Emile Disparition Grands Parents – Lancement d’un appel à témoin pour les demandeurs d’emploi Dimanche, le procureur de la République a lancé un appel à témoins “à l’encontre de toute personne trouvée sur le secteur de la disparition” samedi après-midi, ainsi que de toute. Toute personne ayant séjourné dans la commune de Vernet et souhaitant entrer en contact avec la mairie peut le faire au 04.92.36.73.00.
Selon le maire Marc Chappuis, ces dossiers sont « en train d’être traités ».
Le petit Emile mesure 90 centimètres, a les yeux marrons, les cheveux blonds et est vêtu pour la promenade d’un haut jaune, d’un short blanc à motif vert et de chaussures de randonnée.Ce que l’on sait de la disparition du petit Émile, c’est : « nous n’avons pas pu localiser l’enfant ».
Emile, un bambin disparu samedi du jardin de ses grands-parents à Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), sera retrouvé, selon une annonce faite lundi par le maire de la région. Ils ont donné l’alerte samedi soir, et depuis lors, un grand dispositif a été mis en place dans et autour de la ville de 125 personnes qui sert de niche dans la zone montagneuse isolée.
Le petit Émile est un enfant de 2 ans et demi originaire de la communauté Bouilladisse dans les Bouches-du-Rhône en France. Ses grands-parents, résidents permanents du hameau du Haut-Vernet (25 habitants), sur la commune de Vernet, l’ont veillé tout le week-end avant les vacances scolaires.
C’est à ce moment-là qu’il « profita de ce moment de flottement pour fuir », comme le maire de Vernet , a expliqué François Balique.Le maire des Alpes-de-Haute-Provence a déployé un dispositif d’enquête massif dès samedi soir. Le maire du Vernet, François Balique, a annoncé lundi que “les recherches ont repris, se sont intensifiées, et le périmètre a été étendu” après un week-end de mobilisation.
Il y a désormais soixante policiers, vingt pompiers, dix équipes de cynophiles, un hélicoptère et des drones équipés de caméras thermiques. Des bénévoles et des chasseurs de la fédération locale font partie des 200 personnes qui participent aux efforts de recherche.
Lundi matin, une vaste zone de recherche, de 5 kilomètres de diamètre, a été élargie autour de la maison. Entre-temps, samedi, le parquet de Digne-les-Bains a ouvert une information judiciaire sur la “disparition inquiétante” pour connaître “les causes et les circonstances de la disparition” du petit Emile.
Selon “deux témoins”, l’enfant a été vu samedi quittant le domicile de ses grands-parents puis “dans une rue descendante” du village, vraisemblablement seul, comme l’a précisé le procureur de la République de Digne-les-Bains. Mais depuis, plus rien : le procureur poursuit : « C’est là qu’on perd la trace plus tard. La Division de la Recherche de la Gendarmerie Nationale de Marseille mène l’enquête avec l’aide de la Sûreté Publique de Digne-les-Bains.
Lors d’une conférence de presse lundi soir, Marc Chappuis, le préfet des Alpes-de-Haute-Provence, a déclaré que malgré “toutes ces recherches”, l’enfant n’avait pas été retrouvé. Toutefois, le dispositif de recherche sera ajusté “pour qu’il soit plus ciblé et plus sélectif” à partir de lundi.
Émile disparaît; le maire de Vernet révèle que son grand-père est bouleversé par sa culpabilité. Malgré de longues recherches, le petit Émile, 2 ans, est porté disparu depuis plus de 48 heures. Le procureur Remy Avon a déclaré lors d’une conférence de presse le 10 juillet que les battues seraient arrêtées et que l’accent serait mis sur les “moyens spécialisés”.
Le maire de la commune, François Balique, est tombé sur le couple qui s’occupait des grands-parents du garçon avant qu’il ne s’enfuie. C’est quelqu’un de courageux, mais c’est dur un grand-père qui perd son petit-fils », a-t-il dit, sous-entendant que le grand-père était hanté par des sentiments de culpabilité. De plus, les circonstances suggèrent qu’il a réussi à échapper à son œil attentif. Ainsi, le blâme sera attribué rapidement.
De plus, j’ai essayé de le rassurer pour qu’il puisse faire face à la circonstance. Il n’y a rien d’extraordinaire pour un petit enfant à déjouer un système de surveillance. Ce n’est pas typique que personne ne le retrouve. Que s’est-il exactement passé ici ? Je ne le comprends tout simplement pas.
Où est-il si nous ne l’avons pas trouvé parce qu’il n’existe pas à cet endroit ? Depuis samedi soir, les gendarmes des Alpes recherchent le petit Émile, un enfant de deux ans et demi porté disparu au domicile de ses grands-parents dans le quartier du Vernet au nord-est de Digne-les-Bains.
Radio France a confirmé un reportage de BFM DICI Alpes du Sud selon lequel un enfant d’environ deux ans et demi a disparu samedi du domicile de ses grands-parents à Le Vernet, au nord-est de Digne-les-Bains dans le Alpes françaises. Le procureur de la République a lancé un appel à témoin après l’ouverture d’une enquête sur une mystérieuse disparition. La disparition du petit Émile a été signalée par ses grands-parents.
Le procureur de la République de Digne-les-Bains Rémy Avon se montre plus prudent en ce dimanche soir, déclarant : “Aucune hypothèse n’est exclue, aucune hypothèse n’est privilégiée”, malgré le fait que “nous n’avons aucun indice en ce sens”.
Cela contraste avec le maire de la ville, François Balique, qui se contente “d’exclure” la possibilité d’un enlèvement. Les conditions légales préalables au déclenchement de l’avis d’expulsion n’ont pas été remplies. Plus tôt dans la journée, les gendarmes signalaient que la zone “autour de la maison est escarpée”.
Puis, un quart d’heure après l’avoir réveillé de sa sieste, ils s’aperçurent qu’ils ne trouvaient pas Émile lorsqu’ils allèrent l’emmener. Depuis, on cherche”, raconte l’électorat désabusé. Avant de disparaître, le petit garçon jouait dans le jardin.
Le procureur de la République Remy Avon affirme que deux témoins oculaires ont vu l’enfant “quitter l’emplacement de la résidence” des grands-parents et descendre une rue en pente. C’est à ce moment-là qu’on en perd la trace.
Une petite ville paisible.
Les gens l’ont vu marcher dans la rue, mais ils n’étaient pas inquiets car les enfants sont autorisés à se promener librement dans le hameau. L’heure exacte à laquelle il a échappé à l’œil attentif de ses grands-parents peut être identifiée grâce à des témoignages oculaires, fournis par le maire François Balique.
Aucune porte ou portail n’est présent. Les enfants peuvent jouer seuls en toute sécurité dans les villages. C’est une petite ville agréable et tranquille. Il n’y a que des promeneurs qui sont des touristes ici.
Interrogé sur l’éventualité d’un soulèvement, le maire explique, “le Haut-Vernet, c’est un cul-de-sac, on voit tous les passages de voitures.” Imaginez que nous sommes dans un petit village de la province française de Haute-Provence, avec pas plus de vingt maisons. Je l’exclus personnellement (…) On peut tout concevoir, mais je trouve cela assez improbable.
Un système essentiel déployé
Le maire affirme que “de très nombreux volontaires de la commune du village et aussi des villages alentour” se sont joints aux trente gendarmes et vingt-cinq pompiers du village pour répondre à la crise. Depuis ce matin, “près de 200 personnes” sont mobilisées, contre une centaine la veille. Les recherches, qui ont commencé samedi “entre 18h40 et 3 heures du matin”, ont été interrompues dans la nuit et ont repris dans la matinée.
La zone dans un rayon de cinq kilomètres autour de la maison des grands-parents aura « chaque buisson, chaque mètre carré de foin » ratifié. Il dit: “Nous avons vu les endroits les plus risqués où il pourrait glisser.”
De plus, une dizaine d’équipes cyniques, des drones et un hélicoptère équipé d’un système de détection thermique infrarouge ont été mobilisés. Afin d’orienter la recherche, des entretiens avec les grands-parents ont été menés. Les parents ont été “pris en charge” alors qu’ils étaient “sous l’influence de l’émotion et de l’anxiété”, affirme le procureur.
Certains marquages de chiens au-delà de la zone nécessitent des “vérifications”, comme l’a révélé Rémy Avon. Il faut les traiter avec précaution car “il pourrait y avoir des éléments parasites”, précise-t-il. Le procureur de la République affirme en outre : « Il y a eu des visites à domicile, mais ils n’ont fourni aucune preuve.
Alors que la nuit tombe pour la deuxième fois depuis la disparition de l’enfant, le préfet des Alpes-de-Haute-Provence Marc Chappuis a déclaré, “nous mettons tout en œuvre pour le retrouver” et, si nécessaire, “nous reconduirons le dispositif demain (lundi, ndlr ) avec de nouvelles ressources des départements voisins.” Les deux prochains jours sont importants si nous voulons maximiser nos chances et le faire revenir.