Qui Est Le Pere Du Petit Emile – Lorsqu’un autre les décrit sur son carnet, il écrit : « des gens très gentils et très droits, un peu à l’ancienne quoi, même dans la manière de s’habiller ». Car à La Bouilladisse, tout le monde connaît la famille Emile : “Son arrière-arrière-grand-mère enseignait la moitié du village et était très stricte mais respectée”, sourit un ancien élève. De plus, son grand-père cinéaste est très admiré.
De plus, sa mère est l’aînée de dix frères et sœurs. Cette famille nombreuse et bien connue était qualifiée de « très tradi », un « clan » austère et religieux dont les enfants ne fréquentaient pas l’école primaire.
Un ami proche dit : « Dans la société d’aujourd’hui, avoir dix enfants et faire l’école à la maison, c’est un peu comme passer pour un extraterrestre. Ils préfèrent jouer de la musique sacrée à la messe en latin à l’église Saint-Charles de Marseille ou même d’Aix qu’aux offices paroissiaux réguliers du Vernet ou d’autres églises locales.
Des chansons qui résonnaient dans la maison d’Emile, qu’on disait d’une maturité inhabituelle pour son âge. Il parlait bien et marchait bien, a fait remarquer un voisin. Je l’ai surpris en train de s’échapper par les escaliers à plus d’une occasion. Puis j’ai eu l’idée d’une fugue.
Le “ratissage” de la zone autour du petit village de Vernet, dans les Alpes françaises de Haute Provence, se terminera le jeudi 13 juillet. Les chances de retrouver Emile, 2 ans, malgré des recherches rigoureuses pendant six jours , sont minces, c’est le moins qu’on puisse dire. Bien que la “théorie de la fugue” gagne moins de convertis, certains citadins et bienfaiteurs attirent l’attention sur les actions inhabituelles des parents du garçon.
Par exemple, un bénévole contacté par La Dépêche a été profondément marqué par les actions du père de famille pendant la bataille. Nous avons été un peu surpris par la façon dont il était habillé. Il était vêtu avec désinvolture d’un col roulé et d’un pantalon de ville.
Il avait un sens aigu de l’autorité et n’hésitait pas à élever la voix pour corriger toute personne qu’il estimait agir de manière inappropriée. Tout le monde semble un peu surpris par cela. J’ai vu le grand-père du petit garçon pleurer et cela m’a profondément touché. Colomban S, le père d’Emile, est un homme de 26 ans dont l’apparence saisissante a retenu l’attention de beaucoup.
Plus de trois jours se sont écoulés depuis qu’Emile, deux ans et demi, a disparu dans un hameau isolé des Alpes de Haute-Provence, et l’enquête sur le terrain n’a donné aucune piste. Crime, suicide ou enlèvement ? Le parquet continue d’enquêter sur “toutes les possibilités”, ou “toutes les hypothèses”, car il “ne s’interdit rien”. Voici ce que nous savons jusqu’à présent de l’enquête.
La discordance
Samedi à 17h15, deux voisins du hameau du Haut-Vernet, une communauté de 25 personnes perchée à flanc de la chaîne de montagnes connue sous le nom de Trois Evêchés dans les Alpes françaises, ont vu Emile quitter la maison de ses grands-parents maternels.
Pour les enfants, cela marque le début des vacances d’été. Selon des informations obtenues de sources proches de l’enquête, sa mère et plusieurs de ses frères et sœurs habitent également la maison.
C’est une famille
Selon le maire du hameau, François Balique, la famille d’Emile passe ses étés dans le Haut-Vernet depuis vingt ans. Les grands-parents maternels du garçon y ont une maison de vacances. Le maire de la commune, José Morales, a confirmé mercredi à l’AFP que le grand-père, ostéopathe installé à La Bouilladisse, le centre familial, avait eu dix enfants, tous scolarisés à la maison. Parmi eux se trouvait Marie, la mère d’Emile.
Un chercheur qui a aidé à chercher le petit Émile aux côtés de ses parents a déclaré qu’il l’avait fait par bonté de cœur. Émile, deux ans et demi, a disparu du petit hameau de Vernet dans les Alpes de Haute-Provence samedi après-midi.
Il y avait une réunion de famille chez ses grands-parents aujourd’hui. Deux voisins qui ont vu l’enfant “quelques heures avant qu’il ne disparaisse” ont témoigné qu’il jouait avec ses proches respectivement dans le salon et dans son lit.
Depuis, de nombreuses personnes et organisations ont travaillé sans relâche en vain pour retrouver Émile. De nombreux volontaires ont combattu dans des guerres tout au long de cette période. Les parents du garçon, notamment son père Colomban, en font partie. Un homme de 26 ans dont l’attitude a choqué le monde. A lire aussi : Pourquoi les enquêteurs s’inquiètent-ils de la disparition d’Emilie, 2 ans ? Les canidés de Saint Hubert ne l’ont pas localisé.
Tout le monde a été un peu surpris par Cela.
Nous avons été un peu surpris par son choix vestimentaire. Il était vêtu d’une chemise boutonnée et d’un pantalon. Il était très attaché à sa position d’autorité et n’hésitait pas à élever la voix pour corriger toute personne qu’il pensait faire de manière inappropriée.
Lorsqu’on leur a demandé ce que tout le monde en pensait, un témoin oculaire a répondu : “Cela nous a tous un peu surpris”. Cela a été rapporté à La Dépêche du Midi.
Voir aussi : Quand Émile, 2 ans, a disparu, les gens ont commencé à se demander : “Et le père, au profil très inquiet.
Des amis à nous racontent que ce jeune homme, père de quatre enfants, était profondément impliqué dans la défunte place forte néo-fasciste marseillaise. Colomban S. est non seulement activement impliqué, mais aussi un ancien membre du groupe de réflexion français d’extrême droite, l’Action française.
Après avoir été accusé d’agression contre des personnes d’ascendance étrangère devant un tribunal en 2018, il a été libéré. Enfin, son nom figure sur une liste de ceux qui cautionnent Éric Zemmour pour le bureau régional en 2021 (“Zou la liste qui vous débarrasse du système”). Ce père de quatre enfants yvelinien préférerait peut-être faire profil bas dans les médias en raison de son militantisme politique.
Il semble que nous attendrons une éternité. Depuis samedi, la famille de l’enfant disparu d’Emile attend avec impatience que la “recherche des causes de disparition alarmante” de l’enquête avance. Le petit garçon est toujours inabordable, même avec l’appareil bizarre installé au sol.
Aussi, les enquêteurs n’ont pu reconstituer “aucune trace ou indice” pouvant expliquer la disparition d’Emile. L’enfant a disparu depuis l’après-midi du 8 juillet. La dernière fois que quelqu’un l’a vu vivant, c’est lorsqu’il a quitté la maison de ses grands-parents maternels dans le petit village du Haut-Vernet dans les Alpes de Haute-Provence.
Aujourd’hui marque le début des vacances d’été pour le hamster. L’AFP rapporte qu’il vit avec sa mère et d’autres frères et sœurs. Elle est l’aînée des dix enfants de sa mère. Voici ce que le grand public sait de cette famille privée samedi soir. une famille privée catholique, “catho très tradi”
François Balique, le maire du hameau, affirme qu’Emile et sa famille passent les étés dans le Haut-Vernet depuis vingt ans. La ville de La Bouilladisse au pied du Garlaban est celle où Emile a grandi. Les grands-parents maternels du garçon y ont une maison de vacances.
Un article du Var-Matin affirme que le grand-père d’Emile était un ostéopathe installé dans la ville natale de la famille La Bouilladisse. Marie, la mère d’Emile, était l’un de ses dix enfants. Mardi, une célébrité locale a confirmé sur nos pages que “Marie, la mère d’Émile, est une fille du village”. Il a une réputation précédente. Sa grand-mère était l’une de nos nounous. Son père est ostéopathe dans cette ville. Il voulait d’abord devenir un adulte responsable, avant de tomber amoureux.
Le grand-père aspirant à entrer dans la prêtrise, toute la famille se décrit comme « catho very tradi, du genre à aller à la messe en latin à Marseille ». Après avoir terminé ses études à Marseille, les parents d’Emilio ont emménagé avec lui à la Bouilladisse et y sont depuis un an. Le père du candidat d’Emile dans les Bouches-du-Rhône aux régionales de 2021 se présente sur le “Zou !” liste dirigée par Valérie Laupiès de l’ex-Rassemblement national.
Le tricycle en plastique de l’enfant a été retrouvé fourré sous la cage d’escalier à deux cents kilomètres du Vernet, où Émile a été vu pour la dernière fois samedi après-midi. La commune de La Bouilladisse dans les Bouches-du-Rhône était plus animée que d’habitude ce jour-là. C’était la fête votive. Le papa du petit garçon rénovait le pavillon familial à quelques centaines de mètres à peine du toro-piscine, comme il le faisait presque tous les jours depuis plus d’un an au chômage.
La journée s’était bien passée, mais le soir Émile s’était agité, et son père avait brusquement quitté le chantier et pris la direction du Vernet. Un dimanche après-midi, la nouvelle a finalement atteint la communauté. Le maire, José Morales, a menacé de fermer le parti.
Alors qu’il repositionnait son téléphone devant sa maison, un habitant a crié : “Le petit garçon, le petit blond… c’est notre voisin. Un autre habitant du quartier intervient : “De moi, ils parlaient au travail ce matin, punaise.” Il s’appelle Emile, et je l’ai toujours su. C’est le nouveau frère cadet. Ce n’est pas un nom largement utilisé.