Jean Alphonse Richard Origine – Une ou plusieurs histoires peuvent être jouées, combinées et jouées dans une œuvre de fiction. « Écrire », « assembler » et « construire » peuvent apporter un certain plaisir mécanisé. Une tragédie historique qui a culminé avec le meurtre d’un homme aux mains d’un Hell’s Angel et la mort accidentelle de trois autres.
Des sourires énormes et un voyeurisme franc. Utilisation fréquente, ainsi qu’une grande variété de tâches. Près de trois décennies se sont écoulées depuis que le bon gars a disparu du milieu d’affaires troublées et souvent choquantes comme un poisson hors de l’eau.
Sa vocation est la stricte exécution de la loi. Pourtant, depuis quelques étés, Jean-Alphonse Richard est aussi connu comme l’homme derrière des séries comme « Un jour une histoire », « Un été de faits-divers », « Fabuleuses destinées » et « A la croisée des destins.” en plus de son travail de chronophage qui lui permet d’apparaître dans tous les journaux télévisés de RTL du matin au soir.
Vous pouvez envoyer jusqu’à cinq articles à un ami ou à un membre de votre famille chaque mois en tant qu’abonné en utilisant la fonction “Offrir un article”.L’habileté du jeune cinéaste et les vastes archives audio de la station (dont les premières remontent aux années 1950) se sont révélées inestimables.
Le prix Varenne 2014 du meilleur film d’été est allé à “JAR”, qui mettait en vedette Brigitte Bardot et Günther Sachs. Son oncle, le directeur de l’information de RTL, Jacques Esnous, dit de lui : “Il possède un sens inné de la narration”.
Il fait partie de ces journalistes talentueux qui peuvent transformer n’importe quel récit en drame captivant. C’est comme un énorme cuistot qui fait toute la différence. L’intéressé ne ménage pas son enthousiasme : “Sur RTL, un magazine d’information type passe environ une minute sur l’antenne.” Ces chroniques estivales, d’un peu moins de quatre minutes chacune, me permettent de tester un nouveau genre d’écriture.
Formation au journalisme au quotidien
Jean-Alphonse Richard est un personnage intrigant en raison de son sourire caractéristique, de son sens de l’humour noir et des vestiges de son accent provençal que trois décennies de travail à Paris n’ont pas éradiqués.
Autrefois enquêteur redoutable et chasseur de scoops pour le Parisien et le Figaro notamment, il s’est aujourd’hui ouvert aux médias radio. En 2001, à l’âge de 40 ans, je suis tombé sur RTL, une radio entièrement composée de jeunes qui semblaient tout savoir sur la radiodiffusion. J’ai trouvé un média qui a des normes extrêmement élevées.
Le limier de la presse écrite a trouvé sa place à RTL, perpétuant une tradition qui remonte aux débuts de la station : le récit à plusieurs étages. Rien d’étonnant là-dedans, sachant que tous ceux qui ont grandi dans la petite ville de Saint-André-des-Alpes (Auvergne-Rhône-Alpes) écoutaient la radio en permanence.
Mon père était boulanger, et tous les matins avant d’aller travailler, il allumait Radio Monte Carlo. Je me souviens encore de la voix puissante de Bernard Spindler. “The Voice” est de loin mon émission préférée à la télévision. Il était physiquement impossible de rester immobile en l’écoutant.
Suave doit être écrit.
Depuis, bien d’autres l’ont marqué de leur empreinte, dont André Arnaud, Jacques Paoli ou encore Stéphane de Pasquale. Jean-Alphonse a une puissante antenne dans sa voix. Jacques Esnous écrit que “Jean-Alphonse a modernisé et fait vivre la tradition de RTL consistant… à relater divers faits dans des transcriptions… dans la salle d’audience”.
Issu d’une famille de pâtissiers (son père aujourd’hui à la retraite est encore bien connu des gastronomes du village), il s’oriente rapidement vers une carrière universitaire, l’emmenant jusqu’aux salles sacrées de l’école secondaire Alexandra-David-Néel (d’où il garde beaucoup de bons souvenirs et beaucoup d’amis).
Bac en poche, il fréquente brièvement la faculté des lettres d’Aix-en-Provence avant de s’inscrire à l’Institut pratique du journalisme (IPJ) de Paris au tout début des années 1980. Attiré par les lumières de la ville, Jean-Alphonse n’en est pas moins « fondamentalement bas-alpin ». C’est sans doute pour cela qu’il choisit de passer son premier stage d’été au bureau de Manosque de la publication alors connue sous le nom de Le Provençal.
Du parisien à la grenouille
J’y ai documenté mon tout premier acte de diversité dans l’écriture et l’image. Un accident de voiture tragique dans lequel quelqu’un a été tué », se souvient-il. Il ne l’oubliera jamais : « Dans la locale, on fait tout, on touche à tout. » C’est la vraie école de journalisme, dit-il.
Le siège du journal régional souhaite l’embaucher à l’issue de son stage. Jean-Alphonse a reculé… Il préfère de loin rester à l’école. Après avoir terminé le cursus, il intègre le staff du Parisien Libéré. « une série de filles assassinées à Épinal » fait l’objet à la fois de la première photographie professionnelle du photographe et de son premier fait divers hors de Paris. Il développe une appréciation raffinée pour le bizarre et l’inhabituel. Il se souvient de sa dernière conversation avec le juge italien Falcone, qui mourra dans le futur.
En 1986, il fait partie de l’équipe gagnante de France Soir Magazine, où il est salué pour son travail sur “toutes sortes de reportages, de la Coupe du Monde de football au Mexique 86 à la guerre au Liban”. Puis en 1987, c’est au tour du Figaro de succomber à sa plume, son intelligence et ses prouesses d’investigation. Par conséquent, il suit de près les “affaires” bien connues qui infectent le parti socialiste à l’époque, comme “l’affaire Urba”.
Jean-Alphonse déborde d’impatience à l’intérieur parce qu’il a hâte de poursuivre la carrière qu’il a toujours voulu poursuivre, celle de radiodiffuseur. J’ai toujours aimé écouter la radio et être immergé dans les voix des acteurs et dans les décors des histoires. Apprendre un nouveau style d’écriture plus court et plus simple l’a beaucoup troublé, a-t-il admis.
Il fait irruption dans la division information de RTL en tant que grand reporter après avoir “tout laissé traîner” en l’an 2000. Rapidement, ses collègues l’ont promu rédacteur en chef, chef du département police et justice, et expert sur un large éventail de sujets. liés à la sécurité intérieure. Tout ce qui touche au terrorisme, à l’islam, à l’affaire Stern-Agnelet ou encore à DSK… Il a atteint le sommet de son art et est désormais fasciné par la relation mouvementée entre Brigitte Bardot et Gunter Sachs.
Père d’une fille de 20 ans
Le documentaire de Jean-Alphonse “Brigitte Bardot-Gunter Sachs : colère à Saint-Tropez” est le fruit de trois années de travail acharné et ardu, incluant des recherches approfondies dans les archives papiers et sonores. Un documentaire RTL de 2014 diffusé dans le cadre de la série estivale ” la croisée des destins ” du réseau.
Bien que Jean-Alphonse (qui vit en concubinage et est père d’une fille, Agnès, 20 ans) souhaiterait rester à RTL dans un avenir prévisible, il s’assure de voir sa famille à Saint-André dès qu’il le peut, surtout autour des vacances. Et de s’adonner à son autre centre d’intérêt, les voitures de sport classiques des années 1960 et 1970, en participant à des rallyes au volant de l’une de ses deux Alfa Romeo.
Les prix de la Fondation Varenne récompensent la rigueur et la qualité des projets journalistiques. Le jury 2014 devait sélectionner les lauréats parmi 94 soumissions pour le Prix et la Mention Spéciale de la Radio Varenne.
Bernard Spindler, chef du service police et justice de RTL, est un grand fan des rallyes automobiles des années 1970 qu’il commentait en direct. Rencontre fortuite avec un amateur de radio. L’heure du crime est l’émission la plus regardée sur RTL, et j’ai remplacé Jacques Pradel comme animateur.
Il a imposé son propre style aux écrits, racontant les nombreux événements avec une connaissance méticuleuse et une technique de narration simplifiée. Son premier roman, situé dans l’atmosphère tendue de l’événement organisé en 1969 par les Rolling Stones sur la piste de stock-car d’Altamont en Californie, est publié en polar en 2018 par la maison d’édition française La Martinière.
PORTRAIT – Le chef du département police et justice de RTL et chroniqueur de la vie glamour de l’élite hollywoodienne publie son premier roman. Un polar très efficace dont le mystère prend naissance lors du concert mythique des Rolling Stones à Altamont, en Californie, en 1969.
Il était une fois un journaliste radio qui dirigeait le service police-justice de RTL et était un expert à la fois des grandes affaires criminelles et du sort des plus grandes stars d’Hollywood. “La Disparue d’Altamont” (éditions La Martinière). C’est le premier roman qui nous emmène dans les coulisses du mythique concert des Rolling Stones à l’improbable Altamont Speedway en Californie le 6 décembre.