations étudiantes pour une publication locale. Plus tard durant son cursus universitaire, elle tient une chronique pour Radio Sciences Po. A partir de 2016, une fois diplômée de Sciences Po, elle travaillera comme journaliste pour L’Opinion. Alors qu’elle occupait son premier emploi, elle suit des cours à la Fédération canadienne des journalistes.

Pour la publication, elle se concentre sur la couverture de l’extrême droite et des questions juridiques. Elle est déterminée à dénoncer les positions anti-immigrés de la droite extrémiste et, en particulier, l’islamisation de l’Occident.

Ses titres effrayants se concentrent souvent sur les prétendues connexions entre des politiciens souvent qualifiés d'”extrême droite” et des groupes anti-immigration radicaux. En 2016, elle a publié un éditorial dans Le Monde intitulé “Voir l’ENA comme l’école du pouvoir est passéiste », dans lequel elle critique les pratiques de recrutement de l’école.

Elle contribue au projet de recherche Fayard 2018 de Gérard Davet et Fabrice Lhomme intitulé Inch’Allah. Elle a également poursuivi son travail sur la question de l’islamophobie en publiant de nombreux articles sur le sujet dans L’Opinion. Le 24 avril de la même année, elle signe un article contenant des “découvertes pleines d’odeurs de scandale” qui dénoncent les liens supposés entre le Front National et le groupe militant Génération Identitaire.

L’écrivain fonde son affirmation sur les réponses des vice-présidents du FN Louis Aliot et Nicolas Bay au blocage par le groupe d’une autoroute dans les Alpes françaises en signe de protestation contre l’immigration de masse. Les politiciens ont salué “l’action efficace” du groupe, selon les militants. À de rares occasions, elle apparaît comme journaliste politique dans des émissions comme “le Live BFM”.

Au-delà du domaine politique, le journaliste semblait troublé par le fantôme de l’extrême droite, suivant ses membres jusque dans leur vie personnelle. Elle a accepté de faire publier dans L’Opinion en juin 2019 une enquête sur les « franges extrêmes » du plus ancien club de chasse français, le Saint-Hubert. Pourquoi donc? Connexions entre l’alliance et la Russie et la Serbie.

Certains membres du club s’étaient endormis sur le chemin du retour de Serbie à Berchtesgaden, la ville natale d’Hitler, qui se trouvait sur leur chemin. Le journaliste porte alors une deuxième accusation, encore plus choquante : le conseiller du club pour la chasse et les affaires rurales, Thierry Coste, aurait entendu des chants royalistes et nazis lors d’une soirée du club à laquelle il assistait.

Dans un article publié sur le site de la Ligue de Défense Juive le 3 janvier 2020, elle dénonce les rapprochements entre l’écrivain tristement pédophile Gabriel Matzneff et l’extrême droite. Elle retourne à la rédaction du Monde en septembre 2021, où elle et un autre écrivain couvrent l’extrême droite.

Combative Journey Le journaliste ne prend pas officiellement position sur les partis politiques. Ses articles virulents contre l’extrême droite montrent pourtant qu’il est véritablement investi dans la cause.

Elle est l’auteur de l’article controversé “Emmanuelle Gave, la nouvelle aile droite de Nicolas Dupont-Aignan” paru dans L’Opinion le 11 février 2019. Après avoir été invitée dans le bureau du candidat pour faire son portrait, la journaliste découvre une caricature d’un anticapitaliste d’avant-guerre largement considéré comme antisémite. Plus tard, elle déterre des messages Facebook racistes qu’elle a trouvés et est scandalisée par la position du candidat contre la réforme de la loi mémorielle.

La bombe est tombée : Emmanuelle Gave était une raciste, révisionniste et antisémite. Après le scandale déclenché par Ivanne Trippenbach, ni Emmanuelle Gave ni son père, Charles Gave, ne seront inscrits sur les urnes pour les élections européennes.

Peu importe le contexte, les Gave sont maudits et finalement exorcisés. « Réflexions sur un assassinat médiatique » de Charles Gave, article publié sur le site du Groupe Gaulliste Sceaux le 25 février 2019, résume en quelques phrases lapidaires l’essentiel de l’affaire.

Avec Camille Vigogne Le Coat et Tristan Berteloot en septembre 2019, elle envisage de retirer l’accréditation de journaliste pour couvrir la Convention de la droite, arguant que la droite est de mauvaise foi et veut semer le trouble. L’appel de Camille Vigogne Le Coat au boycott de la Convention finit par faire céder les organisateurs.

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