Booder Maladie – Sorti en salles le 15 février, “Le Grand Cirque” de Booder est un hommage aux clowns hospitaliers qui donnent le sourire aux enfants malades. Le comédien a passé beaucoup de temps dans les hôpitaux quand il était enfant, il connaît donc beaucoup de clowns. Sur la scène de l’émission de Cyril Hanouna le 14 février dernier, il a raconté un défi auquel il a été confronté. Ne pas trafiquer ma boîte aux lettres. Booder, philosophiquement exalté, s’exclame : “Je vis ma seconde vie.”
Après s’être souvenu qu’il est né avec des problèmes respiratoires dans un petit village marocain en août 1978, Booder poursuit son histoire de la manière humoristique qui l’a rendu célèbre. Il n’ira pas en janvier, au plus tôt. La pire prédiction possible qui ne se réalisera jamais. Le père de Booder va renverser la vapeur sur le destin.
Excité de « venir de l’hôpital », dit Booder.
L’hôpital où l’acteur passera une bonne partie de son enfance. La bande dessinée précise: “J’y suis resté sept ans, entrant et sortant, et je prenais soin de moi.” Booder a été profondément marqué par cette longue épreuve, au point qu’il considère désormais cet hôpital comme ses “racines” et espère rendre hommage au monde médical dans son prochain film.
C’est une sagesse commune qu’il ne faut jamais oublier ses origines; Je suis moi-même une greffée récente de l’hôpital Necker. Et je ne pourrais pas être plus fier », s’est-il exclamé, avant de se tourner vers les personnes présentes dans la salle qui avaient traversé les mêmes moments difficiles que lui dans son enfance. Comme le dit le proverbe français, « C’est un appel à tous ceux qui sont dans les hôpitaux : croient en vous, je suis avec vous et force à vous.”
Booder fait partie des six célébrités apparues dans le sixième épisode de “Les Touristes”, diffusé sur TF1 le 19 février 2021. L’occasion rêvée pour Télé Star d’en savoir un peu plus sur l’humoriste. Pour la troisième fois, Booder est apparu dans l’émission Touristes d’Arthur, diffusée sur TF1 à 21h01 UTC le 19 février 2021.
Pendant trois jours, il a été élève à part entière à l’Institut Paul Bocuse aux côtés de sommités comme Virginie Hocq, Inès Reg, Cartman, Gérémy Crédeville ou encore Chris Marquès. L’occasion d’en savoir plus sur l’humoriste et notamment de quelle maladie il souffre.
Car tout le monde sait que Booder a un corps unique et un sens de l’humour qui peut provoquer des fous rires incontrôlables. En partie à cause de sa petite taille (il mesure 1m60), le comique fait preuve de prudence lorsqu’il évoque la possibilité d’une maladie génétique.
Mais il préfère de beaucoup rire. “Mon corps est mon outil”, j’aime dire en français. Je n’ai aucun problème sous-jacent. C’est pareil avec les dames, j’ai toujours réussi à les amener à m’accepter tel que je suis, confiait-il dans une interview à France Soir en 2008.
Booder avait oublié sa maladie.
Il y a une rumeur persistante depuis des années maintenant que Booder est en phase terminale. Mais celui qui vient d’échapper à la mort à la naissance l’a déjà oublié, y compris dans son autobiographie intitulée « Une bouffée d’air frais ». Je voulais raconter mon histoire car, sur les moteurs de recherche, d’autres personnes le font souvent à ma place. En septembre 2020, il a déclaré à tout le monde sur la scène Jean-Marc Morandini : “On me prête des maladies étranges.
Après être arrivé en France le 14 février 2023 pour une brève apparition dans Touche pas à mon poste, l’humoriste Booder s’est confié à Cyril Hanouna sur ses problèmes de santé.
Né Mohammed Benyamna à Bouarfa au Maroc le 13 août 1978, il est plus connu sous son nom de scène, Booder.
Une nouvelle comédie intitulée “Le Grand Cirque” est présentée en première le 15 février 2023, et l’humoriste fait fureur car il joue le rôle principal. Booder fait ses débuts en tant que réalisateur et reprend le rôle qu’il a joué dans le premier film qu’il a réalisé. En effet, il a travaillé avec Galileo Falzerana pour créer ce long métrage. Cyril Hanouna a invité l’acteur à apparaître dans Touche pas à mon poste de C8 dans le cadre de la tournée promotionnelle du film, qui a débuté le 15 février 2023.
Les problèmes de santé de Booder en France deviennent de plus en plus essentiels à l’émission au fur et à mesure de son développement. Booder a une histoire incroyable. C’est vrai que la vie de Booder n’a pas été facile, comme Cyril Hanouna l’a souligné d’emblée. “Je vis ma deuxième vie”, a rapidement rétorqué l’humoriste. «
J’ai eu des problèmes respiratoires quand je suis né dans une petite ville marocaine en août 1978. Le médecin local a également prévenu ma mère que je ne passerais pas l’hiver : « Cet enfant ne passera pas l’hiver ! Mon grand-père français m’a rassuré : « Ne t’inquiète pas, on va s’occuper de lui. pendant qu’il me rendait visite. Je suis arrivé à l’hôpital Necker à Paris. Je suis ici depuis sept ans et j’ai appris à prendre soin de moi, comme le dit l’humoriste.
Le 12 février 2022, Nikos Aliagas accueillait un nouvel invité dans son inside show de TF1 50′ : Booder. Le comédien a parlé de son enfance et des défis auxquels il a été confronté à la naissance en raison de sa maladie. Malgré les difficultés rencontrées à la naissance, le personnage de bande dessinée reste optimiste et optimiste tout au long de sa vie.
Nikos Aliagas s’est vu confier la mission de peindre une image de Booder pour l’image de la semaine de TF1 dans 50′ en salle le 12 février 2022. C’est comme ma deuxième chance dans la vie, et je ne pourrais pas être plus heureux. Je sais que ce n’est pas ma place ici, mais je suis quand même là, dit-il.
En fait, les médecins ont immédiatement reconnu un cas grave de bronchiolite à la naissance du bébé en août 1978 au Maroc. “J’avais beaucoup de mal à respirer et un asthme très prononcé”, raconte Booder à l’animatrice de TF1, qui a elle-même vécu un accouchement traumatisant.Un médecin a annoncé à une mère la nouvelle dévastatrice que son enfant ne survivrait pas à l’hiver, invoquant la gravité de la situation et la rareté des ressources disponibles.
Ces gens sont mes héros
Mon père était en France. Ma mère s’inquiétait pour lui pendant qu’il travaillait ici. Mon père a dit: “Non, ce renard ne sortira pas de là, je te ramènerai en France.” Nous venons d’arriver à l’hôpital Necker avec ma mère.
La joie de ma mère de me voir réussir me donne la force de continuer. Cela a permis à l’enfant d’être sauvé. Booder, qui a tenté en vain de devenir un joueur vedette du Paris Saint-Germain, n’a jamais oublié cet obstacle et a toujours admiré le courage de ses parents.
Il a confié à Nikos Aliagas : « Pour moi, ce sont mes héros. Booder se contente de son état de vie actuel grâce à la « parfaite éducation » qu’il a reçue, qui lui a appris « le respect des gens, la tolérance, et vivre en harmonie avec son environnement.” que Booder n’a jamais eu peur de dire ce qu’il pensait et s’est même plaint ouvertement de son apparence.
La catastrophe, selon Booder, est loin d’être terminée. L’humoriste de 43 ans qui fera partie du jury de la prochaine série d’animation Arthur de TF1 “Visual Suspect” n’a pas perdu la vie dans son enfance. Il était incapable de respirer à cause d’une bronchiolite aiguë provoquée par un asthme “très sévère”.
En février de l’année dernière, il racontait à Nikos Aliagas dans 50’Inside : “Quand le médecin du village, qui était aussi électricien et mécanicien, m’a vu, il a dit à ma mère que ce gamin ne passerait pas l’hiver.” J’ai l’impression que c’est ma vraie seconde chance dans la vie. Il a également déclaré: “Je ne devrais pas être ici, mais je le suis”, avant d’expliquer qu’il a grandi dans une maison au Maroc où la maladie était inconnue. Les choses se mettaient enfin en place pour lui.
Héros parentaux
Ma mère m’a fait part de ses inquiétudes au sujet du médecin et mon père m’a dit : « Non, ce commérage vivra ; je te ramènerai en France. » Il se souvient, submergé par l’émotion : « Je suis venu à l’hôpital Necker avec ma mère, et la voyant si heureuse de voir son petit garçon en vie a été la chose la plus émouvante que j’aie jamais vécue. »
Pour cette raison, il a profité de l’occasion pour montrer à ses parents le plus grand respect. Ils m’ont façonné en qui je suis maintenant. Son éducation a été basée sur les piliers de la tolérance, un mode de vie équilibré et le maintien d’une attitude joyeuse. L’humoriste Booder a été invité sur mon lieu de travail pour la première du film le 14 février, gracieuseté de Touche pas.