Colomban Soleil Pere Emile – Ce n’est pas une question politique; c’est la disparition d’un bébé. Un acteur du nom d’Anthony utilise Twitter pour défendre son histoire familiale raciste et fondamentaliste comme une piste légitime d’enquête. C’est ce que tout le monde appelle, sans aucun doute, le Bon Camp. Que je ne vous déteste pas est une bonne nouvelle pour les terroristes. Ce sera “Tu n’auras pas ma sympathie” aux parents d’Emile. Coupables. Inexcusablement coupable.
Le plus grand mystère de cette semaine concerne Emile, 2 ans, qui a mystérieusement disparu du jardin de ses grands-parents samedi après-midi. Après avoir échappé à leur œil attentif, le boy-scout est depuis inlassablement recherché dans tout le hameau du Haut-Vernet, en vain. Après deux jours de recherches, sa mère était le témoin que la police attendait mardi.
Où est passé le petit Emile ? Il n’a pas été vu depuis environ trois jours. Un garçon de deux ans et demi “s’est évaporé”, échappant une fraction de seconde au regard attentif de ses grands-parents, samedi 8 juillet dans leur village du Vernet (Alpes-de-Haute-Provence). Depuis que les recherches des enquêteurs sont au point mort, les tensions sont montées.
Et après plusieurs heures de recherches, qui ont nécessité la participation de centaines de gendarmes et de bénévoles, les forces de l’ordre sont passées à une nouvelle tactique : ce mardi, les personnes chargées de l’enquête auraient entendu la mère du jeune garçon. Ces derniers jours, elle avait poussé un cri du cœur avec un message vocal discordant diffusé sur les haut-parleurs de la maison, dans lequel elle exhortait son fils à s’échapper d’un éventuel bac à sable.
Peut-être espéraient-ils l’entendre en référence à un message Facebook devenu viral, comme le rapportent nos amis de La Dépêche, qui évoquait une apparition mystique dans les montagnes à laquelle il était supposément lié. Quoi qu’il en soit, la jeune femme n’est pas la seule à avoir été interviewée ; la cellule d’enquête de la préfecture de police de Marseille a interrogé d’autres témoins et fouillé les domiciles pour trouver des preuves.
Route panoramique favorable
Europe 1 annonçait le 11 juillet que la théorie privilégiée d’un accident suivi de la dispersion du corps du petit Emile avait été trouvée. Mais elle n’est pas la seule, car, comme le souligne BFMTV, le drame familial n’est pas à écarter tant que l’enquête est en cours.
Le procureur de la République a soutenu qu’il ne privilégiait aucune théorie jusqu’à présent, et les preuves présentées jusqu’à présent n’y ont rien changé. Les courses-poursuites qui se poursuivaient pour retrouver Emile sont, pour l’instant, terminées. Ses habitants continuent de trembler en attendant de savoir ce qui s’est passé dans ce petit village “perché sur un pic rocheux” avec seulement 25 maisons.
Un bénévole qui a participé aux battles organisées pour tenter de localiser le petit Émile, 2 ans et demi, s’est exprimé sur le comportement inhabituel du père de l’enfant alors qu’il était parti chercher son fils disparu dans les colonnes de La Dépêche jeudi, 13 juillet.
C’est indéniablement l’un des problèmes qui touchent le plus les Français en ce moment. Le petit Émile, 2 ans et demi, est porté disparu depuis le samedi 8 juillet, et sa “disparition alarmante” a alarmé la communauté.
Le jeune enfant a disparu alors qu’il rendait visite à ses grands-parents dans leur maison du hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence). Les enquêteurs ont mis en place un vaste appareil de recherche pour tenter de le localiser, mais jusqu’à présent, toute trace de lui a disparu et aucune piste n’a donné de résultats tangibles.
Cela fait environ une semaine qu’Emile, 2 ans, a disparu de la maison de ses grands-parents dans le Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence). Selon un article publié par La Dépêche le 13 juillet 2023, la discrétion de ses parents a été mise en cause en raison de la refonte de détails troublants du passé politique de son père.
Les débuts d’Émile, 2 ans, sont fixés au 8 juillet 2023. Une mésaventure mise en scène ou un vol ? Aucun indice ou élément tangible ne nous a permis d’identifier une piste viable ou de localiser l’enfant malgré des recherches approfondies.
Malgré le retentissant écho médiatique de ce triste événement, les parents du garçon ont fait preuve d’une extrême discrétion en ne faisant aucune apparition publique et en gardant le.
Le passé politique qui a troublé le père d’Emile
Ce qui nous a surpris, c’est à quel point il était bien habillé. Il était vêtu d’une chemise à col roulé et d’un pantalon de ville. Il avait un sens aigu de l’autorité et n’hésitait pas à élever la voix pour corriger toute personne qu’il estimait agir de manière inappropriée. Cela a pris tout le monde un peu au dépourvu. Sous le couvert de l’anonymat, ce bénévole a révélé à un quotidien avoir vu le grand-père d’un jeune enfant pleurer.
D’après les récits de nos amis, Colomban S. était un ingénieur de trente ans qui travaillait à Marseille puis s’installait à La Bouilladisse, commune à 30 kilomètres de la ville de Phénicie pour se rapprocher de sa famille élargie. Le jeune père de famille est originaire des Yvelines et proche de l’extrême droite. Il a peut-être été un ancien membre de l’organisation d’extrême droite française Action française et du petit Bastion social néo-fasciste basé à Marseille.
Plus récemment, le père d’Emile aurait mis de l’argent dans une liste soutenant Eric Zemmour aux élections régionales de 2021. Depuis samedi, lorsque le bambin s’est éloigné de l’œil vigilant de ses grands-parents, la France est nerveuse sur ce qui aurait pu arriver à Émile, tout en pleurant et en espérant contre toute attente qu’il retrouvera ses proches. Par conséquent, la presse prête une attention particulière aux déclarations du maire et du procureur.
L’ambiance est morose, la conversation est sombre et les questions des journalistes sont lourdes. Mais de la forêt de micros tenus devant le procureur le 11 juillet, une voix de femme émerge, demandant d’un ton surréaliste : « Le passé militant d’extrême droite des parents, est-il étudié ? Que pensez-vous qu’ils entendent par cette question? Quel est le lien ? Comment cela modifie-t-il exactement le terrain de jeu?
Il existe un sous-ensemble de la population étiqueté “extrême droite”, pour lequel aucune règle ne s’applique. C’est indécent, inhumain, cynique, provocateur, etc. Les parents pauvres reçoivent de nombreux commentaires moqueurs sur les réseaux sociaux, du type “il ne faut jamais avoir eu d’enfants pour ignorer le fait que l’âge de ce bébé, entre le moment où il commence à marcher et le moment où il commence l’école, est la période la plus dangereuse de sa vie.” Ces petites créatures sont farouchement indépendantes mais terriblement inconscientes du danger et peuvent causer de graves blessures à quiconque s’en occupe dans un jardin.
A ces professeurs s’ajoutent les « détectives » du journal du dimanche ; ils savent qui est le coupable, que ce soit le maire ou un voisin ou un membre de la famille qu’ils ont vu à la télévision et sommairement jugé “pas net”, comme si jeter l’objet obscène n’avait pas plus de poids que parier sur le Colonel Moutarde dans une partie de Clue. Habituellement, seules des personnes anonymes sont impliquées. Ségolène Royal fait partie des trouvailles inattendues.
Dans un tweet aujourd’hui supprimé, elle a crié au scandale, à la Marguerite Duras dans l’affaire Grégory, affirmant qu’il était trop tard pour “auditer” la mère et que son père “très troublant” était responsable d’une “vengeance familiale”. Comment une mère multi-enfants, ancienne ministre et candidate à la présidence de la République peut-elle tirer une conclusion aussi hâtive alors que les “vrais” enquêteurs les plus proches de la scène, eux, n’excluent rien (car tout est possible) mais reculent devant le devoir de avertir?
Mais les journalistes et rédacteurs professionnels ne s’en sortent-ils pas mieux ? Les chroniques de Sabine de Villeroché dans l’Indépendant révèlent que la publication a cédé à la tentation d’un titre sensationnaliste en utilisant une citation découpée-collée puis glamourisée au hasard pour donner l’impression que Marie S., la mère du disparu garçon, était une figure illuminée. C’est vrai que faire partie d’une fraternité de dix enfants qui, l’été, donnent des concerts dans leur église intrigue, sinon dérange, les non-croyants.
Quant à cette journaliste, dont le média n’a pas été dévoilé, elle n’a pas hésité à se faire l’écho des militants de l’ombre des écumeurs d’ultra-gauche sur les réseaux sociaux! et reconnu avoir été membre de l’organisation sociale dissidente Bastion il y a quelques années. Quoi alors ? Qu’est-ce qui aurait changé si un candidat UDI, EELV ou antifa avait été élu à la place ?