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Judith El Zein Mari
Judith El Zein Mari

Judith El Zein Mari – Anna, son amie et collègue, est enceinte et devra les rejoindre plus tard. Amis d’enfance, Vincent et Pierre se sont séparés mais passent encore beaucoup de temps à se taquiner. Vincent a rapidement fait savoir à ses amis comment il appellerait son fils ou sa fille nouveau-né. Pierre est perplexe devant sa propre incompréhension de sa décision. Et la nuit tourne au vinaigre…

Il n’y a pas eu de meilleure comédie française adaptée de la scène depuis “Le dîner de cons”, et c’est tout. Le film “Le prénom”, qui est apparu pour la première fois sur nos écrans il y a près d’une décennie, est depuis ancré dans notre conscience collective. La pièce a été créée en 2010 au Théâtre Édouard VII dans le IXe arrondissement de Paris (c’est-à-dire entre la Madeleine et l’Opéra Garnier).

Lors d’un dîner de famille chez sa sœur, un agent immobilier révèle que l’enfant dont elle va bientôt s’occuper s’appellera… Adolphe. Un débat houleux immédiat est suscité par le poids historique d’une telle décision. L’homme est charmant, mais il joue trop brutalement sur le toboggan, et personne n’est assez courageux pour dépasser le premier niveau.

Le premier amour de Judith El Zein est la musique, et le piano en particulier. Mais finalement, elle privilégie le jeu d’acteur et étudie au prestigieux Cours Florent de 1988 à 1990, puis à l’ENSATT (École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre) jusqu’en 1992.

La jeune actrice fait ses débuts dans l’industrie en collaborant avec le célèbre metteur en scène Xavier Marcheschi. Au milieu des années 1990, elle remplace Marina Fos dans les productions d’oeuvres classiques de Jean-Luc Revol (Marivaux, Molière). Entre-temps, elle a tourné dans une flopée d’émissions de télévision et de films (dont Julie Lescaut, Navarro, P.J., Avocats & associés, Les Cordier juge et flic, Femmes de loi…).

Les films et la télévision

Elle ne fait ses débuts au grand écran qu’avec Amour et confusions de Patrick Braoudé en 1997. Trois ans plus tard, elle apparaît dans Quand je serai grande, avant de retrouver Marina Fos dans La chair des dieux, Cheveux gras ou Billet pour l’espace.

En 2008, Cédric Klapisch engage la comédienne pour un rôle à Paris, et elle rencontre le succès sur grand comme sur petit écran en tant que meilleur fleuret de l’héroïne de Zoé Félix dans la deuxième saison de Clara Sheller. Rien ne l’empêchera de continuer à se produire. En 2010, Judith retravaille la comédie musicale Rendez-vous avec Laurent Lafitte.

Judith devient une célébrité célèbre.

Elle offre également à Patrick Bruel l’original de son œuvre Le Prénom d’Alexandre de la Patellière et Matthieu Delaporte la même année. L’année suivante, une version cinématographique est réalisée avec la même actrice dans le rôle principal. Judith El Zein a joué un rôle dans la comédie Supercondriaque de Dany Boon en 2013. Kad Merad, comédienne chevronnée, est à revoir dans sa ville natale de Marseille.

L’actrice française Judith El Zein a fait du cinéma et de la télévision. Elle a reçu sa formation à l’ENSATT et étudie aujourd’hui les fondamentaux du jeu d’acteur au prestigieux Cours Florent.

Elle est apparue dans des productions scéniques et cinématographiques, à commencer par Mademoiselle Julie (1991) et La Peur des coups (1992), suivi par El Burlador de Sevilla et convidado de Judith semble privilégier les drames policiers procéduraux, compte tenu de ses rôles de premier plan dans des émissions comme Les Cordier juge et flic, Julie Lescaut, P.J. Navarro et Crimes en série.

De multiples films ont dépeint ce phénomène, comme Filles perdues, cheveux gras (2002) de Claude Duty, La Stratégie de l’échec (2001) de Dominique Farrugia, Rire et Châtiment (2003) d’Isabelle Doval, (2004, et Un ticket pour l’espace (2006) d’Eric Lartigau.

En 2012, il perce un public plus large avec à son tour Le Prénom, adaptation d’une pièce de Mathieu Delaporte et Alexandre de la Patellière. Elle campe les amours de Patrick Bruel aux côtés de Charles Berling, Guillaume de Tonquédec et Valérie Benguigui. Plus récemment, elle a brillé dans Ma première fois de Marie-Castille Mention-Schaar (2012), un roman jeunesse :

Judith El Zein Mari

ou Supercondriaque de Dany Boon (2014) et Presque de Tristan Séguéla (2013). s’appuyait sur son éducation unique. Elle est revenue à la télévision au début des années 1990, faisant des apparitions dans des drames policiers tels que P.J., Navarro et Crimes. Judith El Zein fait ses débuts au grand écran aux côtés de Kristin Scott Thomas et Gérard Darmon dans la comédie romantique Amour et Confusions de Patrick Braoudé (1997).

Depuis le tournant du millénaire, elle jongle entre les rôles à la télévision (Avocats & Associés) et au cinéma (Rire et Châtiments ; Un Ticket pour l’espace ; Paris). Ce n’est qu’en 2011, lorsqu’elle partage la vedette avec Patrick Bruel dans Le Prénom, que son visage devient un nom connu en France. Dans la comédie nominée aux César 2013, elle incarne Anna, la jeune amie de Vincent (Patrick Bruel), et elle fait ses débuts sur scène aux côtés du reste du groupe.

En 2012, elle retrouve Laurent Lafitte parmi la foule découragée des 16 ans et plus ; les deux avaient déjà collaboré à l’adaptation scénique du spectacle Rendez-vous (2010), basée sur la comédie musicale She Loves Me. Là, l’acteur Kad Merad a fait ses premières apparitions musicales; à l’époque, il n’avait aucune idée qu’il jouerait le meilleur ami du personnage hypocondriaque de Dany Boon dans le film Supercondriaque de 2014.

Judith El Zein a un amour profond pour la musique et la comédie depuis qu’elle est toute minuscule. Elle s’inscrit à des cours rigoureux de piano pour le premier et à l’ENSATT (École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre de Lyon) l’année suivante pour le second.

La mise en scène du Béret de la Tortue (2000) de François Rollin ; La valse à Manhattan d’Ernest Thompson, adapté par Michel Blanc ; la mise en scène du Prénom de Bernard Murat au Théâtre Édouard VII avec Patrick Bruel, Valérie Benguigui et Jean-Michel Dupuis ; et beaucoup plus. Elle reprend son rôle dans la comédie musicale Rendez-Vous avec Laurent Lafitte en septembre 2010.

Elle est apparue dans des émissions comme P.J. Navarro, Julie Lescaut et Crimes in the Series, il est donc prudent de supposer que les procédures policières télévisées sont un genre qu’elle apprécie. Mais elle peut aussi faire des pièces plus légères en se tournant vers Sauveur Giordano, Clara Sheller de 2009, ou Kaboul Kitchen de 2013.

Elle envoie ensuite à Mathieu Demy et Amira Casar des copies du film de Renaud Cohen Quand nous serons vieux (2000) et du film de Claude Film de devoir Filles perdues, cheveux gras (2002).

Deux livres de Dominique Farrugia : “La stratégie de l’échec” (2001) et “Quelques mots à lui” (2001) de Robin des Bois ; « Les larmes et les regrets d’Isabelle Doval » (2003) ; Laurent Tirard et Édouard Baer et Clovis Cornillac’s Mensonges and Traiters et Encore plus d’affinités (2004) ; Les œuvres d’Eric Lartigau (2006 “Un ticket pour l’espace”), Christophe Honoré (2006 “Dans Paris”), Cédric Klapisch (2008 “Paris”) et Alexandre Arcady (2010 “Comme les cinq doigts de la main” ).

Plus récemment, elle a brillé dans Ma premières fois de Marie-Castille Mention-Schaar (2012), Le Prénom de Mathieu Delaporte et Alexandre de la Patellière (2012), 16 ans ou presque de Tristan Séguéla et Alexandre de la Patellière (2013), et Dany : Le Film Supercondriaque de Boon (2014).

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